La Cité de la peur

ou l’Hydre de l’Herne. Si le Cyclope frôle l’humanité, elle, voisine avec l’animal. Le monstre manque alors d’harmonie, comme les Sirènes, à mi-chemin entre femmes et oiseaux selon la représentation traditionnelle. Ces dernières font d’autant plus peur que leur apparence est charmante : une « belle voix » qui cache une « mort noire ». Ces monstres constituent un moteur de l’action. Ils sont plus nombreux à mesure qu’Ulysse s’éloigne du cap Malée et se dirige vers l’ouest, point cardinal de tous

Antigone d’Henry Bauchau Le passage à analyser se trouve au chapitre XIII du roman mythologique Antigone d’Henry Bauchau. Il commence à la page 192 par « Ismène [...] » et se termine à la page 193 par « [...] à faire. » Lorsqu’elle arrive dans la cité, elle s’apperçoit que l’accueil qui lui est réservé n’est pas celui escompté. Mais Antigone ne se décourage pas et va à la rencontre de ceux qui ont souffert de son départ avec Oedipe dix ans plus tôt. Ismène, sa soeur, est la première à lui dire combien

cette voix qui lui dit «cours, vas-y, plus vite» Le son d’acier qui frappe les murs frappe encore dans sa tête Est-ce qu’ils sont là? il ne le sait pas Il continue comme une bête c’est le renard coincé par des chiens qui veulent le déchiqueter Il a peur Il entre vite dans le jardin les arbres le soulagent ils filtrent la lumière éclatante, éblouissante L’herbe mouillée lui fait penser à des jours plus tranquilles Il ferme les yeux, tout se calme mais ces couleurs, ces bruits, pèsent sur lui Il entend

cette relation. Dans la nouvelle d'Anna Gavalda, la femme prend le risque de passer une soirée avec un inconnu rencontré le jour même, mais doute finalement de son probable futur bonheur avec lui. Cependant, dans ce cas présent, il s'agirait plus de la peur de prendre un risque plus grand, celui de s'attacher et de tomber amoureuse, que l'on traitera dans une prochaine partie. De Rougemont sous-entend que les facteurs du futur sont trop différent et sans concordance et que même en les connaissant, on

de lecture : Le Cri de la mouette, Emmanuelle Laborit 1. Pourquoi appelle-t-on l’héroïne « la mouette » ? /1 2. Comment s’appelle la sœur d’Emmanuelle ? Comment la considère-t-elle ? Quel rôle joue-t-elle dans la vie d’Emmanuelle ? Justifiez./2 3. Cite 2 étapes fondamentales (écoles, lieux , méthodes) du parcours effectué par d’Emmanuelle dans son ouverture vers le monde de la communication./2 4. Comment signe-t-elle son prénom ?/1 5. Quelle passion artistique unit le père et la sœur d’Emmanuelle

Électre), et confrontés à des problèmes moraux desquels naît la situation tragique. Texte 1 : prologue de la pièce ANTIGONE : -Aideras-tu mes bras à relever le mort ? ISMENE : Quoi ! Tu songes à l'ensevelir, en dépit de la défense faite à toute la cité ? ANTIGONE : C'est mon frère - et le tien, que tu le veuilles ou non. J'entends s que nul ne soit en droit de dire que je l'ai trahi. ISMENE : Mais, malheureuse, si Créon s'y oppose ! ANTIGONE : Créon n'a pas à m'écarter des miens. ISMENE : Ah ! Réfléchis

Racine s'inspire de chants de L'Iliade d'Homère, notamment pour la figure d'Andromaque. Son histoire avait déjà été traitée par Euripide dans ses pièces Andromaque et Les Troyennes, cette dernière ayant été adaptée plus tard par Sénèque, mais Racine cite dans sa première préface L'Énéide de Virgile comme source principale de référence. Selon le critique Félix Guirand, la pièce constitue un tournant dans l'histoire du théâtre français en cela que Racine « renouvelle le genre tragique en substituant

Cependant, à la suite d'attaques diffamatoires d'un concurrent, il est contraint par son directeur, Walter, de défendre « l'honneur » de son journal. Après une veillée d'armes où se sont multipliées les imaginations morbides engendrées par la peur ou la peur de la peur, l'alcool lui donne la force nécessaire pour terminer dans l'inconscience le duel dont dépend son avenir. Après avoir évoqué la nature hostile de ce matin d'hiver, Maupassant rapporte le dialogue entre un Duroy pétrifié et son témoin

d'origine marocaine. Ses parents sont venus en France en 1946 emportant leurs espoirs de jours meilleurs. Son père travailla à la mine ( Massif Central ) pendant dix ans, puis épuisé par ce travail il se dirigea dans une usine à Bertille. Entassés à la cité de Malpierre avec ses frères et sœurs, Younes essuie les échecs de sa vie, entre l'armée, les désillusions du lycée, son échec à la fac et son emploi jeune à la bibliothèque. À 28 ans, il lit 80% au bac, ouvrage qui analyse les contradictions de

accepter le bilinguisme. Donc, il espère que le bilinguisme dans le marché linguistique futur au travail par exemple, se développe. Il présume aussi qu’on devrait être fier d’avoir deux langues et que d’être bilingue est primordial pour un humain. Il cite également que ce n’est pas tout le monde qui a le cadeau d’être bilingue. Il s’adresse à tous les francophones du Canada. Il veut encourager fortement à tous les francophones qui parlent seulement le français d’apprendre une deuxième langue comme l’anglais