La Conception De La Liberté Selon Epictète

nous amène à la notion d’illusion. Parfois imaginer est beaucoup plus intéressant que le désir en soi. Ceci est également en relation avec autrui car c’est une tentative de dépassement de notre individualité. Ce désir pose aussi la question de notre liberté , nous pouvons être dépendant de nos désirs. I – Le désir est manque : la nostalgie Désirer c’est vouloir ce dont on se sait dépourvu. On ne désir jamais ce que l’on ignore qui nous manque. On voit déjà ici la notion de conscience. La première

philosophie (Diogène Laërce, Plutarque) * Les premiers textes stoïciens à passer à la postérité sont issus de philosophes ayant vécu à l’âge d’or de l’empire Romain. Les principaux philosophes Stoïciens de l’empire romain sont : Cicéron, Sénèque, Epictète, Marc Aurèle (qui a été Empereur Romain) On parle du Stoïcisme impérial pour désigner le courant Romain du Stoïcisme qui est aussi celui dont il nous reste le plus de traces écrites. Le Stoïcisme est un Eudémonisme Comme l’Epicurisme dont

Epictète: « Ce n'est pas par la satisfaction du désir que s'obtient la liberté, mais par la destruction du désir. » « Le bonheur ne consiste pas à acquérir et à jouir, mais à ne rien désirer, car il consiste à être libre.  » Sénèque: Qu'est-ce qui peut manquer à l'homme qui s'est placé hors de tous les désirs? De quelle ressource extérieure peut avoir besoin celui qui a réuni en lui tous ses biens?  Renonçons à vouloir ce que nous avons voulu. Pour ma part, je m'attache à ne pas désirer

Jeudi 15 avril Peut-on vouloir le bien sans le faire ?  Lycée St Just à Lyon - Fourvières, avec Isabelle Ledoux Bibliographie :  Dostoïevski, L’Idiot Epictète, Entretiens, livre III, chapitre XII « De l’exercice » Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs, 2ème section, Sur l’expression courante « il se peut que ce soit juste en théorie, mais en pratique cela ne vaut rien », Idée d’une histoire universelle, 6ème proposition, Conflit des facultés Descartes, Discours de la méthode, Les

Le sujet dans ses fondements et ses limites Notion en jeu : - le sujet - la conscience - la liberté - l'inconscient Analyse de la notion de sujet et introduction du problème Être un sujet, c'est « dire Je ». « Dire on », c'est se soustraire à la responsabilité de « dire Je ». C'est se mettre à l’abri car cela permet de se cacher derrière une foule indéterminée, anonyme, de sorte qu'en disant on, le sujet n'est pas lui-même et même n'est plus personne. Personne

mal………………………………………………...p.2 B. Saint Augustin face à la conception manichéenne du mal…………………p.3 C. Saint Thomas d’Aquin et l’étiologie d’Aristote……………………………p.4 II. L’origine du mal et la défense de Dieu………………………….……………….p.5 A. Dieu et le mal chez les philosophes antiques……………………………....p.5 B. Leibniz et la théodicée……..……………………………………………....p.6 C. Le tournant kantien et le mal radical……………………………………....p.8 III. Que faire du mal ? ………………………………………………………………..p.9 A. Epictète et l’acceptation stoïcienne ……………………………………

donna cette unité et cette force qui lui ont fait une place à part parmi les conceptions philosophiques des Anciens. B. Le stoïcisme moyen avec surtout Panétius et Posidonius au II et I S. Av  JC  -Panaetius, né vers 180 av. J.-C, il reprit l’école de stoïcisme d’Athènes après Antipater… -Posidonius, né au environ de 135, ouvrira une « école » a Rhodes… C. Le stoicisme nouveau ou impérial avec Sénèque, Epictète et Marc  Aurèle au I et II s ap JC  -Sénèque, né en l’an 3 ap.j-c après avoir suivi son père sur la voie de l’éloquence

cynismes et tentative de définition de la culture pour et par les cyniques. Le cynisme ne fut jamais matériellement une école philosophique à part entière, mais plutôt un courant de pensée qui se transmit entre plusieurs individus pour lesquels la conception du maître et de son disciple, avait peu d’importance. Ainsi, nous parlons bien volontiers « des » cyniques, car leur savoir ne se transmettait jamais académiquement, comme si il représentait un système cohérent et globalisateur d’une certaine vision

terminer, dans une ultime étape, nous montrerons qu'il ne faut pas pour autant sombrer dans le pessimisme auquel semblait nous conduire notre pensée : nous sommes bien responsables de notre bonheur et cette responsabilité débute dans la conception même de ce dernier. Cette dernière partie sera en effet l'occasion pour nous de défendre l'idée que l'homme est capable d'agir effectivement sur son bonheur s'il le conçoit correctement au préalable : il est donc responsable sur tous les plans.Première

Lecture de « apprendre à vivre » notes. Chapitre 1) Edgar Poe : poème (Irréversibilité de l'existence) Epictète : Stoïcien (crainte de la mort, « jamais plus ») [mais tentative de dépasser cette crainte de la mort] Montaigne : Stoïcien (philosopher c'est apprendre à mourir) [idée de Platon au départ] Kant : [Kant n'est pas un Stoïcien, mais il est cité ici] (que nous est il permis d'espérer?) ---------------------------------------------------------------------------------------------