La Connaissance Est Elle Réminiscence

Dégagement des structures Idée générale : Séduction d’Emma Bovary par Rodolphe Boulanger lors des comices agricoles de Yonville. Mot-clé : « alors une mollesse la saisit » Plan : I. Déclaration de Rodolphe (l.1 à 9) II. Réminiscence d’Emma (l.19 à 44) III. Discours du conseiller M. Lieuvain (.44 à 68) IV. Discours de M. Derozerays (l.68 à 95) V. Réunion des deux scènes (l. 95 à 120) Registre : Jeu sur les registres. Principalement ironique

expérience des études historiques19 : le discours de Claude montre une culture étendue et des connaissances historiques pointues sur les Étrusques, tandis que le fil du discours témoigne d’une suite de ses idées pas toujours évidente20. On retrouve également le penchant déclaré de Claude pour la rhétorique de Cicéron, avec son goût des longues digressions et sa solide culture. Le discours a des réminiscences du Pro Balbo de Cicéron, par lequel il défendait l’espagnol Lucius Cornelius Balbus dont la

persuasion » 260. • Critique platonicienne de la rhétorique : elle n’a qu’un but, persuader la foule à l’Assemblée et au Tribunal. Elle s’en tient au vraisemblable plutôt qu’au vrai (259260 ; 273). Cela dit, la connaissance du vraisemblable implique celle du vrai (259262). En fait la connaissance du vrai est affaire de méthode, non de hasard (262266), c’est-à-dire de philosophie et non d’un art quelconque du bien parler. C/ Socrate et Phèdre : deux amoureux des discours Socrate et Phèdre ont au moins

dualité une réminiscence du personnage de Mélusine, à la fois châtelaine et créature aquatique maléfique, ou du personnage de la fée Viviane. Dans le deuxième couplet est évoqué le passage de l'élément liquide à l'élément solide (« flot », « courant », « sentier », « palais »). Mais on voit qu'il peut y avoir union des contraires, que l'un n'exclut pas l'autre comme le montre l'antithèse «palais » / « fluide ». Dans ce même couplet il y a une allégorie d'un cheminement vers la connaissance à travers

psychique, et il est arrivé à en guérir quelques-uns par l’hypnose ou par la remémoration de faits ayant donnés naissance au traumatisme. Ainsi Freud résume ses études sur l’hystérie par la formule suivante : les hystériques souffrent de réminiscences. C’est-à-dire que ces malades souffrent de ressouvenir qui sont les résidus et les symboles de certaines évènements traumatiques. Les patients ayant subis un passé douloureux n’arrivent pas à s’en détacher et par là ils négligent le présent et

l’aide de chaînons intermédiaires, mais directement en tant que cause déclenchante, tout à fait à la façon d’une souffrance morale qui, remémorée, peut encore tardivement, à l’état de conscience claire, provoquer une sécrétion de larmes : c’est de réminiscences surtout que souffre l’hystérique3. II. Il semble au premier abord surprenant que des événements depuis longtemps passés puissent exercer une action aussi intense et que leur souvenir ne soit pas soumis à l’usure, comme cela se produit pour tous

courageux dans les épreuves, à pratiquer la justice, à dire tjrs la vérité. Le postulant passe des journées en prière dans toute attitude commune à toutes les initiations de l’esprit. Cette préparation spirituelle et physique doit lui donner la connaissance de l’esprit qui le libérera du Mal. Il arrivait, que l’initiation spirituelle s’accompagnât d’autres initiations d’apparences ésotériques. Le Maître le conduisait sur une montagne élevée, choisissait un point où, au-dessus du système nuageux,

véritablement le tour de la maison. Il subit plutôt une crise de somnambulisme. Nous sommes présents à nous-mêmes, on sait donc qu’on est là entrain de faire, que c’est nous et pas un autre qui agit. 3. Mais avoir conscience c’est aussi et surtout avoir la connaissance , or connaître ou comprendre quelque chose, c’est en saisir les causes ou le but, le sens, le contenu. Or si nous savons que nous sommes en train de faire, nous ne savons pas nécessairement les raisons et effets de nos agissements. On peut ici

source du Léthé, prendre le fleuve de droite. - Pythagorisme: revenir à la mémoire pour mieux se connaitre. - Aristote: mémoire = pouvoir de conservation du passé. - Epicurisme: on est heureux en se souvenant des moments heureux. - Proust et la réminiscence avec la madeleine. C) La raison: une sortie du mythe: - Burnet: 6è s av J-C avec les philosophes ioniens ouvrent la voie à la science. - Verat: les philosophes ioniens n’ont rien à voir avec la science car ignore tout de l’expérimentation. - Cette

L’idéaliste disqualifie les sens 13 2. Il considère que la perception elle-même est intellectuelle 14 3. L’idéaliste promeut les vérités de l’esprit 14 B. L’empirisme 15 1. La raison provient de l’expérience 15 2. Pour l’empiriste, pas de connaissance a priori 15 3. La conception empiriste de la science (Newton) 16 C. Le problème de l’induction 17 1. Le problème logique de l’induction 17 2. La validité de l’induction dépend du cadre théorique 17 3. La « solution » de Popper : est vrai