La Conscience Est Elle Souhaitable

comprendre une époque, l’histoire qu’avec sa sympathie, sa personnalité pour l’époque étudiée. Pourtant une science se doit d’être objective! B. La subjectivité de l’historien. Actuellement, on ne croit plus que l’objectivité soit réalisable ni souhaitable. La subjectivité de l’historien vient du décalage de l’époque. Fénelon :  « le bon historien n’est d’aucun temps ni d’aucun pays » = idéal non réalisable. L’historien qui fait un livre fait un choix : en fonction de l’importance d’un fait sur le

pas de moyens concrets pour y parvenir et rien ne serait plus de notre ressort. Nous ne serions qu'impuissant face à lui et nous serions totalement privés d'un des buts majeurs de notre existence. Le bonheur ne deviendrait qu'une sorte d'illusion souhaitable, donnant envie mais laissant un arrière goût amer. Et comment atteindre quelque chose que nous ne maitrisons pas dans ce cas ? C'est pourquoi nous pouvons affirmer que le bonheur n'en revient pas seulement à la chance. Car bien que le bonheur soit

inconciliables, et tout de même d’une humanité commune, humanité commune qui se partage (ou se déchire) un espace de vie de plus en plus communiquant et interdépendant. La première tâche donc sera de réfléchir au type de rapport qu’il est souhaitable d’établir face à soi et face à l’autre (car nul n’est une île) comme réponse à la question Que faire pour bien faire? L’éthique, ayant comme premier souci et dernier mandat, le bonheur, questionne les valeurs, leur hiérarchie, afin d’établir en

insatisfaits, à condition du moins que notre volonté ait assez de fermeté, et de constance. Ainsi, le désir n’est pas un terme univoque : tous les désirs ne sont pas naturels et nécessaire. Un tri devient alors non seulement possible, mais même souhaitable : si je ne puis donner satisfaction à tous mes appétits, mieux vaut savoir lesquels je dois combler absolument. À supposer alors qu’on puisse distinguer les désirs entre eux suivant le type d’objet sur lequel ils se portent (c’estàdire suivant

représente en général, une apparence naturelle extérieure un « spectacle dans le monde », mais l’on peut étendre cette définition de l’apparence à tout ce qui apparaît à notre conscience : une image, une sensation, un souvenir, une idée… tous nos états de conscience peuvent être envisagés comme des apparences, ma conscience elle-même définit la façon dont je m’apparais à moi-même. Dès lors, c’est bien plus du côté du sujet qu’il faudra chercher, avec la phénoménologie, la fausseté ou la vérité de

être fragile, limité, mais doté d’une conscience (= savoir immédiat qui accompagne chacune de mes pensées). Elle rend l’homme digne et lui confère des responsabilités morales. La pensée donne à l'homme de la noblesse, c'est-à-dire de la valeur, de la dignité : l'homme se rend en quelque sorte respectable, non pas parce que sa pensée serait une faculté qui vient de lui-même, mais parce que l'homme peut penser son humilité, son essence. C’est donc la conscience qui permet à l’homme de se penser et

Une société sans travail est-elle souhaitable? Concevoir une société sans travail revient à envisager une société sans individus qui travaillent au service de la société. Or une société est un ensemble d'individus qui échangent et travaillent. Le travail est une activité de l'homme, qui permet de créer quelque chose en vue d'une fin. Le travail résulte alors des efforts et de la volonté de l'homme. Mais le travail a des points positifs et négatifs pour l'homme. On peut donc se demander quel est

LEMIEUX qui en discute dans son article « Civil and Uncivil Disobedience « mais aussi l'essayiste Henry David THOREAU (1817-1862) qui, dans un essai intitulé Civil Disobedience en 1849 écrit que « lorsque les lois entrent en contradiction avec notre conscience, c'est cette dernière que nous devons écouter «. Il recommanderait le respect du droit plus que celui des lois ainsi la justice serait plus importante que l'obéissance aux lois, lorsqu'elles sont contraires à la justice. L'État sera donc probablement

densification de l’espace urbain est également souhaitable et passe par la reconversion d’espaces centraux qui ne sont plus utilisés. L’agglomération doit s’organiser autour de pôles denses qui pourront alors être desservis par des transports en commun efficaces. Aménagement durable dans les villes du nord La prise en compte de l’environnement dans l’aménagement urbain est ancienne. Mais c’est surtout depuis les années 1970 que la prise de conscience de l’importance des questions environnementales

ont des problèmes de communication, (car en communicant on créait une relation). Ils n’ont parfois pas accès au langage. Je pense aussi qu’ils sont beaucoup portés sur tout ce qui touche au sexe. Ils restent figés sur le sensoriel, et n’ont pas conscience de leurs corps (parfois même du morcellement). J’imagine qu’ils ont beaucoup d’enfermements, d’accrochages et de stéréotypies, ainsi que des recrutements toniques (ex : sauter pour sentir leurs corps). II) Quelques auteurs ayant écrit sur