La Communauté des chrétiens

Rome étend son autorité spirituelle sur l’ensemble des chrétiens et la religion est la colonne vertébrale de la société. Cette diffusion du christianisme fut progressive mais elle marque de son empreinte la vie des Européens de cette époque. Problématique : Comment l’Eglise a affirmé son autorité et comment l’Europe occidentale vit-elle sous influence chrétienne ? Plan I- La diffusion du christianisme en Europe. II- Une société chrétienne. III- Les exclus de la chrétienté. I- La diffusion

ne s'agit pas, et c'est remarquable, d'un manuel ou d'un traité, mais bien d'un "récit historique", presqu'un roman. Il nous présente une vision de Jésus peu conforme à la tradition chrétienne en nous offrant le récit d'un homme,dont la vision humaniste et révolutionnaire contraste avec sa déification par les chrétiens. L'analyse de l'environnement historique,politique et culturel dans lequel ce récit se présente nous apporte une vision plus rationnelle et contribue à dégager une histoire conforme

s'appel la «Chrétienté» ou «l'occident Chrétien». L'église c'est l'ensemble des Chrétiens et c'est différent de l'église (lieu de culte). Elle encadre la société et rythme la vie des hommes de la naissance à la mort. La religion chrétienne a triomphé des croyances païennes, mais sa domination provoque des tensions et des résistances. Problématique: Quelle place occupe la religion chrétienne dans l'Europe du XI° - XIII° siècle? I- La religion chrétienne est partout dans la vie quotidienne.

Sunnites, Chrétiens Maronites, Druzes, et autres chrétiens. Seulement après la guerre, le bilan est alarmant… Les infrastructures ont été détruites, et près d’un quart de la population a émigré. La paix fragile restaurée au début des années 1990 n’est qu’une étape sur la voie de l’indépendance complète du pays et de la participation de toutes ses composantes nationales au nouveau régime. Ce qu’il faut savoir : Les phalangistes ou Kataëb sont un parti Politique essentiellement chrétien mais officiellement

« fiançailles » La réflexion est différente s’il s’agit de régularisation ou de « jeunes fiancés ») Il est de toute importance de bien choisir celui ou celle avec qui on a l’intention de faire un mariage chrétien. Une erreur de départ ne peut pas se réparer. C’est pour cela que beaucoup de chrétiens se marient d’abord selon la coutume, vivent ensemble pendant des mois ou des années avant de se marier à l’église. Lorsqu’on leur parle de cela, ils disent «  se marier à l’église c’est pour la vie, alors

coll. « Champs », 1997. - C. DEREMBLE, L’art et la foi au Moyen Age, Documentation Photographique, 1997. - J. BASCHET, La chrétienté occidentale, représentations et pratiques sociales, Documentation Photographique n° 8047, 2005. - A. VAUCHEZ, Chrétiens du Moyen Age, Documentation Photographique n° 6104, 1989. - « Les bâtisseurs de cathédrales : les secrets des chefs d'œuvre », dossier spécial, L'Histoire, n°249, décembre 2000. - « Dieu au Moyen Age », n° spécial de l’Histoire, n° 305 , janvier

on pense aussitôt aux cathédrales mais aussi aux bûchers de l'Inquisition et au luxe de certaines abbayes ! Il faut dépasser ces clichés pour comprendre le rôle capital de l'Église dans la société médiévale... Nous rappelons ci-après le message chrétien, centré sur l'espérance en la vie éternelle, ainsi que la manière dont il est enseigné et diffusé par l'Église médiévale. Dans une 2e partie, nous voyons comment est organisée l'institution ecclésiale. Enfin, nous évoquons quelques aspects de l'imbrication

épanouissement politique au 5 eme siècle. Eléments essentiels qui forgent la cité : * Cadre territorial restreint * Une communauté de citoyens ‘exclusion des esclaves et des étrangers : pas citoyen au sens grec) * Une constitution qui règle l’activité des citoyens et jeu des organes politiques Pouvoir conçu comme une fonction au service de la communauté politique. Agencement romain : * Formation plus lente : -glissement du pouvoir

temps de crises et seulement au sujet d’enjeux nationaux majeurs. Pour les Libanais le caractère démonstratif et avide de médias de Rai contraste avec la réserve très digne de Sfeir. Selon eux certaines des initiatives de Rai (réunion des leaders chrétiens et non moins futile sommet spirituel), sa suractivité et son ubiquité, trahissent son besoin de paraître et de faire sa propre promotion. Parlant de Sfeir et Rai, les maronites pourraient dire en plaisantant : notre patriarche permanent et notre

des toits du village, rassemblés autour de l’église comme le troupeau autour du berger. Anciennement, et il existe encore des traces de cette organisation, les tombes des morts entouraient l’église comme pour rendre encore plus visible la communauté des chrétiens. On peut faire trois remarques à propos de cette disposition spatiale : — Elle est indissociable d’une organisation corrélative du temps. L’année, la semaine, les heures du jour sont marquées par des temps forts. Jacques Le Goff a souligné