La Cité des dames

un petit blond imberbe et fort comme un boeuf, les chopines de vin et les canettes sur les tables de marbre branlantes, et, les bras jetés au cou des buveurs, assises en travers de leurs jambes, elles poussaient à la consommation. Les trois autres dames (elles n'étaient que cinq) formaient une sorte d'aristocratie, et demeuraient réservées à la compagnie du premier, à moins pourtant qu'on n'eût besoin d'elles en bas et que le premier fût vide. Le salon de Jupiter, où se réunissaient les bourgeois

moment où le héros du mythe ou de l’épopée devient incompréhensible et incommensurable à l’habitant de la polis : le héros est désormais un problème, parce qu’il est un être excessif, il est celui qui excède sa part (moira) et qui met en danger la cité par sa démesure. 1)     Ubris La démesure d’Œdipe, l’ubris qui en fait un personnage tragique, est mise en valeur dès les premiers mots de la tirade qui ouvre cet extrait : il est celui qui excelle en tout, qui peut revendiquer la maîtrise dans le

misérable, ne m’approche de ta vie. » La femme de l’orateur ayant mis la tête à la fenêtre, et avisant un homme qui doutait que le pape fût antéchrist, lui répandit sur le chef un plein… Ô ciel ! A quel excès se porte le zèle de la religion dans les dames ! ») , on peut voir que Voltaire dénonce l’hypocrisie des religieux. En effet, cet homme qui prônait la charité et le partage quelques minutes auparavant, refuse d’aider Candide car celui-ci ne partage pas les mêmes opinions politiques que lui. Dans

Le genre théâtral à traversé de nombreuses époques et mouvement littéraires. Il apparait durant l’antiquité, en Grèce, à la fin du VIe siècle av. J.-C et servait initialement de divertissement pour les fêtes religieuses. La cité organisait des concours mettant au service l’imagination de ses citoyens et le caractère ludique et collectif de la représentation était primordial, d’où son étymologie du grec theatron, qui devint ensuite theatrum, en latin. Provenant du verbe grec theasthai qui signifie

multiplication des opérations ennemies par le commandement (donc représailles ennemis, changer les troupes de secteurs…) - les mutineries de 17 : la chanson de Craonne L’origine mentionnée dans le texte est l’échec de l’offensive du chemin-des-dames en mai juin 1917… + une grande lassitude… des éléments d’unités qui représentaient environ la moitié des divisions de l’armée française refusèrent à un moment ou un autre de prendre position sur les lignes de front.(40000 soldats) Plusieurs interprétations

pierre de touche » bien fallacieuse, pleines d’erreurs, de faiblesses et de défauts ». ( une des rares occurrences où le mot « essais » peut disposer des deux sens, celui de la tentative ainsi que celui du genre littéraire.) - Chapitre 17 : « On cite sans cesse les « Essais » devant moi, sans que je m’en aperçoive. » ; « C’est déjà bien que mon jugement, dont ce sont ici les « Essais », ne perde pas ses fers. » Dans le Livre III des Essais de Montaigne, le mot « essais » est présent aux :

élargi à la vie politique au long cours), « il faut réagir vite, être le premier à parler d’un événement pour être repris par les médias. Réussir une campagne présidentielle, c’est d’abord utiliser les bonnes fenêtres médiatiques » (Georges Dardel, cité in Télérama, 27/03/2002). Avant d’agir, les acteurs politiques se posent donc ce genre de questions : « Cette mesure que j’envisage de rendre publique, cette visite que je compte effectuer sur le terrain, cette conférence de presse que je veux organiser

Baudelaire cite « la musique des régiments gratifie le peuple parisien » ; « Le vieux saltimbanque » où il est écrit, « je ne manque jamais, en vrai Parisien, de passer la revue de toutes les baraques qui se pavanent solennellement à cette époque » ; « Le crépuscule du soir », où on lit, « dans les labyrinthes pierreux de la capitale » ; supposément « Les projets » et « La belle Dorothée » où l'auteur situe le contexte initial précédant le voyage, dans une ville ainsi que « les belles dames de Paris »

est leur fille, leste et agaçante Zerbine, qui vend des dentelles aux dames, et ne vend pas ses sourires aux cavaliers.     Et le doigt de l’oreille est le Benjamin de la famille, marmot pleureur qui toujours se brimbale à la ceinture de sa mère comme un petit enfant pendu au croc d’une ogresse.     Les cinq doigts de la main sont la plus mirobolante giroflée à cinq feuilles qui ait jamais brodé les parterres de la noble cité de Harlem. Gaspard de la nuit, Aloysius Bertrand, 1842 Demain, dès

affaire de riches ? » Le texte doit comporter les informations suivantes : 4/3 : Riches habillés : costumes, chapeaux, belles robes pour les dames 4/3 : Pauvres : habits de travail. 4/4 : Les travailleurs font aussi attention à leur look : costumes, casquettes, chapeaux, … 4/5 : Bourgeois : costumes cravates, bien habillés pour la photo, les dames en robes. 4/7 : depuis 1988 : les ménages dépenses moins pour l’habillement et les chaussures. ⎝ Le look, ce n’est pas une affaire d’argent mais