La Conscience Détermine T Elle L Homme

exactement être soi même ? Sommes nous toujours nous mêmes? Si non, comment ne pas être soi même? Qui cherchons nous à être? Avons nous conscience de ce que nous sommes? Pouvons nous le découvrir? Pour y répondre nous verrons qu'à priori il est impossible d'être autre que nous même, puis nous analyserons le fait que l'Homme ne se connaît pas réellement pour déterminer si il est ou non lui même et enfin nous étudierons la quête de celui ci pour découvrir qui il est. I / Nous sommes nous-mêmes par

chose […] enfin il faut conclure que cette proposition : je sais, j'existe est nécessairement vraie toutes les fois que je le prononce ou que je la conçois. Les réponses possibles au doute cartésien : Descartes en découvrant la réalité de la conscience individuelle dont il ne peut douter n'a pas pour autant retrouver la certitude de l'existence du monde ni de l'existence de son propre corps ni de la véracité d'aucune de ses idées. Il n'est pour l'instant qu'une chose qui pense. Comment est-il

absolue (= sans limite), cette identification entre Dieu et la nature est appelé : Panthéisme (=pant : Tout et Théisme : Théos : Dieu). Cette substance unique nous apparaît à nous Homme sous deux formes que Spinoza appelle des attributs. Il y a l’attribut Pensé et l’attribut Etendu. C’est deux attributs se donne à nous Homme concrètement sous la forme de modes, il y a les modes de la pensée, ce sont les milliards d’idées qui ont existé dans l’histoire et les modes attributs étendu ce sont les milliards

immatérielle de notre corps, rattachée cependant à celui-ci puisque sans elle, l’homme n’est plus. Ici, Alain tâche de mettre en avant une définition sur la conception de l’âme en tant que conscience de soi et affirme le fait que l’âme aurait un pouvoir supérieur au corps et que celle-ci, par ses manifestations, détermine l’homme. Nous pouvons alors nous demander comment peut-on définir l’âme, quels en sont ces manifestations ? Dès la première phrase, l’auteur nous affirme de façon indubitable que

qu'une partie de mon psychisme échappe à la conscience en raison d'une censure exercée sur certaines pensées et certains désirs au motif qu'ils viendraient heurter, s'ils étaient réalisés, certaines règles sociales, religieuses ou familiales. Freud appelle cette force de censure l'inconscient. Or Alain n'est pas d'accord avec cette interprétation. Pour lui, il y a bien des phénomènes qui s'expliquent par le désir, mais on ne doit pas les rapporter à la conscience mais plutôt au corps. Ce qui est essentiel

exemple, je renverse quelqu'un en voiture. Si je ne m’arrête pas c’est parce que je sais que je suis en tord parce que je roulais trop vite. Si je choisi cette solution je me perd irrémédiablement. Je ne serais plus libre. Je serais prisonnière de ma conscience. Être libre c’est faire nos propre choix, bon ou mauvais l’important est que ce sont les nôtres. On est des être libre mais jusqu’à une certaine limite. C'est-à-dire qu’on est libre tant que notre liberté n’empiète pas sur celle des autres et qu’on

une volonté faisant délibérément le choix du mal , voire se réjouissant de faire le mal sachant que c’est le mal ? ou qu’au contraire fait-on le mal que par aveuglement, à cause des passions, ou de notre histoire passée, en n’ayant pas vraiment conscience de faire le mal ? Enfin le mal ne remet il pas en cause notre liberté et aspiration au bonheur ? I/ La méchanceté est volontaire Les actes mauvais nous semble souvent incompréhensible du fait justement de leur inhumanité,

individuelle devint le dogme central de l’occident, c’est-à-dire à l’avènement du christianisme, que la vie sur terre devint aussi le souverain bien de l’homme » écrivait Hannah Arendt dans Condition de l’homme moderne. En effet, la vie est ce qu’un homme a de plus précieux et c’est pourquoi, de prime abord, il considère qu’il faut la respecter à tout prix. Penser la vie est une gageure en ce qu’elle est en elle-même l’essentiel, l’évanescent que l’on ne peut définir. Elle ne désigne rien de concret

machine ? On finit par trouver des liens entre notre mécanisme et notre esprit, mais peut-on assimiler ce qui est vivant à ce qui est inerte ? La machine, objet fabriqué par l'homme, est un ensemble de pièces servant à produire des résultats déterminés. Elle transforme une énergie initiale en l'utilisant en vue d'une fin. Son mécanisme est une combinaison de composants dont chacun a un rôle. Qu’en est-il du corps humain? Descartes, au XVIIème siècle, tend à considérer l'être vivant comme une machine

s'interroge tout d'abord sur les notions de conscience et de subjectivité, car elles permettent à l'homme de se rendre compte de lui-même en tant que personne et de sa réalité au-delà de son apparence extérieure. Interrogeons-nous sur le type de condamnation qui conduirait l'homme à se faire des illusions sur lui-même et donc l'empêcherait de se connaître. Dans ce cas, l'homme serait incapable d'agir, de penser et de vivre pleinement puisque la conscience de son moi serait faussée voire nulle, il serait