La Conquête du courage

d’Achille, prenant son bouclier et mettant le sien à sa place. Bonaparte s’en souviendra lorsqu’il fera ouvrir le tombeau de Frédéric II pour prendre son épée. Il connaît parfaitement la géopolitique de son temps. Il sait que les Perses ont fait une conquête violente de l’Egypte. Cambyse, vers 525 a anéantit la civilisation égyptienne, qui attends un vengeur. Alexandre le sachant se présente en libérateur de l’Egypte. Avec ses meilleurs compagnons, il va consulter un oracle en plein désert qui le reconnaît

fonction religieuse. Les druides étaient au contraire de véritables prêtres et constituaient une caste sacerdotale protégée par de mystérieux rites initiatiques. Ils croyaient et enseignaient l’immortalité de l’âme. Cette croyance confortait le courage des guerriers. À cause d’elle, ceux-ci ne craignaient pas la mort mais seulement « que le ciel leur tombât sur la tête ». Les druides coupaient le gui avec des serpes d’or et se réunissaient régulièrement, venus de tout le monde celte, pour des

appeler par Paul Barras pour maîtriser la rébellion royaliste du 5 octobre 1795. Napoléon devient général de l'armée de Paris à 26 ans et se marie avec Joséphine de Beauharnais en mars 1796. Ses connaissances de la stratégie militaire et son courage vont lui permettre d'être nommé à la tête de l'armée d'Italie .Il remporte plusieurs batailles contre l’Autriche .Inquiet devant la grande popularité du général Bonaparte, le Directoire ( gouvernement composé de cinq membres )cherche à l’éloigner

un grec osa lever ses yeux de mortel contre elle, et le premier se dresser contre elle ; et lui, ni les fables sur les dieux, ni les éclairs ni la foudre avec son grondement menaçant ne l’arrêtèrent, mais excitèrent d’autant plus l’hardeur de son courage, qu’il désira le premier briser les vérrous des portes de la nature. ainsi la force de son esprit triompha complètement et il s’est avancé au-delà des barrières enflammées du monde et il parcourut le tout immense par son esprit et sa pensée, d’où

important encore, le prince doit avoir de la virtù. La virtù qui signifie plusieurs choses : "homme", "courage" et "force". Elle désigne la maîtrise de soi et le fait de pouvoir agir de la meilleure manière à tout moment. Pour Machiavel, agir comme il le faut, c’est tirer profit de toute situation pour réaliser ses objectif. Donc, pour lui, la fin justifie les moyens. La virtù, c'est donc le courage d'être sans état d'âme ni remord. La fin justifie les moyens, c’est le principe selon lequel le but

s’inverser. De plus, le paysan emploie la rhétorique de l’hyperbole et du contraste, tout est grossi et amplifié. A ceci, s’ajoute les questions oratoires et une certaine vision manichéenne : les germains sont vus comme les symbole du courage, de la vertu, de la paix, du courage, de la vie tandis que les romains sont représentés comme étant l’incarnation de l’avarice, l’avidité, la violence. Les termes sont très nombreux, répétées et très fort ce qui accentue le contraste entre les romains et les germains

l'activité militaire se meut est le danger. Ame force du danger = courage. La guerre se rapproche le plus du jeu de carte. 22) L'art de la guerre manie des forces vivantes et morales, il ne peut donc jamais atteindre a l'absolu et au certain. Courage + confiance pricipe essentiel de la guerre. 23) Guerre = moyen serieux en vue d'une fin serieuse. Tout le chatoiement de la forturne qui la pare, toutes les vibrations des passions du courage de l'enthousiasme qui l'habitent ne sont que des particularités

GRANDES DECOUVERTES DU XVI° SIECLE SOMMAIRE : Introduction Les inventions à l’ origine des grandes découvertes Christophe Colomb et la découverte du nouveau monde Les Portugais vers la route des Indes Les explorateurs du nouveau monde La conquête des espagnols Conclusion Introduction : La Prise de Constantinople par les Turcs Ottomans en 1453 et la Découverte de l’Amérique en1492 par l’explorateur Christophe Colomb marque la fin du Moyen-Age et le début d’une nouvelle période de l’Histoire :

la rend quasi irrémédiable. - Dans sa lettre, Rodolphe parait faussement lyrique tandis que Flaubert nous le décrit plus terre à terre en retranscrivant ses propos : Le lyrisme se retrouve grâce à : - Des apostrophes et des injonctions : « Du courage, Emma ! », « Emma ! Oubliez-moi ! » (3 ;17)... - Des exclamations : « Ô mon Dieu ! non, non, n’en accusez que la fatalité ! » (19), « je n’en sais rien, je suis fou ! » (33)... - Des interrogations rhétoriques donnent l’impression d’une argumentation

toute sorte de barbarie. Leur guerre est toute noble et généreuse, et a autant d'excuse et de beauté que cette maladie humaine peut en recevoir ; elle n'a autre fondement parmi eux que la seule jalousie de la vertu. Ils ne sont pas en débat de la conquête de nouvelles terres, car ils jouissent encore de cette liberté naturelle qui les fournit sans travail et sans peine de toutes choses nécessaires, en telle abondance qu'ils n'ont que faire d'agrandir leurs limites. Ils sont encore en cet heureux point