La Conquête du courage

se mêlaient inconsciemment à son désir, de même, une fois ce désir né, il le rationalise, en l’intégrant à sa grande bataille : « Il y aurait de la lâcheté à moi de ne pas exécuter un action qui peut m’être utile »[6], se dit-il pour se donner le courage de baiser son main. Cette ambiguïté - désir réel, conscience de classe – régit les rapports d Julien Sorel avec Mme de Rênal pendant la première partie du roman. Obtenir les faveurs de la femme, ce n’est pas gagner un plaisir, c’est surtout remporter

"homme d'État aux larges visées" Il dégage sa volonté impériale et impérialiste, sa prétention à restaurer la grandeur romaine ses ambitions territoriales, l’Afrique puis l’Europe. Pour Hitler, homme d’un Reich omnipuissant: ses annexions, ses conquêtes sont nommées comme des trophées. Mais pour le général, l'un se croyait surhumain et l'autre était inhumain. Mais d'autres points, sont aussi à énoncer, comme les circonstances des morts de ces deux hommes, Le Duce meurt assassiné, par un partisans

accumulations avec beaucoup de virgules (l.144 à 150 et l.151 à 155). Le texte donne une idée de « changement » (l.143). Ce qui intéresse Dom Juan c'est de chercher une nouvelle femme, de faire des « conquêtes » (l.155). Mais une fois qu'il a obtenu ce qu'il veut, ce n'est plus une conquête, il n'en veut plus. Il se prend pour un « conquérant » (l.157), ce qui donne une idée d'instabilité, d'inconstance. Il veut voler « de victoire en victoire » (l.158), ce qui donne une impression de mouvement

Européens, vils et cruels. Il fait l'éloge de leurs qualités morales, la loyauté, la franchise, le courage, la fermeté, la constance, de leur bon sens, de leur habileté. Ils n'attachent à l'or et aux pierres précieuses qu'une importance esthétique et ne s'en servent que pour rendre leurs villes plus belles. Ils ne connaissent ni l'envie ni la jalousie et ne s'adonnent à aucune guerre de conquête. La propriété privée n'existe pas plus que la notion de classe sociale. A la sagesse des "barbares"

Conclusion : Pour conclure nous pouvons dire que ce film est paru en 1939 aux États-Unis, soit à l’entrée de la 2nde guerre mondiale. Même si ce film a été interdit en Europe, on peut admirer un certain courage chez Chaplin de dénoncer ouvertement le régime d’Hitler, alors au pouvoir en Allemagne. La satire d’Hitler est faite tant dans la dénonciation de son idéologie et de ses actes tout en le ridiculisant, permettant ainsi à Chaplin de le décrédibiliser

moi dans la vie" - Mise en valeur de "moi" - La juxtaposition "Robinson-moi" qui nous montre le thème du double. - La formulation par antiphrase de la mort "aussi loin dans la vie": c'est la mort pour Bardamu. [Beaucoup de héros partent à la conquête du monde] - La mort est une solution pour Bardamu. Il s'agit de trouver une bonne idée pour dentaire dérouiller. Cf. texte 2 avec l'obus. - Les poncifs du roman classique sont inversés par Céline en faisant de la mort et de l'échec le but de la

realisation d’un bon roman. Le roman est fait d’un schéma narratif qui demande un héros sachant relever toutes les peripities qui puisse lui arriver. Celui ci doit donc etre héroique, réussissant tous ce qu’il fait dans la vie avec bravoure et courage. La publication en 1782 des Liaisons dangereuses un roman épistolaire de Pierre Choderlos de Laclos montre Mme de Merteuil un Heroine hors du commun. Dans ce meme recueil, nous trouvons le Vicomte de Valmont qui lui est bel et bien plein de volonté

les impressions sensibles. La paresse et la lâcheté. Il est difficile de s’arracher du confort de l’enfance, à l’inertie des habitudes et aux prestiges des sens et de l’imagination. La conquête de la certitude et du raisonnement, de la majorité intellectuelle et morale requiert des efforts et du courage. On comprend que peut d’hommes en assument le prix. Ceux-ci préfèrent d’ordinaire se complaire dans les faux savoirs qui ménagent leurs intérêts et leur tranquillité. Cf. « Les lumières, c’est

d’intensité « tant » : « Tant de batailles avec vous remportées sur les champs! Tant de grandes terres conquises » (l. 15-16). D’autre part, le comte fait preuve d’une force exceptionnelle. Force de caractère, d’abord, que traduisent son endurance, son courage et sa persévérance. Même s’il est sur le point de mourir, il combat l’ennemi corps et âme, jusqu’à son dernier souffle. Abattu par le Sarrasin, il trouve encore l’énergie de se relever : « il s’efforce de se tenir debout du mieux qu’il peut » (l.

descendant moteur au ralenti sur San Julian, Fabien se sentit las. Tout ce qui fait douce la vie des hommes grandissait vers lui : leurs maisons, leurs petits cafés, les arbres de leur promenade. Il était semblable à un conquérant, au soir de ses conquêtes, qui se penche sur les terres de l'empire, et découvre l'humble bonheur des hommes. Fabien avait besoin de déposer les armes, de ressentir sa lourdeur et ses courbatures, on est riche aussi de ses misères, et d'être ici un homme simple, qui regarde