La Couverture Du Risque De Change Par Coface

HEC MONTRÉAL Stratégies de gestion des risques dans un environnement instable : Le cas du groupe Accor en Algérie, en Tunisie et au Maroc Par Farah Hafiz Sciences de la gestion Mémoire présenté en vue de l’obtention du grade de maîtrise ès sciences (M. Sc.) Mars 2007 © Farah Hafiz, 2007 II TABLE DES MATIÈRES 1. 1 INTRODUCTION ........................................................................................................................1 REVUE DE LA LITTÉRATURE

renforçant la solidité des groupes bancaires. Pour autant toute menace n’est pas écartée, la BCE elle-même et les marchés financiers pointent du doigt le risque souverain. Les banques pâtiront en outre d’une conjoncture économique morose en 2011. Cette dernière induira un ralentissement de la croissance des PNB. Reste que la baisse du coût du risque et des provisions conjuguée aux efforts des banques pour maîtriser leurs coûts devrait continuer de tirer leurs bénéfices vers le haut. Les établissements

réassureurs et les intermédiaires d’assurance ont obtenu plusieurs licences - CNP Assurance et Groupama bénéficient ainsi d’une licence d’exploitation - Axa a obtenu en plus de sa licence une sous licence pour sa filiale d’assurance vie à Shanghai - COFACE et Cardif ont eu l’autorisation d’ouvrir un bureau de représentation - La China Insurance Regulatory Commission (CIAC) associe désormais davantage de sociétés étrangères à l’évolution des réglementations internes chinoises. Source : Fédération Française

on est un entrepreneur étranger : 34 2.1. Connaître le marché et les secteurs à fort potentiel : 34 2.1.1. Profil des consommateurs sud-africains36 2.1.2. Les secteurs à fort potentiel39 2.2. Connaître l’environnement économique et le risque pays : 36 2.2.1. Indicateurs 2.2.2. L’appréciation de l’environnement économique par les entreprises sud-africaines 2.3. D’autres informations susceptibles d’intéresser l’investisseur étranger : 39 2.3.1. L’essor des investissements

RENTABILITÉ DE L'EMPRUNT 72 Conclusion du chapitre 72 Chapitre III : ÉTUDE DES RISQUES ET MOYENS DE PRÉVENTION 73 Introduction 73 Section I : LES DIFFÉRENTS RISQUES LIÉS A L'OPÉRATION DE CRÉDITS 73 I. LE RISQUE DE NON REMBOURSEMENT 73 II. LE RISQUE D’IMMOBILISATION 73 III. LE RISQUE DE TAUX 73 IV. LE RISQUE DE CHANGE 74 Section II : LES MOYENS DE PRÉVENTION DES RISQUES DE CRÉDIT 74 I. L’APPLICATION DES RÈGLES PRUDENTIELLES 74 II. LE RECUEIL

produits de la parapharmacie, qu’ils qualifient de prolongement de l’acte pharmaceutique. Ils insistent également sur l’importance du conseil du pharmacien vu que ce sont des produits de haute technicité et qui peuvent, pour certains, comporter un risque pour le client (voir l’affaire Bergasol dans la prochaine section). En effet, pour plusieurs laboratoires fabricants, le choix du circuit de distribution officinal, pour lancer des produits innovants, repose sur l’image que véhicule la pharmacie,

la finance par l’éthique. En particulier, Ossipow (2010) avance deux pistes de régulation de la finance par l’éthique : l’éthique comme guide et l’éthique critique. Toutefois, ces deux modes d’articulation de l’éthique et de la finance courent le risque d’une subordination de l’éthique à la logique de la finance capitaliste. Cela est dû à la primauté des critères rentables/non rentables sur les critères non financiers. Nous proposons alors une troisième piste de régulation de la finance par l’éthique

...........910 Champ Statistique Tiers ....................................................................................913 Enuméré statistique ...........................................................................................914 Code risque .......................................................................................................914 Devise................................................................................................................914 Filtre révision .

Définitions et caractéristiques d’un investissement 1 Partie I Préparation au choix d’investissement Chapitre 1 – Organisation de l’investissement en projet . . . . . . . . . . 23 Chapitre 2 – Élaboration des grilles d’information et analyse des risques 55 Chapitre 3 – Mise en ordre de l’information : le Business plan . . . . . . 83 Partie II Sélection du projet Introduction – Quel modèle d’aide à la décision ? Typologie des situations 125 A. Vision économique : Une seule dimension considérée

International Economique Entreprise Technologiqu e Culturel Ecologique Social Institutionnel : normes, lois, règlements, contraignant, changeant, (protectionnisme) International : aspect géopolitique, garantie des opérations via la Coface Technologique : on est obligé de pratiquer la veille technologique (espionnage industriel) dont les objectifs sont de voir ce qui se fait, repérer les produits de substitution. Social : contrainte et stabilité sociale, cela nous rend célèbre