La Cité de la peur

Athènes, Thésée est victime d'une tentative d'empoisonnement par la reine, mais au dernier moment, il est reconnu à ses sandales, son bouclier et son épée par Égée qui écarte le vin empoisonné. Thésée partage dès lors avec lui le gouvernement de la cité. Athènes vit un drame : depuis la mort de son fils et sa victoire sur les Athéniens, Minos, roi de Crète, exige que la ville lui envoie un tribut de sept jeunes gens et de sept jeunes filles qu'il donne en pâture au Minotaure. Thésée décide de mettre

plonge dans l’obscurité. La présence de noirceur et donc de la nuit fait place à l’effroi, la peur, l’inquiétude. Encore une fois on retrouve la noirceur « l’échafaud devenait ténèbres », plus la nuit passe et plus l’échafaud est effrayant. « Les horloges sonnaient, non l'heure, mais le glas » est l’annonce d’une mort proche, une chose inquiétante. On comprend alors que la nuit et l’obscurité sont synonymes de peur et de frayeur. Malgré l’obscurité, la tache rouge de sang faite par l’échafaud est toujours

donc la question du rapport entre justice et injustice qui sera donc ici abordé : comment peut-on accepter sa propre mort ? Pourquoi ne pas choisir la fuite ? Quelle philosophie, quel principe pousse donc Socrate à vouloir rester fidèle au droit de la cité grecque alors qu’il est injustement condamné? Nous le verrons, Socrate affirme en effet un certain nombre de principes en réponse à la proposition de Criton. Par exemple, qu’il n’est pas possible de répondre à l’injustice par l’injustice (49c) : l’objectif

attribue à (je cite) « un amour romanesque et malheureux ». Il risque d’être ridiculisé s’il reste à la campagne « retenu au village ». Ce dernier a un sens péjoratif, ce qui laisse entendre l’état d’esprit actuel de Valmont c'est-à-dire son comportement amoureux. Par ailleurs, d’après Madame Merteuil, cette conduite n’est pas digne d’un libertin. En effet, l’attitude de Valmont est le résultat de ses sentiments et non plus de ses principes : elle caractérise son comportement à (je cite) un « caprice

n’est jamais cité, comme un défi *V9 : la beauté visuelle et la bonne odeur se transforment en fumier *Métaphore filée de la faucheuse, identifiée par le titre et reprise « moissonant et fauchant » *Adjectif démonstratif « cette » nous presente la mort comme connue de tous *Métaphore filée du champ ( V.1-2 ) = champ de bataille II-Le questionnaire métaphysique *« pourquoi ? » cette question ne peut que s’adresser à la mort mais en fait s’adresse à Dieu *La mort = Le diable ? *Peur et souffrance

L’Avare – Acte I Questions de compréhension 1. Pourquoi Élise a-t-elle peur d’aimer Valère? - Elle sait que son père ne sera pas en accord, elle cite les reproches d’une famille et les censures du monde, mais la grande raison est qu’elle a peur qu’il va changer ses idées et décider qu’il ne lui aime plus. 2. C’est quoi la suggestion de Valère quand Élise demande s’ils devraient divulguer le secret de leur engagement à son frère? - Valère indique qu’il y a de l’amitié entre les deux, qui

dégradation: «les décombres», «colonnes tronquées», «dégradation des édifices», «façades sillonnées de lézardes», «toits effondrés par l'éruption», «parties absentes », «tout un ensemble écroulé », «la cité fossile », «à travers ces ruines ». On observe dans ce champs lexical une métaphore: «la cité fossile» qui montre que la ville s'est immobilisée dans le temps et que les ruines se sont conservées. On relève aussi un champs lexical opposé, celui de la lumière: « la lune illuminait », «lueur blanche

plus strict, ou, au contraire, de la part des citadins aisés et apeurés, fuyant la promiscuité des basses classes dans de luxueuses zones résidentielles ultra protégées et coupées du reste de l’agglomération. La vision lénifiante et consensuelle de la Cité comme communauté pacifiée de “ citadins -citoyens ” solidaires par-delà de leur diversité de conditions et d’aspirations fonctionnerait-elle, dès lors, comme un exorcisme ? À moins qu’elle ne participe d’une entreprise concertée de normalisation de

traditions de son époque, mais aussi à sa façon particulière de philosopher. • Montrez d’abord pourquoi les accusations contre Socrate sont aussi graves pour les Athéniens. • Les trois chefs d’accusation son de ne pas reconnaître les dieux de la cite, introduire des divinités et corrompe les jeunes gens..Dans se temps la une base de la société croyais aux dieux et si lui Socrate il invoquait de nouvelle divinité et il laisse les dieux qui sont assez cornus dans un petit coin. Ensuite il corrompt

sait identifier le juste moment et la juste façon d'agir. La vie contemplative (théorique) est pour Aristote source de bonheur, mais elle doit être liée à l’intérêt pour la vie de la communauté. Les philosophes qui ne s'occupent pas de la vie de la cité sont enfermés dans leur mondes et ne participent pas à la vie civile. Vertus éthiques Les vertus éthiques relèvent du caractère, elle ne sont pas innées mais l'homme a la capacité de les acquérir grâce à l'habitude. Elle sont des dispositions