La Crucifixion Blanche

travers ses actions qu'il cherchera à dépecer, autopsié, lacérer. Il cherchera à dévoiler le mensonge et faire ressortir le sale et le moche. Ce que les Autrichiens ne veulent pas voir. Il scandalisera et les forcera à réagir. Il utilisera la peinture blanche et noire dans ses œuvres dans le but d’amplifier l’effet agressif et meurtrier qu’il veut démontrer. De plus, il dénoncera la part de responsabilité de la religion qui se disait vertueuse, mais qui a tout de même été le sujet principal de la guerre

allons étudier l'œuvre de De Champaigne tout en mettant en relief les éléments repris ou modifiés du texte et en mettant en valeur leurs significations. Tout d'abord, la Cène est le moment du dernier repas de Jésus avec ses Apôtres avant sa crucifixion (« Vous savez que la Pâque a lieu dans deux jours, et que le Fils de l’homme sera livré pour être crucifié. » Évangile selon Matthieu, 26, 2). C'est un symbole du christianisme : il bénit le pain et le vin, son corps et son sang. En effet, le tableau

prières "bourdonnantes" sont plus sourdes, elles rappellent la confusion suggérée au paragraphe précédent par "grouillant". C'est un monde où la barbarie se mêle à la mysticité : crémation et souffrance de l'agonie par pénitence, pendaison et crucifixion. Les troisième paragraphe reflète également une atmosphère cauchemardesque, dans lequel le narrateur est condamné au supplice. 2. Le dénouement Le quatrième paragraphe marque déjà un assouplissement du cauchemar. Le narrateur semble alors

terminée qu’en 1930. - Pourquoi la Nativité : Qui sont représentés ? C’est la naissance de Jésus Christ. -Les éléments de la nature : Beaucoup de feuilles, au dessus un arbre (un cyprès) bien vert et une colombe blanche (symbole de la paix). Les animeaux représentés : Une colombe blanche, des oiseaux qui s’envolent et qui se dirigent vers le berceau de l’enfant Jésus, mais aussi des reptiles, des tortues… - Les impressions de la facade : quelques idées : façade très fournie, beaucoup de détails

prières "bourdonnantes" sont plus sourdes, elles rappellent la confusion suggérée au paragraphe précédent par "grouillant". C'est un monde où la barbarie se mêle à la mysticité : crémation et souffrance de l'agonie par pénitence, pendaison et crucifixion. Les troisième paragraphe reflète également une atmosphère cauchemardesque, dans lequel le narrateur est condamné au supplice. 2. Le dénouement Le quatrième paragraphe marque déjà un assouplissement du cauchemar. Le narrateur semble alors

crémation et souffrance de l'agonie par pénitence, pendaison et crucifixion. Le narrateur semble alors ne plus subir : comme souvent dans les rêves , les épisodes n'arrivent pas à terme. Au moment décisif, le rêveur passe de la conscience passive à un état plus proche de l'état de veille , cependant il reste pris dans son rêve et invente un dénouement , introduisant dans ce monde sombre des notes de douceur : "La chapelle ardente...la robe blanche...les cierges" . Mais ce dénouement peut aussi apparaître

fusils pointées sur les espagnoles. Il se tiennent debout, en ligne. On remarque que l’on ne voit pas leurs visages, c’est pour montré qu’il sont inhumains. La lanterne illumine le peuple espagnol et plus particulièrement l’homme vêtu d’une chemise blanche et d’un pantalon jaune. On remarque qu’il a les bras levée en forme de croix . Cela me fait pensé à Jésus-Christ qui se sacrifie pour les autres parce que tout les fusils sont dirigé sur l’homme au centre. Les couleurs qui domine se tableau sont

Cène (terme issu du latin Cena : repas du soir) il s’agit du dernier repas de Jésus-Christ, qu’il prit avec les douze apôtres le soir du Jeudi saint, avant Pâques, c'est-à-dire peu de temps avant son arrestation car le lendemain-même avait lieu sa Crucifixion ou Passion pour les chrétiens, et trois jours après : sa résurrection. Sur ce tableau on voit au centre le Christ entouré de ses apôtres Les archives de Santa Maria delle Grazie ayant été détruites en 1778, nous n’avons pas retrouvé le contrat

barbarie de cette scène. Au second plan: Le personnage central : Au milieu du groupe de résistants, un homme de couleur, à genoux, vêtu d’une chemise blanche. Cet homme rappelle le Christ, de par sa posture, bras écartés comme le Christ sur la croix, et de par les entailles sur la paume de sa main droite qui font penser aux stigmates de la crucifixion. Poitrine offerte, il s’expose pour protéger les autres. Il symbolise le martyr pour la liberté de la nation espagnole, face à la brutalité aveugle des

représente ainsi l’adaptation du plan matériel (ou terrestre) au plan divin (Esprit). Elle concrétise l’idée du Principe divin, accompagné de son antagonisme apparent, la forme solide. Pour cette raison, la croix exprime moins la passion de la crucifixion que la manifestation d’une des parties du Plan divin. Elle suggère l’harmonisation nécessaire de la force positive (verticale) et de la force négative (horizontale), exprimant, dans sa totalité, la Victoire de la Lumière sur les Ténèbres, de la