La Conspiration

3ème 2012-2013 LL / BILAN DE FIN DE FIN DE SEQUENCE N°1 aménagé I. Fais le choix : Telis ¤ telo,onis,m radical telon- ¤ telum,i,n II. Entoure la nature du mot choisi = verbe- nom – adverbe – préposition - adjectif -is = terminaison de quel cas ? -is = D pl ou Ab pl sg ou pl ? impiae ¤ impius,a,um ¤ impes,-etis,m Entoure la nature du mot choisi

Qu’est-ce que le classement des infractions par mode de participation ? Globalement, on distingue 3 modes de participation à une infraction : - sans entente préalable - avec entente établie - avec entente momentanée Sans entente préalable Il ne peut y avoir aucune entente entre les personnes : seul le hasard d’un rassemblement de personnes les a fait participer à une même infraction. Il y a donc autant de poursuites que de participants, comme si l’infraction avait été commise par un

Cicero Catilinam denuntiat , Cesare Maccari (1840-1919) I. Quel sujet le tableau met-il en œuvre ? 1- Traduisez le titre du tableau. (/1) 2- Rappelez à quelle scène historique ce tableau fait référence. (/1) 3- Dites quel lieu le peintre a voulu représenter dans son tableau. En quoi commet-il une erreur historique ? (/2) 4- Sur le tableau, retrouvez Cicéron et Catilina. Très brièvement, dites quelle image de chacun des deux personnages l’auteur souhaite faire passer. (/2) II. En répondant aux

UTILITE DE L’HISTOIRE ET PROJET DE SALLUSTE Sed in magna copia mais dans la grande abondance rerum des choses (sous-entendu : à faire) natura ostendit la nature montre aliud iter alii à chacun une voie différente. Pulchrum est Il est beau bene facere de bien faire rei publicae, pour la République, (il est beau de bien servir l’Etat) etiam et même haud absurdum est il n’est vraiment pas absurde bene dicere de bien en parler (mais en bien parler n’est pas absurde non plus) ; vel pace en temps de

Les discours dans La conjuration de Catilina (Salluste) Contexte : 63 avant J.-C., Catilina fomente un complot visant à s’emparer du pouvoir à Rome. I. Discours de Catilina à ses compagnons (Catilina, xx). Catilina, voyant réunis les gens dont j'ai parlé, bien qu'il eût avec chacun d'eux traité maintes fois de l'affaire, crut utile de les haranguer et de les exhorter tous ensemble ; il les mena dans une pièce secrète de sa maison et là, loin des indiscrets, il leur adressa la parole à peu

"Cum sederem, inquit, domi tristis, accurrit Venerius ; iubet me scyphos sigillatos ad praetorem statim adferre. "Permotus sum," inquit, "binos habebam ; iubeo promi utrosque, ne quid plus mali nasceretur, et mecum ad praetoris domum ferri. Eo cum uenio, praetor quiescebat ; fratres illi Cibyratae inambulabant. Qui me ubi uiderunt, "Vbi sunt, Pamphile, inquiunt, scyphi ?" Ostendo tristis ; laudant. Incipio queri me nihil habiturum quod alicuius esset preti si etiam scyphi essent ablati. Tum illi

Résumé Venu sur les côtes de Bretagne pour y retrouver le souvenir de sa compagne disparue, le narrateur est témoin d’une scène étrange qui va l’inciter à en savoir davantage : au cours d’une fête dans une auberge, un vieux marin est empêché de chanter en breton sur l’air d’une complainte traditionnelle. Le lendemain, il est retrouvé mort. Le récit dévoilera qu’un complot de septuagénaires protège le secret de la cargaison du « dundee de Bob ». Sur un mode cher à Daeninckx

Dur de se dire qu'à 15 ans on a déjà une certaine opinion concernant la vie et toutes ces choses bla bla bla... Et pourtant c'est bien possible. Je me présente : Marine, 15 ans et toutes ses dents (enfin ça, c'est une longue histoire...), et pour couronner le tout en pleine crise d'adolescence ! En fait, ce que moi je qualifie de « crise d'adolescence » c'est tout ce qui se passe dans la tête d'un individu qui arrive à maturité, pas cette stupide manie qu'ont tous ces jeunes à jouer les rebelles

Sir Simon est un fantôme très effrayant et très cruel. Il a à son actif, depuis trois-cents ans qu'il hante le manoir de Canterville, de nombreuses frayeurs et même quelques morts. Mais voilà que son dernier descendant, lord Canterville, a vendu la demeure familiale à un ministre américain, Hiram B. Otis. Sir Simon aurait pu, aurait dû même, continuer son travail de fantôme très effrayant et très cruel, mais c'était compter sans le pragmatisme de la famille Otis:puisque fantôme il y avait, autant

Tu a nul doute été informée par le biais l’école de la punition qui me concerne. Tu as sûrement remarqué que j’ai en effet enfreint certains principes que je m’étais dictés concernant la discipline et le respect des autres et de soi-même. Et pourtant, sache que mes convictions sont intactes. Mon apparente déchéance cache en réalité une gloire nouvelle que je savoure avec intensité. Je t’écris donc cette lettre pour t’expliquer les raisons de mon choix, ayant malencontreusement mal tourné. Comme