La Communauté des chrétiens

Si non, comme un tabouret à deux pieds on se casse la gueule. Avant tout Je tiens à remercier wikipédias qui m’a permis en un temps record de vous concocter cette synthese et qui à de très bonnes définitions, de ce qu’est l’enseignement social chrétien et de la réflexion sociale posé par l’Eglise catholique depuis presque 120 ans. Réflexion qui devait être bien présente dans les têtes des fondateurs du CJD. 1- Première définition, qu’est ce que le bien commun ? Le bien commun est l'« ensemble

enfante des œuvres, partout où elle passe. Il revenait à Robert Somerville de le rappeler, à lui dont les écrits et les prédications sont comme les variations d’un virtuose sur se thème, la Grâce, inlassablement la Grâce ! Les œuvres sociales chrétiennes sont un témoignage rendu à la grâce de Dieu. Il existe un lien direct entre le salut par grâce et « les oeuvres bonnes que Dieu a préparées d’avance afin que nous les pratiquions » (Ép 2.8,10). Le monde vit sur le principe du donnant-donnant : «

et l'organisation poli et sociale sont en sursis. Ds le sys politique on se retrouve ac des hommes chrétiens et d'autre qui sont paiens et tt le monde doit parvenir à coexister ds le mm état et il se trouve que cela est rendu possible par le fait que quelque soit le sens que l'on donne à la vie on a ts besoins de vivre en paix, en bonne inteligence avec tout le monde. Bien evidement les chrétiens on besoin comme les paiens d'un certains nombre de bien matériel. La différence c'est que pr les paiens

2ème av JC: écrit le récit historique = Les faits + Expo de la situation avec points de vus + Réponse trouvée à la situation et ses conséquences. Une histoire au service des pouvoirs, puis de la philosophie A- L’histoire soumise à l’Eglise chrétienne et aux rois (Rome (18ème) : Le christianisme est la religion officielle de l’empire romain. Les historiens doivent valoriser le christianisme, car volontés de Dieu= providentialisme. L’histoire est au service de la monarchie : récit hagiographique

international organisé par la faculté de théologie de l'Université de Navarra en 1998. Travaux publiés par le Professeur Augusto SARMIENTO. Analyse du livre par Cyprien MELIBI MELIBI Introduction De puis la parénèse des apôtres, la doctrine morale chrétienne porte essentiellement sur la personne humaine. L’être humain est défini depuis toujours comme sujet et objet de toute investigation morale. La pensée philosophique dans sa substance, ne porte-t-elle pas elle aussi sur l’homme, son être et son agir

transmettre la Bonne Nouvelle, mais il ne disposait pas encore d’expressions ou d’images capables de traduire dans le langage des hommes la nouveauté absolue »2dont il était témoin. D’où la nécessité pour lui d’expliquer les évènements de la Pentecôte chrétienne en s’appuyant sur l’Ancien Testament et sur la vie de Jésus bien que celle-ci se situe dans les écrits de ses contemporains. Cette situation, nous amène à aller à la recherche de ces éléments que renferme le récit en question. Qu’a donc puisez

religieuses que celles du reste de l'Europe. La chrétienté s'étend aussi par les Croisades: naissance des Etats latins en Orient et en Espagne, par la Reconquista, naissance d'Etats chrétiens où cohabitent des communautés chrétiennes et musulmanes. B. Vl'exclusion des Juifsers Mise à l'écart et persécutions des communautés juives accompagnent l'expansion de la chrétienté en Occident. Elles étaient jusqu'alors plutôt bien intégrées et disposaient de pouvoirs civils et religieux. A partir de 1095

moteur de cette relation est « comme chrétien il est obligatoire le refus d’un système socio-econo-politique s’il ne prend pas en contre les conditions nécessaires à ce que la société soit une famille réellement, une communauté de frères où chacun puisse vivre en accord avec la dignité et la liberté des fils de Dieu. Car la construction d’une société meilleur passe le perfectionnement constamment au de participation effective aux activités et aux bien de la communauté et même à la liberté de pensée

l’Ancien Testament des chrétiens comporte 24 livres regroupés en 3 parties : La Loi (5 premiers) ; les Prophètes (8 suivants) et les Écrits (11 derniers). b. Le christianisme. La reconnaissance dans le prophète et thaumaturge Jésus de Nazareth du Messie par une partie du peuple juif provoque une scission à partir du Ier s. de l’ère chrétienne. Les chrétiens ne sont cependant pas unis. Le christianisme fourmille de sectes, d’obédiences, d’hérésies, d’églises. La Bible chrétienne comprend à la fois

l'islam sunnite et la majorité des Persans est chiite. Cependant, une partie des Arabes est chiite (au sud de l'Irak, sur les rives du golfe Persique et dans certaines régions du Liban) et certains Turcs sont alévis (une branche du chiisme). Les chrétiens sont également présents. Ils sont les héritiers des cultures et des langues présentes au Moyen-Orient avant l'arrivée des Arabes au VIIe siècle. Minoritaires, ils sont aussi très divisés en différentes Églises, parmi lesquelles on peut mentionner