La Cloche de détresse

surprise, l'hésitation, l'incertitude, la profondeur en un mot. Le refus de l'« homme métaphysique[1] », de la psychologie stendhalienne, est constant chez un Zola qui milite pour un matérialisme à la fois philosophique et littéraire. Pour exprimer la détresse de Christine, point n'est besoin d'en faire une héroïne en proie aux imaginations romantiques et à la rêverie impalpable, si caractéristiques de la manière des romanciers mondains, Jules Sandeau, Octave Feuillet, « qui tiennent de George Sand et

la fatalité, justifie le titre de la pièce et ne forme plus qu'un seul corps : «l'aigle à deux têtes». Extrait (acte II, scène 9) STANISLAS : Quel calme après l'orage. La nuit tombe avec un silence extraordinaire. On n'entend même pas les cloches des troupeaux. LA REINE : D'ici, on n'entend rien, on se croirait séparé du monde. Et je n'aimais pas ce calme. Il me plaît. STANISLAS : Vous ne vouIez pas que je demande un candélabre? LA REINE : Restez où vous êtes. Je ne veux rien. Je veux que

famille. Sa vie durant il sera bon époux, père attentif, fils exemplaire, et jamais ne s’évadera du cocon douillet des plaisirs domestiques. Ce n’est que la première des grandes contradictions gioniennes : refusant le régionalisme, l’esprit de clocher, chantre de l’Odyssée, du grand large (Moby Dick), de l’aventure et des cavalcades, il ne s’absentera que brièvement de Manosque sans pourtant s’y intégrer et se contentera d’arpenter la Haute-Provence d’un pas de promeneur enveloppé de sa cape de

met en avant leurs produits en étant consommés par les propres consommateurs , à la main de ceux-ci. En effet , les spectateurs suivent une histoire entre deux humains , un enfant et un homme âgé qui a perdu son chien. L’enfant voyant l’homme en détresse , décide de venir le soutenir. De cela découle le retour chien qui refait surface lorsque le chocolat milka est noté comme récompense. Grâce à Milka, le chien a été retrouvé ! Milka souhaite associer sa marque à des sentiments chaleureux tels que

corps jeunes et chers, La spontanéité craintive des caresses! Sont-elles assez loin toutes ces allégresses Et toutes ces candeurs! Hélas! toutes devers Le Printemps des regrets ont fui les noirs hivers De mes ennuis, de mes dégoûts, de mes détresses! Si que me voilà seul à présent, morne et seul, Morne et désespéré, plus glacé qu'un aïeul, Et tel qu'un orphelin pauvre sans soeur aînée. O la femme à l'amour câlin et réchauffant, Douce, pensive et brune, et jamais étonnée, Et qui parfois

gouverner son âme,Mytridate autrefois a vécu de poison, Les Lestrigons de sang, et moi je vis de flamme. Théophile DE VIAU Stances amoureuses de la reine de Navarre: J'ai un ciel de désir, un monde de tristesse,Un univers de maux, mille feux de détresse, Un Etna de sanglots et une mer de pleurs. J'ai mille jours d'ennuis, mille nuits de disgrâce,Un printemps d'espérance et un hiver de glace ; De soupirs un automne, un été de chaleurs.Clair soleil de mes yeux, si je n'ai ta lumière,Une aveugle nuée

physique, Felice Holman renouvelle le célèbre mythe du naufragé de Daniel Defoe. Bien sûr, nous ne sommes pas au XVIIIe siècle : l’époque, le lieu, les circonstances, les modes de survie sont de notre époque, mais les symboles et les constantes de la détresse humaine (misère extrême, rejet, discrimination, solitude) sont universels. Les grands thèmes de l’aventure (survie dans un milieu hostile, luttes contre des ennemis divers, épreuves et affrontements, conquêtes…) font de ce roman publié pour la première

remières strophes à des propositions  principales en début des 2 dernières strophes  3) ​ Dernière strophe presque exclusivement que des monosyllabes et disyllabes → pour traduire la crise du  poète  4) ​ Fusion physique/moral ​ "ainsi que", les cloches sont comparées à des esprits déchaînés    II­PAYSAGE MORBIDE ET SOUFFRANCE DU POETE    A­Enfermement et morbidité    1) Un univers clos  ­Champ lexical du cachot: barreaux, prison, couvercle, cachot  ­Horizon limité, bouché par la couleur noire ("jour noir") 

femmes prend une position identique : le mot d'ordre est « servir la patrie ». La mobilisation de l'été 1914 sépare cependant radicalement les sexes et donne une force nouvelle au mythe de l'homme protecteur de la mère-patrie et de sa famille. La détresse matérielle des mères de famille est réelle, d'autant plus que les secteurs traditionnels d'activité féminine (textile et habillement) connaissent le chômage. La guerre oblige à une redéfinition temporaire des identités au travail: les institutrices

petits garçons que sais-je encore et si mes amours avaient été le moindrement douteuses on ne m’aurait point lâché, l’honneur de la corporation était en jeu. C’est alors que je connus le mot de celui qui disait que s’il on l’accusait d’avoir volé les cloches de Notre-Dame il s’empresserait de prendre la fuite.* * J’ajoute qu’on ne me fit pas d’excuse mais que la plupart des journaux me citèrent comme un exemple d’hospitalité. J’ajoute encore l’épilogue de l’affaire : le héros fut arrêté au Caire à la