La Critique Positiviste De Saint Beuve

tient à la théorie de Zola, que l'écrivain applique une méthode strictement scientifique qui se rapproche de celle mise en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme

à la théorie de Zola, que l'écrivain applique une méthode strictement scientifique qui se rapproche de celles mises en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme

visite du mort. De quelle nature est ce défunt qui revient de l’au-delà ? Nous faisons l’hypothèse que le texte fait du revenant une figure polysémique et polymorphe qui prend la forme à la fois d’une hallucination, suivant une lecture de type positiviste défendue par l’auteur et le narrateur; d’un remords, suivant la lecture psychologique qu’en ont faite les contemporains de Zola; et, enfin, d’un mort malveillant qui revient d’outre-tombe pour supplicier ses meurtriers, suivant la lecture de l’événement

de mythocritique. Dictionnaire, sous la direction de Danièle Chauvin, André Siganos et Philippe Walter, Paris, Éditions Imago, 2005, ISBN 2-84952-009-8. Née dans les années soixante-dix, la mythocritique s’inscrit dans le champ de la « nouvelle critique ». Son promoteur, Gilbert Durand, forge le terme sur le modèle de la psychocritique de Charles Mauron. Mais à l’inverse de la psychocritique, où une approche particulière est appliquée à un objet, il s’agit apparemment dans la mythocritique d’appliquer

l’histoire ; et pour LECONTE DE LISLE est proprement > ce qui est , c’est-à-dire ce qui relève surtout des religions qu’ils estime fanatiques et violentes comme le christianisme. De ce point de vue, les poèmes barbares sont une sorte d’histoire poétique et critique des religions, telle qu’on aimant alors en esquisser. Toutefois, ç côté de ces aspects polémiques, ce recueil est marqué par l’attrait des contrées lointaines, qui sont l’occasion pour l’auteur de poèmes descriptifs d’un relief excellent. Mais cet

tient à la théorie de Zola, que l'écrivain applique une méthode strictement scientifique qui se rapproche de celle mise en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. La méthode expérimentale repose sur le fait que le romancier « intervient d'une façon directe pour placer son personnage dans des conditions » qui révéleront le mécanisme de sa passion et vérifieront

Toute théorie suppose une praxis à laquelle elle s’applique. Or la théorie de la littérature n’apprend pas à écrire de la littérature : elle apprend à produire de la critique ou de l’histoire littéraire. La théorie de la littérature est une déontologie de la recherche littéraire elle-même. La théorie, c’est la critique de la critique. Platon et Aristote faisaient de la théorie de la littérature lq qu’ils s’intéressaient à la littérature en général, d’un pt de vue visant l’universel. Mais ils ne faisaient

La nouvelle critique Il ne s’agit pas, à proprement parler, d’une école spécifique, mais plutôt de la réunion de plusieurs jeunes critiques influencés par le marxisme, la psychanalyse, la linguistique et le structuralisme. Roland Barthes est le plus connu. On les accusera de bafouer (ridiculiser) la tradition universitaire. Serge Doubrovsky, dans Pourquoi la nouvelle critique ?, montre la diversité des approches modernes et leur orginalité, répliquant ainsi au pamphlet de Raymond Picard, Nouvelle

2. LES PRINCIPES,THEMES ET FORMES DU REALISME a. les principes -la reproduction la plus fidèle possible de la réalité -le romancier, comparable au savant, applique les méthodes des sciences expérimentales et la philosophie positiviste a. Les thèmes -L’influence du milieu sur l’individu. -les mœurs d’une époque d’un milieu, d’une classe éclairée par le contexte historique, politique et sociale. -la vie urbaine ; la vie provinciale -misère sociale et ascension

pas ou qu’on ne fait pas précéder d’une recherche biographique. Lire devrait être un plaisir, non une démarche scientifique rigoureuse, et l’on peut aimer un livre pour luimême. Ainsi, le critique Émile Faguet conseille : « j’avertis […] les jeunes gens qu’ils doivent lire les auteurs plutôt que les critiques ». Il aurait aussi bien pu ajouter : « plutôt que les biographes » … 1. Aimer une oeuvre pour elle-même • Une oeuvre littéraire présente un univers, un style, des personnages, des « histoires