La Conscience Est Elle Souhaitable

Friedrich Nietzsche (1844-1900) : L’insignifiance de la conscience. Présentation : Brillant étudiant de philosophie classique, professeur d'université à l'âge de vingt-cinq ans, Nietzsche quitte l'enseignement pour des raisons de santé en 1878. Il entame alors une vie d'errance et de solitude, où, à travers l'écriture, il mène un combat incessant contre les prétentions de la métaphysique. l'Antéchrist est l'un de ses derniers textes, écrit juste avant qu'il ne sombre dans un état de démence

feu) mais pas la prudence, pas les règles de la juste utilisation de la machine (science politique). 2) La question du possible La technique décide de ce qui est possible mais elle ne définit pas ce qui est souhaitable (cela relève de la science politique). Le passage du possible au souhaitable doit être décider par l'homme, le législateur qui doit autoriser ou pas l'utilisation d'un ancien nombre de machines. C'est l'homme qui est responsable de l'utilisation dangereuse des machines. Machines augmentent

unique à tout le monde » (faux : Kant ne veut rien imposer du tout. Il réfléchit aux conditions de possibilité d’une morale universelle). « Quand on agit moralement, c’est pour se donner bonne conscience » (c’est un contresens sur la conscience morale. Vladimir Jankélévitch a montré pourquoi la conscience morale scrupuleuse est toujours malheureuse - au contraire). « Personne n’a jamais fait quelque chose de désintéressé » (variante du précédent .Si c’était vrai, il faudrait mettre à la poubelle

N'exprime-t-on que ce dont on a conscience ? "Elle croyait aimer son père et n'avait pas pris conscience de la crainte qu'il lui inspirait, En fait, la dernière se lisait dans son regard, son attitude l'avait d'ores et déjà trahie". De telles paroles laissent entendre que, par notre comportement, nous pouvons donner à voir aux autres ce que nous-mêmes ignorons, N'avons-nous pas conscience de ce qui émane de notre personne ? Est-il possible d'exprimer ce qui appartient à notre inconscient ? Peut-être

ils perçoivent la réalité de leur époque. Elles en sont inévitablement imprégnées. Comment pourrait-il, d’ailleurs, en être autrement ? Poursuivre des buts moraux, sociaux ou politiques par le biais des créations artistiques est-il, néanmoins, souhaitable ? L’art doit-il avoir une visée ouvertement politique ? Comment se constitue la relation entre, d’une part, les artistes et, de l’autre, leur environnement économique, social ou politique ? L’artiste et l’ordre établi sont-ils toujours aux prises 

rêve, l’activité cérébrale est au top de son activité, elle vient fixer les pensées abstraites dans une forme, sans volonté du conscient. Le rêve est une solution à l’angoisse fonda­mentale de l'homme, la perte de son unité, de sa forme ou de sa conscience individuelle au moment du sommeil. Lorsque l’on parle du « rêve américain« , on fait référence à cette force du rêve qui donne l’énergie nécessaire pour partir vers un monde meilleur, où tout est possible. Il y a le rêve des habitants des pays

Commencez par avoir l'objectif final en têteUne étape importante dans la fixation d'objectifs consiste à connaître les valeurs que vous défendez, car ce qui est au centre de votre vie sera une source de sécurité et de pouvoir. Néanmoins, cette prise de conscience de soi peut parfois conduire à des changements de concept, car vous rencontrerez inévitablement des problèmes.Ce que vous faites actuellement est-il en harmonie avec ce que vous voulez pouvoir dire de vous ? Voulez-vous que l'on se souvienne de

Sujet : La croissance est-elle toujours souhaitable ? Alors que de nouvelles réformes viennent d’être annoncées pour relancer la croissance, que ce soit au niveau national avec la Loi Macron ou encore au niveau de la Zone Euro avec le rachat de plus de 1160 milliards d’€ de dettes publiques et privées par la Banque Centrale Européenne (BCE), l’idée d’une conversion écologique de notre modèle économique basé sur le capitalisme financier est de nos jours de plus en plus partagée. La cause principale

La conscience est-elle une source de liberté ou de contrainte La conscience est-elle une source de liberté ou de contrainte ? « Conscience, conscience… Instinct divin ! », ainsi commence l’une des pages les plus exaltées et sans doute les plus exaltantes de la littérature philosophique. Rousseau s’embrasant littéralement à l’évocation de la conscience en perçoit l’importance dans la vie de l’homme. Elle constitue effectivement le plan le plus central de la constitution d’une identité personnelle

La conscience distingue l’être humain des autres êtres de la nature car elle le rend capable de « se penser », d’accompagner ses idées et ses sentiments, d’un « Je pense ». Ainsi, s’il est bien un sujet que l’on suppose connaître parfaitement c’est « soi-même ». Dès lors la question « Doit-on apprendre à devenir soi-même ? » nous interpelle. Ne possédons-nous pas en effet dès notre naissance ce qui compose notre « moi » profond ? Comment pourrait-on devenir soi-même ? Cette connaissance de soi est-elle