La Courbe De Tes Yeux

Hanson en 1969. Cette œuvre est actuellement exposée au Forum Ludwig, un musée de Budapest en Hongrie et elle est représentée en grandeur nature (166h x 70 x 70). Elle est composée de résine de polyester, peinture acrylique et huile, vrais cheveux, yeux de verre, vêtements, caddie, paquets et boîtes de conserve. Duane Hanson est un artiste américain né en 1925 et mort en 1996 dont les œuvres les plus connues sont « Policeman and Rioter » réalisée en 1967, > réalisée en 1979 ou encore « Queenie

proportionnalité entre les fréquences et les angles (sachant que 100% correspond à 360°) Exemple : On étudie la couleur des yeux chez 40 élèves d’un lycée. Modalités Effectifs Fréquences Fréquences en % Angle (en °) bleu 15 0,375 37,5 135 marron 12 0,3 30 108 vert 8 0,2 20 72 noir 5 0,125 12,5 45 total 40 1 100 360 3,6 IV) Courbe des effectifs cumulés croissants Pour tracer la courbe des effectifs cumulés croissants (ou décroissants): On complète le tableau en calculant les effectifs cumulés croissants

proportionnalité entre les fréquences et les angles (sachant que 100% correspond à 360°) Exemple : On étudie la couleur des yeux chez 40 élèves d’un lycée. Modalités Effectifs Fréquences Fréquences en % Angle (en °) bleu 15 0,375 37,5 marron 12 0,3 30 vert 8 0,2 20 noir 5 0,125 12,5 total 40 1 100 135 108 72 45 360 3,6 IV) Courbe des effectifs cumulés croissants Pour tracer la courbe des effectifs cumulés croissants (ou décroissants): On complète le tableau en calculant les effectifs cumulés croissants

Le jeune homme venait d'avoir dix sept ans et commémorait par la même occasion sa troisième année de vie solitaire après la mort de ses parents. Il avait des cheveux bruns mi-long, emmêlés et crasseux, qui gardaient pourtant un charme évident. Ses yeux étaient sombres et sans expression apparente. Une barbe disséminée commençait à pousser par endroits. Il était vêtu de vêtements sommaires qu'il avait cousus lui même avec diverses peaux de bêtes. Des muscles saillants encadraient les manches courtes

Marot • « Une beauté de quinze ans enfantine » Pierre De Ronsard • « Et la mer » Pierre De Marbeuf • « La nuit de mai» Alfred De Musset • « A une passante» Charles Baudelaire • «  Mon rêve familier » Paul Verlaine • «  La courbe de tes yeux » Paul Eluard • « L’union Libre » André Breton • «  Je pense à toi » Guillaume Apollinaire Dans un premier temps, nous étudierons les poèmes sélectionnés : l’auteur, l’œuvre, le recueil dont est extrait le poème. Puis nous approfondirions

celle des femmes. Ce monde est terne aux yeux du jeune homme, le « sang des suppliciés est moins rouge que la grande figurée sur tes toiles ». Rien n’a la même saveur visuelle pour lui. Les couleurs pâles de ce monde réel ne l’émeuvent pas, voire ne suscitent rien en lui. Tout est différent des tableaux qui ont encerclé son enfance. Ici nous voyons une image assez forte. Un fruit semble plus profonds que la nouvelle vision d’horreur finalement banal aux yeux de l’empereur qui ne semble émut que part

rapproche fortement du style d’Athènes h) Le ciel nuageux qui gronde , la peur ainsi que la jambe et les os montre l'atrocité de la malédiction qui ne cesse de s’accroître 3) Un tableau de facture classique a) La courbe du dos , les détails du corps , la courbe de ses abdominaux ainsi que les détails effectués a ses chevilles montre le soucis du détails , les boucles des cheveux montres la délicatesse du peintre . b) Ces lignes ne sont pas très visibles mais elle sembles passer sur

est étroite avec les tensions stylistiques. L'influence de Verlaine se fait même sentir dans ces poèmes qui évoquent parfois la figure du «poète maudit» dont le «malheur» est narcissiquement chanté par une prosodie envoûtante: Larmes des yeux, les malheurs des malheureux, Malheurs sans intérêt et larmes sans couleurs. [...] Il fait un triste temps, il fait une nuit noire A ne pas mettre un aveugle dehors. ("Sans rancune") Éluard, qui avait sans doute lu les

les yeux la paresse,Une dame créole aux charmes ignorés. Son teint est pâle et chaud; la brune enchanteresseA dans le cou des airs noblement maniérés;Grande et svelte en marchant comme une chasseresse,Son sourire est tranquille et ses yeux assurés. Si vous alliez, Madame, au vrai pays de gloire,Sur les bords de la Seine ou de la verte Loire,Belle digne d’orner les antiques manoirs, Vous feriez, à l’abri des ombreuses retraitesGermer mille sonnets dans le coeur des poètes,Que vos grands yeux rendraient

Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain : Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie. (Orthographe modernisée) 14. Poèmes à Lou, Apollinaire Tendres yeux éclatés de l'amante infidèleObus mystérieuxSi tu savais le nom du beau cheval de selleQui semble avoir tes yeuxCar c'est Loulou mon Lou que mon cheval se nommeUn alezan brûléCouleur de tes cheveux cul rond comme une pommeIl est là tout selléIl faut