La Communauté Internationale Face Aux Problemes Africains

immigrés, à la migration et à la circulation des personnes Co-financé par l’ Institut universitaire européen et l’Union européenne (Programme AENEAS) CARIM Consortium euro-méditerranéen pour la recherche appliquée sur les migrations internationales Notes d’analyse et de synthèse – module socio-politique CARIM-AS 2009/16 Abderazak Bel Hadj Zekri Office des Tunisiens à l’Etranger, Tunisie La migration de transit en Tunisie : état des lieux et impacts et avancement de la recherche

Directeur du Programme Droits Humains du CETIM et Représentant permanent auprès de l’ONU Christophe Golay, Docteur en droit international, IHEID, Genève Une collection du Programme Droits Humains du Centre Europe - Tiers Monde (CETIM) 2 INTRODUCTION Le droit des peuples à l’autodétermination (le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes) est un pilier du droit international contemporain (voir chapitre I). Depuis l’adoption de la Charte des Nations Unies en 1945, il a constitué la base juridique

jours ou plusieurs semaines? Et sans aucun revenu, comment pourrait-il payer un traitement médical à même de le remettre sur pied et au travail, et subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille? Et s'il restait handicapé à vie? C'est à ce type de problèmes que sont quotidiennement confrontés les travailleurs en Afrique, où, dans de nombreux pays, moins de 10 pour cent de la population active bénéficient d'une couverture sociale, y compris une assurance santé. La sécurité sociale – généralement définie

[pic] André Malraux a dit : « L’homme est né quand face à un cadavre il a murmuré : pourquoi ? ». En l’occurrence ce n’est pas un corps mais des milliers qui ont jonché le sol et le jonchent toujours dans deux petits territoires africains longtemps loin des caméras : le Tchad et le Darfour. Doit-on en déduire que de nombreuses démocraties ont perdu un peu de leur humanité ? Elles avaient les capacités d’intervenir dès le début des problèmes et pourtant elles n’ont attendu que la forte médiatisation

gardé des EU qui sont intervenu et ceux depuis 19ème (doctrine monroe ?), parce que c’est un continent de culture américaine et européenne qui peut demain devenir partenaire économique et politique prioritaire du mon occidental (europe, EU) notamment face à la puissance chinoise. L’Amérique latine renforcera ses liens avec l’Asie (s’orienter vers la chine pour luter contre l’influence américaine) Brésil : 200 millions d’habitants = nation dominante du continent. Continent qui se doit d’être réformé

plus dépendants des échanges internationaux de biens de consommation. De cette dépendance naît le besoin élémentaire d'un système de commerce mondial globalement ouvert et d'une libre circulation sur les mers. Dans ce contexte, les chiffres-clés suivants soulignent l'importance que revêt une circulation maritime non perturbée. La part maritime du commerce international croît avec le développement du commerce mondial. Actuellement environ 95 % des échanges internationaux et intercontinentaux de marchandises

PROBLEMES POLITIQUES INTERNATIONAUX Première partie : Le monde après la guerre froide (de 1989 à nos jours) De 1989 (chute des démocraties populaires) à 1991 (chute de l’URSS). Un nouveau monde émerge Projet de nouvel ordre mondial mais échec. Années 89-91 : fin du monde bipolaire dominé par le couple EU-URSS depuis fin GM2. Cela aurait du être la fin d’un monde bipolaire : tentative de cons° d’un monde multipolaire/multilatéral mais concurrence d’une vision plus unilatérale avec EU hégémoniques

bien la voir se maintenir chez nous et s’y développer », le Maghreb comme terre de coopération, « Mais la communauté de pensées, de buts et de destins est telle entre les trois peuples d’Afrique du Nord et leurs mouvements de libération, qu’en parlant d’une partie on parle nécessairement du tout et inversement ». L’auteur analyse aussi l’impérialisme comme agression permanente, les problèmes des pays sous-développés, « Un autre trait commun est né d’une espèce de conscience d’exploitation économique

sanctionner les auteurs de telles atrocités ; en imposant des contraintes légales et normatives internationales plus strictes pour freiner les comportements hostiles aux civils, et en renforçant les forces de sécurité... de sorte qu’elles fassent respecter ces règles », peut-on lire dans ce document, publié par l’Africa Center for Strategic Studies (ACSS), sis à Washington. « Les coûts humains des guerres africaines sont colossaux. Les civils sont les premières victimes de ces conflits, et bien que la

50 ans d’indépendance : quelle Renaissance pour les États africains ? Dr. Djibril DIOP Chercheur associé au CÉRIUM - Université de Montréal (Québec) djibril.diop@umontreal.ca « On a trop dansé en Afrique, on a trop chanté et on a trop rigolé ...Pour cette commémoration il n’y aura ni défilé militaire pompeux, ni danses endiablées, mais un colloque. Un colloque auquel j’inviterais les représentants de tous les pays africains qui ont acquis leur indépendance en 1960 afin que l’on réfléchisse