La Constitution Est Elle Toujours La Norme

contrat) donc la on retourne dans les faits pour voir si ça résulte bien de ça ce qu’on a trouvé dans les fait, ici non donc il faut affiner l’analyse contractuelle, donc on applique pas cette règle, on modifie la majeur et là application délictuelle). Toujours avoir à l’esprit l’intégrité des faits. Le syllogisme est un raisonnement relatif. II-L’interprétation de la règle de droit L’application de la règle nécessite une interprétation. A-La nécessité d’une interprétation Elle peut

La notion de constitution DU GENERAL AU PARTICULIER ! INTRO 1<< L’âme de la cité n’est rien d’autre que la Constitution, qui a le même pouvoir que dans le corps la pensée. >> affirmait Isocrate, orateur Athénien en référence au texte attribué à Aristote et ses élèves, décrivant le régime politique d'Athènes antique. 2 En effet, la notion de Constitution remonte à l’Antiquité, et elle est aujourd’hui au cœur de l’élaboration et de la légitimité de nos institutions politiques.

organes ou les agents qui ont qu’une fonction de préparation ou d’exécution. L’administration publique peut être définie à partir d’un critère fonctionnel. Elle poursuit des buts particuliers. L’administration a en charge l’intérêt général. C’est la Constitution et plus précisément l’article 12 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui prévoit que l’administration est instituée pour l’avantage de tous et non pour l’utilité particulière de ceux auquel elle est confiée. Les missions

chacun de s’épanouir à côté des autres, dans le respect des autres, car l’individu est dans une société réglée. Chez les Grecs, la justice est la première des vertus car elle conditionne le progrès. S’il n’y a pas de Droit, la société est déréglée. Toujours chez les Grecs, les citoyens vivent en cité, ils sont civilisés ; à côté de ces citoyens, il y a les Barbares qui vivent dans des sociétés où il n’y a pas de Droit. Le Droit règlemente la vie en société. II/- Les fonctions du Droit. Les

sens que la fonction de l’administration se réduit à une simple exécution des lois ; d’autre part, dans l’Etat légal, la loi est incontestable parce qu’insusceptible de recours en inconstitutionnalité, ce qui veut dire que sa subordination à la constitution n’est pas assurée. De manière plus fondamentale, alors que l’Etat de droit est conçu dans l’intérêt et pour la sûreté des citoyens dont il protège les droits contre toute violation, même de la part du législatif, l’Etat légal, qui repose sur une

effet, elle met en exergue «les graves dysfonctionnements qui affectent l'appareil de l'Etat».De ce fait, l'intérêt de ce texte réside dans une réflexion sur le respect de la constitution (I) mais aussi sur la place des pratiques constitutionnelles face au pouvoir politique (II). I) Le respect de la notion de constitution au regard du fait politique : Nous allons chercher à examiner l'ambiguité de la place du premier ministre sous la Vème République (A) puis la réaction du premier ministre

lequel est agencé l’organisme social. S’analyse comme phénomène et pouvoir d’autorité et joue un rôle social au sein de société. B./ Les différentes conceptions du pouvoir politique. 1.) Origine divine du pouvoir. Le pouvoir demande toujours le respect et il a tendance à présenter un aspect sacré. À origine, pouvoir à chercher à se lier avec religion Les religions vont servir pouvoir en place, son détenteur est représentant de Dieu, s’il n’est Dieu lui-même. Ex : Pharaon égyptien

fonction est de trancher le litige. Le juge est celui qui a le pouvoir de dire le droit. Le juge ou magistrat du siège est légitime à dire le droit non à sa qualité de personne, non plus à l’élection mais à un savoir (il sait le droit) le juge doit toujours rendre justice en se basant sur le droit et un statut. Le juge est inamovible CAD qu’il ne peut être muté ou déplacé d’un tribunal à l’autre, il ne peut pas non plus être viré, seul lui décide de la fin de sa carrière. Ceci pour échapper aux pressions

Chapitre 2 : L’encadrement Juridique du Pouvoir au Sein de L’Etat : La Constitution. L’existence d’un Etat suppose celle d’une constitution. Les gouvernants n’étant que des « agents d’exercice passagers du pouvoir » (G. Burdeau), ils sont toujours d’une façon ou d’une autre désignés et ils exercent toujours le pouvoir en fonction d’un statut. Ce statut est la constitution, autre l’Etat et la constitution, le lien est selon Michelle VERPEAUX et Bertrand MATHIEU « consubstantiel ». Il en est ainsi

XXe siècle). Il y a donc des sources supra-législatives et des sources infra-législatives. Cette hiérarchie des normes se caractérise par une pyramide qui comprend au bas les actes administratifs (directives, circulaires), et en son sommet la Constitution. Le respect de cette hiérarchie est impératif. Les sources supra-législatives sont comme leur nom l’indique, les actes de droit supérieur aux lois. Les lois ne peuvent aller à l’encontre de ces normes, elles doivent être compatibles à ces dernières