La Conditionnalité De L Accès Aux Ressources Du Fmi

par Mamounata Cissé L’intégration régionale en Afrique: mode d’emploi, par Mohammed Mwamadzingo Le défi de l’économie informelle, par Emile Delvaux Une nouvelle conception de l’ajustement, par Lawrence Egulu Mondialisation, démocratisation et conditionnalités à géométrie variable, par François Misser SIDA: prévention et trithérapies, pas de contre-indication pour le Sud, par Jacky Delorme Bâtir une Afrique riche en informatique, par Marc Bélanger L’impact de la mondialisation en Afrique et la réponse

l’opinion des pays industriels, avec notamment les mobilisations et les manifestations autour des réunions internationales ? Cela semble avoir été le cas : l’échelle des craintes et celle des priorités se sont modifiées, et l’annulation des assemblées du FMI et de la Banque mondiale, en septembre 2001, a privé les opposants à ces institutions d’une occasion de mobilisation. De même, lors de la réunion ministérielle de l’OMC à Doha, les mouvements contestataires ont semblé marginalisés. Il est possible que

Situation historique : Débat sur la faillite des politiques de développement des pays Latino-Américains après les années ’50, et des SAP - PRSP. Ainsi que le débat entre le pouvoir du marché et le rôle de l’état. 3 II. Promoteurs du consensus : FMI, Banque Mondiale et Département du Trésor Américain. 4 III. Objectifs : Les dix politiques du consensus visées. 7 IV. Moyens : Économie de marché, ouverture à l’internationale et discipline macro-économique. 9 STABILISATION : L’IDÉE D’UNE DISCIPLINE

l’entreprise. Un fait qui conduit de plus en plus les entreprises à se tourner vers les activités hors-bilan. De ces principales caractéristiques du hors-bilan découle l’un de ses avantages : il offre à l’entreprise la possibilité de posséder des ressources régulières à travers, par exemple, l’exécution des obligations par l’autre partie. Les engagements hors-bilan Ces derniers peuvent se définir comme les activités auxquelles l’entreprise peut se livrer dans le cadre du hors-bilan. D’une manière

problématiques courantes du développement : droits de l’homme, libertés, démocratie, développement social… font désormais partie du lexique ordinaire des acteurs de l’aide au développement. La Banque mondiale (BM) et le Fonds monétaire international (FMI) ont, eux aussi, adopté ce nouveau vocabulaire. Il semblerait qu’un nouveau consensus ait vu le jour, que l’on nomme déjà le Consensus de Monterrey1. Le Consensus de Washington et les Plans d’ajustement structurels seraient dépassés et des « réformes

L’AFRIQUE DANS LA MONDIALISATION Exam : le 9 avril 12h30 I/ UN CONTINENT SI RICHE A- Géographie des ressources 3) Démographie et migrations Continent jeune (environ 40% de la pop à – de 15 ans) Taux de fécondité plus élevés en Afrique que dans le reste du monde (5 enfants par femme en moyenne) Le continent serait proche du milliard d’habitant 160 millions de jeunes actifs Ces données ont des conséquences économiques car ces pop vont entrer sur le marché du travail, il faut donc

Tribunal d’arbitrage du Mercosur, de n’avoir pas démantelé le barrage du pont, tandis que l’Argentine poursuit en 2006 l’Uruguay devant la Cour internationale de justice. Buenos Aires accuse son voisin d’avoir violé le Traité de gestion commune des ressources du fleuve, datant de 1975, et d’avoir causé la pollution de ses eaux. Depuis 2007 et dans l’attente du verdict final de La Haye, les dirigeants argentins (Cristina Fernández, élue en 2007) et uruguayens (Tabaré Vázquez et son successeur depuis

moyens d’actions : - « sécurité collective » = recours à la force armée interdit (sauf légitime défense) + nécessité d'une autorisation du CS - « coopération internationale » >> création d’institutions spécialisées du système des Nations unies (ex : FMI, Banque mondiale, OMS, OIT, UNESCO, FAO, OMI, ...) A partir des années 50 - développement d'OI régionales militaire (OTAN, UEO), économique (CEE, ALENA, ASEAN, Mercosur) politique (UE, Organisation des Etats américains, Union Africaine, la Ligue des

des biens à forte teneur en capital et à faible teneur en travail. Or, ça n’est pas le cas, puisque les USA exporte des produits à forte teneur en travail et en capital. Tout d’abord, dans les modèles précédents, on a tendance à minimiser les ressources naturelles. Il y a un autre facteur qui fait que le coût du travail est plus faible dans un pays où la main d’œuvre est plus rare que dans un pays où la MOD est abondante : l’organisation du travail. En réalité les théories précédentes ne tiennent

Des contraintes préexistantes sur les ressources sont désormais exacerbées par l’écart croissant entre l’épargne et l’investissement. Les engagements précédents et répétés d’accroître l’aide apportée à l’Afrique doivent être réalisées rapidement : la rapidité de l'accès à cette aide est vitale. Cependant, seule, elle ne suffira pas à permettre à l’Afrique de restaurer un niveau de croissance suffisant pour réduire les niveaux de pauvreté. De nouvelles ressources additionnelles doivent être débloquées