La Cité et les Astres

miracles du monde. Les sept merveilles du monde : Babylone : les jardins suspendus et les murs, le colosse de Rhodes, le temple d’Artémis, la pyramide de Chéops, la statue de Zeus par Phidias, le Mausolée, le Labyrinthe en Crète à la place duquel on cite plus souvent le phare d’Alexandrie. Comparaison : Comparant Les poètes antiques/Les sept merveilles du monde Comparé : Du Bellay/ Rome : ses sept coteaux Intérêt de cette comparaison : Dire que Rome est la plus belle, qu’elle vaut les sept merveilles

Les fêtes romaines Introduction A chaque étape de la vie de la cité correspondait une fête. Les Romains célébraient une fête presque un jour sur deux : les fêtes donnaient lieu soit à des cérémonies avec sacrifices, soit à des rites souvent étranges et obscurs, soit à des jeux. A Rome on dénombrait seulement 55 jours ouvrables ! C'est dire combien les occasions de se réjouir en célébrant les dieux y étaient nombreuses, les autres jours étant des fêtes religieuses et autant d’occasions de se

qui se nourrit d’elle-même – du conflit entre les deux familles ; d’autre part, le destin malheureux qui préside à la naissance de ces deux futurs amants, que ce destin malheureux provienne des astres hostiles (ces amants sont nés sous la « mauvaise étoile ») ou des lieux de leur naissance dans la cité de Vérone (Roméo et Juliette sont nés « dans le sein fatal de ces deux ennemis »). Cette fonction générique du prologue (inscrire la pièce dans le genre théâtral de la tragédie) s’accompagne d’une

|invente des aphorismes souvent en forme de contrepets approximatifs, poétiques et érotiques : « Suivrez-vous Rrose Sélavy au pays des nombres décimaux où il | |n'y a décombres ni maux ? », « Rrose Sélavy affichera-t-elle longtemps au cadran des astres le cadastre des ans? », « Nos peines sont des peignes de givre | |dans des cheveux ivres. »... Une partie de ces aphorismes sera reprise dans le recueil Corps et biens (1930), où ils apparaissent sous forme numérotée. Dans | |l'aphorisme numéro

THALES Né vers 625 avant JC ( Milet) Mort vers 547 avant JC (Milet) Milet : ancienne cité grecque ionienne actuellement en Turquie sur la côte d'Asie Mineure . Fondateur de l'école milésienne. Un des sept sages de la Grèce Les sept sages : Thalès de Milet, Solon d'Athènes, Chilon de Sparte, Pittacos de Mytilène, Bias de Priène, Cléobule de Lindos & Périandre de Corinthe Thalès est considéré comme le premier philosophe, scientifique et mathématicien grec. Il

son interaction avec la société dans laquelle il vit). Le premier échange entre l’homme et le philosophe expose aux lecteurs l’idée que les sciences ont en quelque sorte perturbés et dérangés l’esprit de Thalès (Il loue tous les moulins à huile de la cité), cependant le lecteur s’aperçoit à la fin de la bande dessinée que l’auteur introduit sa morale dans son histoire pour nous faire comprendre que les préjugés émis sur le philosophe du début de la bande dessinée sont faux car finalement on y voit un

théorie des Idées : celle-ci interprète le monde sensible comme un ensemble de réalités participant de leurs modèles immuables. La Forme suprême est, selon le contexte, tantôt le Bien, tantôt le Beau. La philosophie politique de Platon considère que la Cité juste doit être construite selon le modèle du Bien en soi. À part quelques données certifiées, dont la chronologie est d'ailleurs incertaine, la vie de Platon est mal connue3. Comme pour beaucoup d'autres philosophes de l'Antiquité, il est souvent

GUIDE DE LECTURE DE POEME :VERLAINE, POEMES SATURNIENS, 1866 | Connaissance de l’œuvre intégrale. 1 ) Le titre du recueil « Poèmes saturniens » choisi par Verlaine évoque les astres, en particulier Saturne, qui renvoie à l’influence fatale et au poids de la mélancolie que les astrologues associaient jadis à cette planète mais aussi au dieu romain du temps, Chronos. La définition faite à cette époque de cette planète était : « planète froide et malfaisante

rapport à un lieu). Mais ils peuvent avoir également une spécialité dite fonctionnelle, comme Mars qui est le « dieu de la Guerre ». Pour les Romains, les dieux sont dans le monde (le cosmos), ils sont avec eux : ils sont soit aériens (dans l'air), soit astres. La puissance des dieux inquiète, il faut donc vivre en bonne entente avec eux, en reconnaissant leur supériorité, et donc en leur rendant un culte par les rites. La religion est simplement de la « diplomatie » avec les dieux : on recherche la paix

est Teotihuacán, appelée aussi «la cité des dieux». Cette ville est considérée comme la capitale, mais malgré le fait qu’elle était une métropole religieuse avec plusieurs temples et représentations divines, elle possédait un fort poids économique en raison de la masse de population et des marchés qui s’y retrouvaient. De plus, puisque le siège officiel du gouvernement se trouvait dans cette ville, les richesses obtenues par les impôts affluaient toutes vers la cité et attiraient par le fait même des