La Conscience Est Elle Le Propre De L Homme

Simple outil de communication ou unique caractéristique essentielle de l'homme, il semblerait qu'il puisse revetir nombre de visages et de rôles. Mais l'homme pourrait alors se defaire totalement de son corps? La raison, les sensations, pourtant propres à l'être humain, ne seraient pas pertinentes dans sa détermination? Qu'est ce qui caractérise réellement l'homme? Nous verrons dans un premier temps en quoi le langage est effectivement une caractéristique essentielle de l'homme et dans quelle

substituer à l’homme. Quelle est la différence entre un homme qui donne des informations et des machines capables de reproduire ces informations demande Alan Turing l’inventeur de l’ordinateur électronique ? Le jour où nous ne pourrons plus faire la différence entre une machine qui simule et une pensée alors la simulation disparaîtra puisqu’on en ne saura plus reconnaître la simulation. C’est le principe de Turing. Fini le privilège de la conscience sur la pensée, mais cela ne se fait-il pas au prix

Il semble difficile d’envisager l’individu capable de savoir ce qu’il immédiatement et de surcroit être le mieux placé pour cela. Ca conscience ne emble pas nécessairement le lui permettre. Certains philosophes pensant que l’individu nait ignorant, il serait le plus bas degré de la connaissance. Il n’a pas immédiatement la capacité de savoir d’où lui viennent certaines envies, pourquoi il fait un choix plutôt qu’un autre. Cette non-connaissance le pousse à ne percevoir que les effets séparés des

questionne, cherche des réponses mais jamais des réponses absolues. Le terme de réflexion (au sens 1° de miroir) convient donc pour définir la philosophie, la réflexion philosophique étant un acte de retour sur soi, de retour sur sa propre pensée (on se questionne sur sa propre pensée). C’est donc un savoir au 2° degré , cette attitude de réflexion correspond à l’étonnement philosophique ; définit par Aristote celui-ci signifie que le philosophe ne s’étonne que de choses juger quotidiennes, il s’étonne

pouvons douter de notre propre existence. De cette citation qui contribue au début de la réflexion sur la conscience, il apparait qu’elle engage l’homme à se positionner. Ici tu reviens à la ligne S’interroger et se demander « Pourquoi refuse t on la conscience à l’animal ? Nous amène ainsi et d’abord à plusieurs analyses : celle des termes de notre question. Avec le verbe refuser, il faut entendre ne pas vouloir reconnaitre quelque chose à quelqu ‘un ; par conscience, il faut comprendre la

c'est qu'il existe et tout d'abord en tant que conscience. En effet , il est lié a un monde qui lui apparaît sans qu'il ne fasse d'efforts. Il voit, sent, entend touche et interagit avec d'autres hommes. De plus, il peut ressentir des émotions ce qui nous montre qu'il possède un monde intérieur. L'homme est donc un sujet conscient. Si cette conscience peut être vue différemment, elle n'en est pas mois réelle. Ainsi Descartes décrit la conscience comme étant une substance pensante, c'est à

type de conscience fonde la conscience de manière générale, car si fondé par l’extérieur on perd la dimension autonomie propre à la conscience. La conscience de soi fonde la conscience. Quest ce qui fonde la conscience de soi ? il semble quelle soit autofondationnelle. Conscience de soit est un rapport à elle meme ? ou passe t elle par un rapport à autre chose ? le rapport est il immédiat ou médiat ? 3. Le problème de la conscience comme spécificité du spécimen humain Conscience comme structure

La Chute Paru en 1956 Albert Camus 1913 - 1960   Introduction « La Chute » est un roman découpé en six parties. Camus y écrit la confession d'un homme à un autre, dans un bar d'Amsterdam. Elle est la dernière œuvre littéraire publiée par Albert Camus. Dans ce roman l’on assiste à la confession d’un homme à lui-même. Ce choix de Camus implique que l’on ne dispose d'aucune information extérieure donnée normalement par un narrateur. Le héros n’a ainsi qu’un point de vue unique, ce qui

choix possible = pas de libre arbitre pour indiv’ = rapport de force Devoir = une obligation = engagement perso = décision libre = notion de choix, conscience volonté responsable = libre arbitre (ex : allez voir sa grand mère avant qu’elle meurt = aucune sanction = Pb de conscience moral = SENS DE DEVOIR) SENS DE DEVOIR = traduit qualité de conscience et de l’âme = son sens éthique (ex : fripouille tenu d’aucun devoir = aucun sens éthique = aucune noble idée de sois même = juste égoïsme absolu)

travail et donc la responsabilité de l’homme, ici sur son propre bonheur. Nous sommes donc amenés à nous demander si le bonheur est uniquement une question de hasard, que l’on peut obtenir sans même le rechercher, ou bien si il est un but que l’on ne peut atteindre qu’en le « méritant ». Albert Camus a définit le bonheur comme « l’accord d’un homme avec la vie qu’il mène ». En ce sens, le bonheur ne serait que le sentiment qu’un homme peut éprouver si sa vie correspond à ses attentes et à ses