La Collectivisation Du Risque

|- Les rouges : les bolcheviques : armée rouge | |-éclatement de luttes sociales : grèves occupations de | |veulent un gouvernement communiste | |terres : risque de contagion bolchevique |( les années 20 sont caractérisées par des problèmes |192o l’armée rouge est victorieuse : pouvoir | |en 1920 l’Italie semble au bord de la révolution |économiques, financiers (dettes

supporter la charge de la preuve. Aussi, afin qu’un déséquilibre durable ne s’installe à la défaveur des victimes, mais également en raison des progrès techniques et des risques inhérents à la modernisation, la théorie classique du fondement sur la faute fut quelque peu délaissée tout d’abord au profit de la théorie du risque élaborée par Josserand et Saleilles, puis de manière plus générale la responsabilité civile délictuelle ne fut plus subordonnée à un fondement unique ce qui a permis, tant

dans l'Histoire On trouve L'URSS, surtout sous Staline (1928-1953), régime totalitaire, qui a utilisé tous les moyens de propagande disponibles à l'époque : Les affiches et le photomontage vantant l'industrialisation, la planification et la collectivisation forcée des terres. Publicités et affiches de recrutement dans l'Armée rouge. Statistiques de productions de céréales truquées durant la famine des années 1930. Manifestations « spontanées » et grandes parades comme celles de 1935 à Moscou

Successeur nommé par hô fort du parti : Deng Xiaoping (78) → reforme : politiq de la porte ouverte fondée sur les 4 piliers de la modernisation : l'agri/ industrie/ recherche/ defense → 93 : D. Xiaoping met en place économie socialiste de marché (de-collectivisation de l'agri/ restitution des terres/ libéralisation de l’économie urbaine (libre entreprises) → attire capitaux étrangers pr continuer modernisation. 92 : successeur de Xiaoping : Jiang Zemin = poursuit reformes de Xiaoping → C s'occidentalise

|   II. Faut-il privatiser toutes les entreprises publiques ?   Les partisans de l’ultra libéralisme considèrent qu’il faut tout libéraliser, tandis que les communistes préconisaient naguère une collectivisation des entreprises. La frange intermédiaire se répartissant dans les multiples nuances du oui mais, exprimant des exceptions plus ou moins importantes. a.      Soubassement idéologique des prises de position Les théoriciens du communisme

qu’il nommait auparavant « le merveilleux Géorgien ». D’ailleurs, en 1922, Lénine rédige une note souvent qualifiée de « testament politique » et dans laquelle il invite le Parti à se méfier d’un Staline « trop brutal », qui cumule trop de pouvoir et risque de s’en servir à mauvais escient. - L’accession au pouvoir Lénine a en effet perçu le rôle stratégique que prend le poste a priori formel de « secrétaire général du Comité central » quand la bureaucratie se renforce. Cela n’échappe pas non plus

individuelle. -du côté soviétique : Modèle politique : Dictature : régime autoritaire reposant sur un parti unique, la suppression des libertés individuelles et la terreur. Modèle économique : Le communisme : système économique reposant sur la collectivisation des moyens de production aux mains de l’Etat et sur la suppression des classes sociales. Modèle social : une société encadrée : l’individu est contrôlé par le culte de la personnalité, la répression, la censure et la propagande. 3 La rupture

chapeau de formes, costumes noirs, col blanc droit. B- Le monde ouvrier : 1- Classe née avec la révolution industrielle XIXe siècle : Un ouvrier se caractérise par un travail manuel souvent pénible. Il vit constamment avec le risque d’accident, dans un environnement professionnel marqué par des nuisances (bruit, saleté, odeurs), dans de mauvaises conditions d’hygiène et de sécurité. Ces hommes vendent leur force de travail contre un salaire faible, leur octroyant des conditions

espoirs de Yalta : les deux systèmes sont trop opposés, incompatibles. Il n’y a plus d’ennemi commun à vaincre, et leur entente durable est impossible. L’un des systèmes repose sur le capitalisme, la démocratie. L’autre sur le totalitarisme et la collectivisation de tous les moyens de production. Discours de Fulton, mars 1946 : en voyage aux Etats-Unis, Churchill tire le premier la sonnette d’alarme. Il emploie l’image d’un « rideau de fer » coupant l’Europe en deux, image tout de suite devenue célèbre

ceux qui les mettent en œuvre. Le capitalisme est fondé sur : l'entreprise privée (il peut exister un capitalisme d'Etat) ; la liberté des échanges ; le pouvoir des actionnaires ; la recherche de profit considéré comme une contrepartie au risque encouru ; l'accumulation du capital. Dans la pratique chacune de ces caractéristiques peut être plus ou moins accentuée, donnant à la notion de capitalisme une grande diversité des formes. Le capitalisme moderne, qui se caractérise par un partage