La Croisade Urbain Ii

de la taille. Ils vont aussi obtenir des privilèges judiciaires et des allégements concernant les services militaires. Pour ce qui est de l’organisation le Roi délègue des taches , au prévôt qui agit pour son compte. On voit là l’essor du mouvement urbain avec l’encouragement royal sur l’émancipation des

nous demander comment un ordre militaro-religieux crée suite à la première croisade de 1099 pour protéger la route des pèlerins s’est vu entaché d’accusations diffamatoires qui ont mené à sa perte, malgré un rayonnement dans toute la chrétienté. Si les Templiers naissent d’une initiative aux moyens modestes et d’une alliance du monde militaire et du monde religieux, leur expansion se déroule dans le contexte des croisades et fait d’eux non seulement des « moines-soldats » mais aussi des bâtisseurs

II. B. les ordres religieux au cœur du dynamisme spirituel de la chrétienté médiévale Le clergé se divise entre les séculiers et les réguliers. Le clergé séculier comprend l’ensemble des clercs qui vivent dans le « siècle » (saeculum), c'est-à-dire dans le monde. Le clergé régulier groupe les religieux et les religieuses qui vivent sous une règle – par exemple la règle de saint Benoît – dans un couvent ou un monastère. D’abord isolés, les monastères se groupent à partir du XIe siècle en puissantes

du mythe fondateur (Vercingétorix , Plateau de Gergovie ) , ASM. Aussi terres de châteaux. Ensemble de marqueurs identitaires finalement plus forts, plus consistants/ grands personnages : Grégoire de Tour (VII, son Histoire des Francs), Urbain II et Croisade, Blaise Pascal. *Sa population : paysanne, pauvre (mythe car faux pour montagnes !) ; migrant massivement au XIX point de « coloniser » Paris : communauté la plus forte, la plus aussi identifiée par ses activités spécifiques : commerce, bois

vertical qu’horizontal, bloquant l’autorité du roi sur les grands seigneurs jusqu’au XIIe siècle Au début du XIIe siècle, la volonté de construire un état se manifeste de la part du roi, grâce à un contexte favorable pour la France : un essor économique. II- La construction d’un état : du domaine royal au royaume au XIIe siècle a) Du village à la ville - Grâce au surplus démographique se mettent en place des villes. Hérité de l’Antiquité, seuls les cités, qui sont le centre de la vie religieuse dominent

siècle : un lieu où les âmes pécheresses, mais pas trop mauvaises, séjournent le temps de se faire pardonner et d'aller au paradis. La prière des moines et les sacrements octroyés par les prêtes peuvent aussi permettre au chrétien d'obtenir le salut. II] Les exclus de la chrétienté. 1) les lépreux, les juifs et les excommuniés. L'Eglise se montre de plus en plus intransigeante à partir du Xie siècles. Cette affirmation de la chrétiennemté entre le Xie et le XIIe siècle s'opère par distinction et

l’Église. Le naufrage de l’ordre carolingien au IXe siècle : causes internes et externes. La transition du Xe siècle : la "féodalisation" ; conséquences sur l’Église, réactions : réformes monastiques (Cluny) ; nouveaux progrès de l’évangélisation. II. Le Moyen Âge central (11–13 siècles) : Les médiévistes et la "bataille de l’an mil" : rupture majeure ("mutation féodale") ou non ? Les terreurs de l’an mil : mythe et réalité. Le deuxième âge féodal ; le mouvement de paix ; la Réforme grégorienne

l'armée des tagmata, en garnison autour de Constantinople (les Scholes, les Excubites). Ces troupes mieux entraînées, mieux payées, accompagnent l'empereur. L'armée byzantine disposait ainsi d'une force de frappe de 15000-20000 hommes. Sous Basile II, en 989, la formation d'un corps de 6000 Russes (les Varangues) marque un tournant. L'empire crée des corps de mercenaires, « romains » et étrangers. Au XIe siècle, alors que l'armée thématique disparaît, les anciens tagmata perdent aussi de l'importance

avant J.-C., un coup d’État remplace la démocratie par une oligarchie : en 411, le Conseil des 400 et en 404, les Trente.La démocratie est finalement restaurée en 403 av J.-CAthènes ne retrouve pas sa puissance à l’extérieur et se heurte au roi Philippe II de Macédoine (père d’Alexandre le Grand). En 338 av. J.-C. Athènes alliée à Thèbes est vaincue par l’armée macédonienne lors de la bataille de ChéronéeAthènes doit renoncer définitivement à la démocratie en 323 avant J-C. L’empire romain recouvre la

théoriquement on trouve les seigneurs, qui sont en réalité bien plus puissants que le roi, possédant des territoires immenses comme l'Aquitaine. Donnent des conseils aux rois (concilium) et applique l'aide aux quatre cas (mariage, adoubement, prisonnier et croisade). Ils possèdent le pouvoir de ban sur leurs terres, c'est à dire le pouvoir public (impôts, justice, défense). -Les vassaux. Ils jurent fidélité à un seigneur via la cérémonie de l'hommage. Il obtient alors des droits et une terre, mais est tenu