La Crise Du Syndicalisme

construction de logements sociaux subventionnés. Pour ce faire, il peut s’appuyer sur la Confédération générale syndicale allemande (ADGB), le principal syndicat du pays - environ 3 millions d’adhérents socialistes. Cette assise permet au SPD de surmonter la crise des années 1920, au cours de laquelle l’Allemagne compte plus d’un million de chômeurs et doit faire face à une hyper-inflation. Cependant, le SPD est contesté sur sa droite comme sur sa gauche. La répression de la vague révolutionnaire a fait perdre

délibératif.- Il convient enfin de classer à part la pratique de l’initiative populaire et du référendum national et local, dont le renouveau est attesté en France et dans de nombreux pays occidentaux depuis une dizaine d’années. . Guérard S. (dir.), Crise et mutation de la démocratie locale, Paris, L’Harmattan, « Grale », 2004 AMutations de la démocratie représentative Quelle communauté politique aujourd’hui ?   1. SommaireDémocratie médiatique, société de l’information, construction européenne

Chapitre 1 : Industrialisation et croissance économique de 1850 à 1939. Spectaculaire essor de l’industrie. Modalités de cette croissance ? Phases d’expansion et phases de crise. Croissance linéaire ? A. Les moteurs de l’industrialisation. Rappel de la définition de l’industrie : ensemble des activités économiques ayant pour objet l’exploitation des richesses naturelles et leur transformation. NB : jusqu’au XVIIIe : l’industrie est essentiellement rurale. Industrialisation :

provoquant la constitution de stocks , signe annonciateur de risques de crise. Une première de ces crises se produit en Europe entre 1873 et 1893 mais la plus importante se produit entre 1929 et 1939 (crise boursière d’Octobre 1929). *CAPITAL = « Argent » -> division en parts égales -> action SPECULATION = jouer avec la valeur des actions. Acheter une action puis la revendre plus chère pour faire des bénéfices. La crise de 1929 est d’autant plus importante qu’elle est liée au développement

Les Mondes du travail en France de 1789 à 1946 1788-1789 Mauvaises récoltes. Entraine une crise de subsistance. 1789 80% population française = ruraux 40% du sol est possédé par les paysans (25% par las nobles ; 30% par la bourgeoisie ; 17% par le clergé.) 200M serfs appelés « mainmortables », affranchis par Ls XVI Emeutes frumentaires contre la liberté de commerce du grain et sa libre- circulation. « Emotions populaires » : revendications sur le sol, plaintes sur la dîme

Code forestier, et d'une pression fiscale supplémentaire : l'une des 1ères décisions du gouvernement est la majoration de 45cts (par franc) de l'impôt direct, dans un soucis économique, certes, mais des millions de paysans connaitront davantage la crise. Lorsque les révolutionnaires de 1848 imposent un gouvernement provisoire républicain, marquant la fin de la Monarchie de Juillet et créant la Seconde République, la révolution est républicaine. Cette République va remplacer le suffrage censitaire

Au même moment, la social-démocratie découvre la fragilité des bases démocratiques qu'elle avait pensé établir entre son État-providence et des citoyens considérés avant tout comme des usagers passifs de services de plus en plus sophistiqués. La crise s'accélère encore sous les coups des hauts taux de chômage produits par l'évolution technologique et de l'endettement accru de l'ensemble des administrations publiques. Du côté du Sud, une économie informelle bien vivante et de plus en plus répandue

(réunion, presse, association avec syndicalisme 1884) esprit républicain (Waldeck Rousseau) + libertés des mœurs, droit du divorce (Alfred Naquet) . Impôt scolaire importante, école laïque, enseignement des filles avec 1er lycée de jeune fille (Camille Sée ) Période marquée par le retour du protectionnisme, (Méline 1892) des convulsions : grande dépression de 1883 avec la crise politique discrédit du personnel politique avec Panama ET le général Boulanger en 1886. La crise avec l'affaire Dreyfus.

D’abord la difficulté de dissocier le processus sociologique de son contenu normatif : l’assimilation est plus une injonction des nouveaux entrants qu’à la société qui aurait le devoir de les assimiler. Ensuite, la crise des institutions intégratrices (’école, l’armée, le syndicalisme, par exemple) amène à se demander comment des nouveaux venus peuvent intégrer une société marquée, par ailleurs, par des tendances désintégratrices. On soulignera enfin qu’après la décolonisation il a paru politiquement

(structure qui organise un mouvement social et qui n'existe que pendant la durée de ce mouvement) Leurs principales revendications : * ARTT Salaires * Condition de travail * Conflits de droits * Licenciements... Il) Les syndicalisme est-il en crise ? 1) Une tendance à la désyndicalisation La désyndicalisation est du à : * Une hausse de l'individualisme * Une baisse des secteurs a forte implantation syndical (désindustrialisation) * Une réorganisation des entreprises