La Conquête du courage

à plusieurs endroits dans le texte montre que la séduction est le moteur, l’essence de la vie. De plus, le locuteur laisse des traces de cette vision par le champ lexical de la séduction : «passion», «charmer», «charmes inexplicables», «envie», «conquête», «désirs» et «beauté». Dans un sens parallèle, Don Juan considère que l’homme est né pour dominer et combattre. L’accumulation «combattre par des transports, des larmes et des soupirs» met en évidence l’effort que fait le personnage pour arriver

communisme, le fascisme qui bousculent l'Europe à cette époque (paragraphe 2), son plan est qualifié de « gigantesque » (paragraphe 3) et par une métaphore il est lui-même qualifié de « Titan qui s'efforce à soulever le monde ». De plus, sa soif de conquête est également illustrée au travers d'une longue accumulation qui s'étend sur plusieurs phrases : « Pour le Führer, le Reich devait, en premier lieu, déchirer le traité de Versailles à la faveur de la crainte que la guerre inspirerait aux démocraties

prend peur et lui lance au visage un verre qui le blesse. Furieux de s’être trompé, il retire son masque et lui jure de revenir la séduire mais cette fois, de la manière qu’elle mérite, soit bassement et en employant tous les vils stratagèmes de la conquête amoureuse. On apprend ensuite que ce même Solal n’est autre que le supérieur hiérarchique d’Adrien Deume, le mari ambitieux et médiocre d’Ariane. Petit fonctionnaire de la Société Des Nations, Adrien est incroyablement paresseux et ne sait que trouver

| |* La pyramide est inachevée, signe que les Etats-Unis sont encore en construction (référence à la persévérance et au courage,| | | |cf. supra) : la conquête de l’Ouest est achevée, mais de « nouvelles frontières » apparaissent sans cesse : la conquête | | | |spatiale, étendre la démocratie dans le monde, etc

transition et changement soudain d’attitude de Merteuil Pauvre femme = T Ma foi  M semble désolée pour elle mais ce n’est pas le cas  elle semble ressentir de la sympathie mais non. AXE 2° Pour se moquer de V. Merteuil utilise 2 de ses « conquêtes » (C et T) V. montrerait selon elle un comportement enfantin, non digne d’un vrai libertin Ironie (majuscules) : Amant /Dame/ Ecolier/ Lettre/ Pupille Champs lexical d’un élève plutôt mauvais: Ecolier, enfantillage, appris, formules  M. se

presque rien. Il rédige au Ier s. av. J.-C , une Bibliothèque historique composée de 40 livres dont il nous en reste 15 aujourd’hui. Cet ouvrage se veut la somme de l’histoire de l’humanité depuis l’origine du monde jusqu’aux conquêtes de son contemporain Jules César. Il compose celui-ci à partir des connaissances acquises lors de ses voyages et par la consultation en bibliothèque des ouvrages de ses prédécesseurs, il a consacré trente ans de sa vie à construire un ouvrage propre

est constitué de digressions. Ainsi ce chapitre 6 des Essais est initié par une réflexion de Montaigne sur les différents types de transport. Puis de fil en aiguille, il aborde la question de la confrontation entre les civilisations. Les grandes conquêtes coloniales ont fait émergé de nouvelles interrogations et des débats sur le statut des indiens. Montaigne a assisté à ces débats et lut énormément de récits de voyage menés par des explorateurs ou des penseurs. Ici il prend part au débat et présente

baroque à l'époque du classicisme paru en 1682. Elle relate la vie d'un personnage infidèle, séducteur, libertin, blasphémateur, être de l'inconstance et du mouvement.Dom Juan, jeune noble accompagné de son fidèle valet Sganarelle, accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès. Seule la séductionl'intéresse et les jeunes femmes sont bafouées et déshonorées après qu'il en est décidé.L'extrait présenté est la scène 1 de l'acte I,la tirade

libertinage et l’hypocrisie ; un homme, Dom Juan, cumule les conquêtes amoureuses. En fait cette pièce est la 3ème adaptation française d’une comédie écrite, à la base, par l’espagnol Tirso de Molina et intitulée « El Burlador de Sevilla »  Résumé : Dom Juan est un « riche » aristocrate sicilien, marié à Done Elvire, une religieuse qu’il a enlevée du couvent. Mais rapidement, il quitte sa ville et sa femme car il a quelques conquêtes amoureuses en tête. Pendant son voyage, il rencontre son épouse

la rend quasi irrémédiable. - Dans sa lettre, Rodolphe parait faussement lyrique tandis que Flaubert nous le décrit plus terre à terre en retranscrivant ses propos :  Le lyrisme se retrouve grâce à : - Des apostrophes et des injonctions : « Du courage, Emma ! », « Emma ! Oubliez-moi ! » (3 ;17)... - Des exclamations : « Ô mon Dieu ! non, non, n’en accusez que la fatalité ! » (19), « je n’en sais rien, je suis fou ! » (33)... - Des interrogations rhétoriques donnent l’impression d’une argumentation : « Avez-vous