La Conscience Est Elle Souveraine

invoquant le fait qu’il était un traître à sa patrie. Antigone, elle, | |insiste pour invoquer et opposer aux " lois de l’Etat " (droit positif) les " lois naturelles et éternelles " (droit naturel) … qui ne sont autres que | |celles de la conscience (morale). | |a2) Pourquoi ce droit est-il appelé " naturel " ? En quoi s’oppose-t-il exactement au droit positif ?

par lui-même comme « un sou est un sou »). En réalité Pascal montre qu’il y a une cohérence interne de la justice qui tient à deux caractéristiques : - « il est juste » signifie que chaque homme trouve juste que… Autrement dit chaque homme a une conscience morale par laquelle il reconnaît des valeurs fondamentales. D’ailleurs la tournure impersonnelle renforce la dimension universelle : tout le monde éprouve le besoin de justice. (On peut le montrer avec le sentiment de révolte qui nous saisit lorsque

un commandement de la raison mais ce qui est nouveau c’est que comme c’est un commandement, le législateur ne peut pas exposer les motifs e préambule. Car la loi est un acte de la raison et la nouveauté est que la raison est la volonté du peuple souverain et ce peuple n’a pas besoin de s’exprimer. I) Loi = Raison Loi = raison ; on peut résumer cela en 4 mots : le législateur est le greffier de la nature, il n’est que le traducteur de règle immuable qui ont été placé dans le cœur des hommes,

donné que ses forces s’opposent entre elles-mêmes contrairement à lorsqu’un trouble émane d’une origine extérieure. Ce n’est pas à travers les médicaments que le malade pourra guérir mais uniquement s’il fait resurgir tout ce qui est refoulé dans sa conscience. Dans cet extrait, Freud fournit également une explication des origines des troubles psychiques qui sont enfouis dans l’inconscient. L’inconscient psychique est composé de trois instances : le ça, le surmoi et le moi. Le ça est proprement l’inconscient

l’Encyclopédie. Les Lumières veulent asseoir le règne de la raison, de la lumière naturelle qui accumule des connaissances. Contexte historique : La philosophie de John Locke se répand progressivement en France. Pour lui, le peuple demeure le souverain véritable, et tous les hommes possèdent des droits inaliénables. Or Louis XIV meurt en 1715, après un règne qui a vu l’apogée du pouvoir royal et le retour à un ordre moral. La Régence (1715-1723), qui s’ouvre, innove quant à elle la gestion politique

de l’arrêt : La cour de cassation rejette le pourvoi selon le motif du pouvoir d’appréciation souveraine des juges du fond. En effet, les juges de la Cour d’appel ont, selon la Cour de Cassation, violés l’article 9 de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales, ainsi que l’article 242 du Code Civil, car ils n’ont pas pris en compte la liberté de conscience et de religion qui impliquent la possibilité pour le croyant de changer de religion et de satisfaire

d'appartenance à une religion peuvent cependant être restreints, d’où le principe de laïcité donne lieu à des débats car il doit pouvoir se concilier avec l’exercice du culte, c'est-à-dire éviter les ingérences tout en garantissant la liberté de conscience. Par ailleurs il est incompatible avec certaines croyances religieuses selon lesquelles, justement, la religion doit déterminer les affaires publiques et ne peut pas être une affaire privée. |

les réprimer ». Bonheur et « Souverain Bien » La morale dite « hédoniste » (du grec hêdonê, « plaisir ») fait également du plaisir le fondement du bonheur et le principe de toute action. Toutefois, l’hédonisme s’inscrit dans une morale plus large qui pose que le bonheur est le but de toutes nos actions et représente, en ce sens, le « Souverain Bien ». Aristote montre que le bonheur est ce vers quoi nous tendons naturellement et apparaît comme le « souverain bien »: (si la santé est le but de

prête à toute circonstance, soigneuse – sans être anxieuse – de son corps et de ce qui s’y rapporte, considérant ensuite avec soin – sans en admirer aucune – les nécessités de la vie, prête à user – sans les servir – des dons de la fortune. Le souverain bien réside dans une âme méprisant le hasard et réjouie par la vertu. C’est une forme d’âme invincible, expérimentée, calme dans l’action pleine d’humanité et de souci pour ses semblables. On peut aussi la définir en disant que l’homme heureux

I - Les caractéristiques du sujet souverain : A - La définition du sujet : 1 - Subjectum : ce qui est dessous : Le mot « sujet » vient du latin subjectum qui signifie « ce qui est dessous ». Le terme de sujet a donc un sens très large. Dans les textes du Moyen-Âge, il ne désigne pas uniquement l'être humain mais n'importe quelle réalité. Ce terme est d'ailleurs utilisé dans le langage commun dès qu'on évoque une substance ou un support : on parle de sujet d'un verbe, de sujet d'un examen, de