La Comédie Classique Xviie Siècle

LE XVIIIème LES LUMIERES Le siècle des Lumières tire son nom du mouvement intellectuel, culturel et scientifique aux multiples manifestations connues sous le nom de Lumières, et qui essaye de propager le savoir à tous. Ce mouvement est marqué par le rationalisme philosophique et l'exaltation des sciences, ainsi que par la critique de l'ordre social et de la hiérarchie religieuse, principaux éléments de l'idéologie politique qui fut au fondement de la Révolution française. L'expression était déjà

caractéristiques Thèmes privilégiés Auteurs et œuvres majeurs L’ art classique L’introduction A partir du XVIe siècle , la littérature française passe par différentes mouvements littéraires. Un mouvement littéraire désigne un ensemble d'auteurs et d'œuvres de littérature ayant des traits communs affichés. Le classicisme est un mouvement littéraire , spécifiquement français, qui s’est développé dans la seconde moitié du XVIIe siècle, sous le règne du roi Louis XIV. Le classicisme apparaît en

Capitaine Fracasse dans une version abrégée1. Elle rend plus accessible une œuvre dont l’épaisseur rebute souvent le jeune lecteur et, parfois, le professeur, confronté aux choix à faire et aux limites imposées par le cadre de la séquence. UN « CLASSIQUE ABRÉGÉ » Rappelons qu’il ne s’agit pas de réécriture, mais simplement de « réduction » : le texte n’est pas modifié, certains passages sont supprimés. Par exemple, on ne trouvera pas ici le long portrait fort célèbre du Matamore, morceau de bravoure

L'Humanisme - XVIe siècle L’humanisme est une attitude philosophique qui met l’Homme et les valeurs humaines au cœur de ses questionnements. Redécouvrant les grands textes de l'Antiquité, le mouvement humaniste affirme sa foi dans les capacités de connaissance que possède l'être humain. L'humanisme insiste sur les "trois P" : pédagogie, philosophie et philologie, et affirme donc la valeur de l'éducation humaniste (à travers l'apprentissage des langues par exemple) contre l'éducation monastique

nous allons vous présenter un dossier concernant les différents mouvements littéraires à savoir : l’Humanisme, en premier chapitre, suivra la Pléiade, puis le Baroque, la Préciosité, le Classicisme, et se clôturera hpar le dernier mouvement : le siècle des Lumières. En effet, dans ce dossier, chaque mouvement sera analysées. On les étudira, présentera une courte biographie d’un auteur emblématique. En dernier lieu, sera présenté, un texte par mouvements, illustrant les thèmes ou l’esthétique de

élément de la pièce à part entière, il fait partie du texte. Le théâtre du XVIIe siècle comporte très peu de didascalies. Plus tard, elles se multiplient : les dramaturges, Hugo, puis au XXe siècle Beckett (document C), pensent que les éléments concrets enrichissent la pièce. Si le metteur en scène ne tient pas compte des didascalies, il ampute l'œuvre. Ainsi de Dom Juan et Sganarelle, au début de l'acte III de la comédie de Molière : ils sont habillés l'un en médecin, l'autre en habit de campagne ;

en scène, en jouant des pièces d’autres auteurs comme Corneille, écrira ses propres pièces bien plus tard. Donc il sait bien que le théâtre n’est fait que pour être représenté. C’est certainement ce qui la poussé à écrire, « On sait bien que les comédies [et les tragédies] ne sont faites que pour être jouées » dans l'avis au lecteur de L'Amour médecin (1665). Mais cette affirmation laisse à désirer, car le théâtre notamment en France est reconnu aujourd'hui aussi bien comme un domaine littéraire

 FICHE DE LECTURE Héros romanesques au XIXème et XXème siècles Stendal Le Rouge et le Noir (1830) Stendhal (1783-1842) Mme Sttaell amène le romantisme. Stendhal a écrit Shatespeare et Racine. Il écrit aussi Chartreuse de Parme et Lucien Leven qu’il n’a pas terminé ,il est mort avant. Il a une vision du roman particulière. Le roman pour lui est un miroir qu’on promène le long de la route. Le Rouge et le Noir nous parle de

Corneille envisage, après de solides études chez les Jésuites, une carrière d'avocat avant de se tourner vers la littérature. Il écrit d'abord des comédies comme Mélite (1629, sa première œuvre), La Place royale (1634), L’Illusion comique (1636) ou plus tard Le Menteur (1643). Mais à partir de 1637, il se tourne vers le genre tragique avec en (1637), une tragi-comédie qui fait grand bruit Le Cid. Suivront des tragédies aux sujets romains comme Horace (1640), Cinna ou la Clémence d'Auguste (1641), Polyeucte

élément de la pièce à part entière, il fait partie du texte. Le théâtre du XVIIe siècle comporte très peu de didascalies. Plus tard, elles se multiplient : les dramaturges, Hugo, puis au XXe siècle Beckett (document C), pensent que les éléments concrets enrichissent la pièce. Si le metteur en scène ne tient pas compte des didascalies, il ampute l'œuvre. Ainsi de Dom Juan et Sganarelle, au début de l'acte III de la comédie de Molière : ils sont habillés l'un en médecin, l'autre en habit de campagne ;