La Crise Du 16 Mai 1876

aussi bien en matière d'instruction publique que du point de vue des libertés et de l'épanouissement d'une société démocratique. La Troisième République remporte la terrible épreuve de la Grande Guerre, mais elle succombe à la défaite militaire du 10 mai 1940. Encore en guerre contre l'Allemagne, au printemps 1871, elle réprime l'insurrection de la Commune de Paris. Son avenir est alors incertain, car la majorité monarchiste de l'Assemblée nationale prépare une nouvelle Restauration. A partir de 1879

locales : 28 mai 1871. Thiers mettra fin à ceci de manière sanglante. La commune incarne un extrémisme social révolutionnaire alors que Thiers Dans ce contexte, la loi Rivet du 31 aout 1871 donne a Thiers le titre provisoire de président de la république. Mais elle maintient sa responsabilité et celle de son gouvernement devant l’assemblée. Thiers rompt le pacte de Bordeaux, les monarchistes veulent l’écarter. Ils vont y parvenir avec la loi dite des Trente du 13 mai 1873. Cette

Clotaire III, placé sur le trône d'Austrasie par le maire du palais Ebroïn. - Dagobert II (v. 652 – 23 décembre 679) 676 – 679 Roi d'Austrasie Fils de Sigebert III. Canonisé en 892. 15 Clovis IV (v. 680 – 695) 691 – 695 Roi des Francs Fils de Thierry III. 16 Childebert IV (v. 683 – 711) 695 – 711 Roi des Francs Fils de Thierry III. 17 Dagobert III (v. 699 – 715) 711 – 715 Roi des Francs Fils de Childebert IV. 18 Chilpéric II (v. 670 – 721) 715 – 719 719 – 721 Roi de Neustrie et de Bourgogne Roi des Francs

président de la République à titre transitoire en 1871, il entame des réformes administratives, fiscales et militaires. Mais Thiers ne parvient pas à concilier les aspirations contradictoires des républicains et des monarchistes. Thiers démissionne le 24 mai 1873 après avoir transmis un dernier message à l’Assemblée nationale dans lequel il fait savoir qu’un retour à la monarchie n’est pas possible, car « il n’y a qu’un trône, et l’on ne peut l’occuper à trois ». Adolphe Thiers apparait néanmoins comme

bombardements, la ville capitule le 28 janvier 1871. Le traité de Francfort (10 mai 1871), impose à la France d’Adolphe Thiers (nommé par l’assemblée chef de l‘exécutif) le paiement d’une lourde indemnité (5 milliards de francs-or) et la perte de l’Alsace et d’une partie de la Lorraine. B. Un enracinement délicat 1) L’obstacle de la division : la Commune de Paris (mars 1871- mai 1871). Document vidéo. La Commune de Paris (mars 1871-mai 1871). Karambolage. Arte. A partir de votre prise de note, élaborez

évènement, la crise politique de mai 1877 (A/), et d'une instabilité gouvernementale chronique résultant de l'existence d'un multipartisme souple (B/). A/ La crise de mai 1877 179. Le premier Président de la République, élu en mai 1873, est donc un militaire, le maréchal Edme Patrice Maurice comte de Mac-Mahon, duc de Magenta, qui est de "sensibilité" monarchiste légitimiste. Or les élections législatives de fev/mars 1876 ont donné une majorité de députés républicains. Le 16 mai 1877 le Président

débouchera sur la crise du 16 mai 1877 a) La Fin du régime parlementaire dualiste La crise du 16 mai 1877 est du à un affrontement entre les républicains et les monarchistes. Cela commence avec les élections du Sénat et de la Chambre des députés. L’élection du 30 janvier 1876 du Sénat est favorable aux conservateurs qui disposent d’une majorité de 154 voix contre 146 aux républicains. Ce qui en sera l'inverse pour les élections de la Chambre des députés du 20 février au 5 mars 1876 qui donnent la

Président de la République , c ‘est la reconnaissance d’un Etat de droit . Grâce a ce titre, Thiers va pouvoir nommé ces ministres. La loi de Broglie , cependant , évite que Thiers manœuvre l’assemblée .celui-ci démissionnera le 13 Mars 1873. Le 24 Mai 1873, Patrice de Mac Mahon devient président de la république . La loi sur le 1er septennat du 19 Novembre 1873 est interprété comme une régence provisoire de 7 ans en attendant l’arrivé d’un roi . Toutes c es dispositions ont été pris car on n’est

constitutionnelle de la III république, La crise de 1877 : Les élections sénatoriales du 30 janvier 1876 donnent une très légère majorité à la droite : la victoire échappe de peu aux républicains qui remportent 149 sièges (84 pour le centre gauche, 50 pour la gauche, et 15 pour les radicaux) contre 151 à la droite (98 pour le centre droit orléaniste, 40 pour les bonapartistes, et 13 pour les légitimistes). Les élections législatives du 20 février 1876 sont marquées par une très nette victoire des

de la constitution de 1875 qui a subit forte évolution (affaiblissement du pouvoir exécutif, instabilité gouvernementale). 1. Les lois constitutionnelles de 1875 Ce qu'on appelle « constitution » = trois lois constitutionnelles 24, 25 février et 16 juillet 1875. 34 articles, la + brève des lois fondamentales en France mais la + durable (jusqu'en 1940) grâce à son imprécision (pas de préambule) qui permettait des adaptations. 1.1. Le pouvoir législatif Sénat = Chambre Haute Chambre des députés