La Cour Du Lion La Fontaine Commentaire

a vécu au 13è siècle, nous viennent essentiellement de griots (voir les sources en fin d'article), et si c'est une sourcé d'une grande valeur pour nous, elle n'a pas toujours la rigueur perçue qu'on peut attendre d'un historien. LE LION-BUFFLE, LES ORACLES Le Manding était ravagé par un buffle qui a fait de gros ravages parmi les chasseurs. A en croire la légende, un jour, deux chasseurs secoururent une vieille femme tenaillée par une grande faim, et pour les remercier, elle

que parce que nous sommes à genoux. Levons-nous." Pierre Victorien Vongnaud Lecture Analytique 2 Les Obseques de La lionne Introduction :  – Apologue – dans le second recueil des Fables – il s'adresse à Mme de Montespan = maîtresse favorite du roi : « l'apologue est un don qui vient des immortels » - éloge – Appartient au classicisme – La Fontaine : auteur renommé grâce aux Fables – XVIIème siècle / moraliste qui fait la satire des institutions politiques et religieuses mais aussi

faire des fables, me proposa de me présenter à un de ses oncles, vieillard aimable et obligeant, qui toute sa vie avait aimé de prédilection le genre de l’apologue, possédait dans sa bibliothèque presque tous les fabulistes, et relisait sans cesse La Fontaine. J’acceptai avec joie l’offre de mon ami : nous allâmes ensemble chez son oncle. Je vis un petit vieillard de quatre-vingts ans à-peu-près, mais qui se tenait encore droit. Sa physionomie était douce et gaie, ses yeux vifs et spirituels ; son visage

d’attente : ne révèle pas le nom de l’héroïne, métonymie « une beauté » (allégorie) l1 avec article indéfini « une » l1 (mystère sur son identité), pdv courtisans· son arrivée = véritable événement, encore + exceptionnelle car lieu d'exception (la « cour » l1 = spectacle, le paraître, la vue, le sens de la vue mis en avant (« yeux » l1, « à voir » l3))· pas de description physique car inutile de décrire la perfection (« parfaite » l2), idéalisation· hyperboles et superlatifs : (« si » l2, « parfaite »

qu'en 1652. Mais la Fronde se solde par la victoire du parti du roi et, contrairement à ce qu'elle visait, renforce l'autorité monarchique. Avec l'avènement de Louis XIV s'établit l'ère la plus resplendissante de la monarchie absolue en France. La cour représente le plus grand centre intellectuel du pays, littérature et arts y sont associés dans le culte de la grandeur royale. La culture de la France (avec son art et sa littérature), ses acquisitions dans le domaine des sciences se trouvent à l'avant-garde

"août" qui se prononce "ou" et non "a-ou") Disjonction ou asyndète (f): 1. Omission des mots de liaison dans une même phrase. Femmes, moine, vieillards, tout était descendu; L'attelage suait, soufflait, était rendu. (J. de La Fontaine) 2. Séparation de mots qui se complètent et ne sont pas normalement disjoints. Elision : Suppression de la finale d'un mot. La gueul' d'un bonz' qui n'm' revient qu'à moitié. (Jarry) Ellipse (f) : Suppression d'un élément

Tristan et Iseult raconte l'histoire d'un amour absolu et impossible qui se termine par la mort tragique des amants ; ces poèmes étaient chantés à la cour des princes par les trouvères et les troubadours. Chrétien de Troyes (1135 ?–1190 ?) est sans doute le premier romancier de la littérature française ; ses romans comme Yvain ou le Chevalier au lion, Lancelot ou le Chevalier de la charrette et Perceval ou le Conte du Graal sont typiques de ce genre littéraire. Le long poème Le Roman de la Rose, best-seller

Conclusion : Texte intolérant car Ronsard vise Luther, chef des protestants et donc le protestantisme. Ronsard n'est pas ouvert d'esprit et n'accepte pas que quelqu'un pense différemment de lui. Texte 2 : Jean de La Fontaine, « Les deux Coqs », 1678, classicisme Introduction : La Fontaine est un auteur classique, il s'inspire d'auteurs grecs (Ésope) et latins (Phèdre) pour écrire ses œuvres. Sous le règne de Louis XIV, il met en place à travers ses fables une critique de la société. Les fables appartiennent

Rochefoucauld, auteur des Maximes, et écrit encollaboration avec lui et Segrais Zaïde. Elle fréquente Madmae de Sévigné, est mêlée à diverses intrigues de cour, et publie anonymement La Princesse de Clèves en mars 1678. La mort de LR en 1683 l'affecte . Mais elle écrit encore La Comtesse de Tende, , et meurt en 1693.(génération qui meurt dans ces dates : La Fontaine, La Rochefoucauld, Lafayette, Sévigné, …) Son activité littéraire a toujours été empreinte de mystère. A l'époque, on doutait de la capacité d'une

ses faux oracles, ni ses flèches rebouchées [émoussées]. Souvenez-vous de votre ancienne Marseille, de vos secondes Athènes et de votre Hercule gallique, tirant les peuples après lui par leurs oreilles avec une chaîne attachée à sa langue.» Commentaire Pour écrire ce manifeste composé de deux livres comportant chacun douze chapitres tous titrés, dédié par Du Bellay à son oncle, il avait pillé Cicéron, Quintilien, Dolet. . ., et surtout l'Itaiien Sperone Speroni et son ''Dialogue des langues''