La Curée Réalisme

tard, avec la grande fresque humaniste de Victor Hugo, Les Misérables (1862). Le roman naturalist Émile Zola (1840-1902) est le dernier très grand romancier du siècle : il théorise dans le Roman expérimental (1880) le naturalisme21 et donne au réalisme extrême, au-delà même des bienséances et en prenant en compte la physiologie, une ambition scientifique en voulant montrer l'influence des milieux sur les individus. Son œuvre, Les Rougon-Macquart (sous-titrée Histoire naturelle et sociale d'une

| |XVIIe siècle |Classicisme | |XVIIIe siècle |Les Lumières | |XVIIIe-XIXe siècle |Romantisme | |XIXe siècle |Réalisme | |XIXe siècle |Naturalisme | Emile ZOLA, Nana [pic] Annabelle CABON 2nde o3 Emile ZOLA |Vie de l’auteur |Dates

1605-1615). De façon caractéristique, ces deux romans parodient le roman de chevalerie médiéval. À la langue noble et aux lieux communs du roman de chevalerie, ces auteurs opposent la diversité des langages de toute la société et un parti pris de réalisme, voire de trivialité. LA DEUXIEME MOITIE DU XVII° SIECLE: On voit apparaître à cette époque un nouveau type de roman qui s’oppose radicalement à l’esthétique du roman précieux. Il s’agit de « petits romans » très courts (par opposition aux

méthode des sciences expérimentales appliquées à la biologie par Claude Bernard. Selon la théorie littéraire, le réalisme constitue la notion élargie du l'infinitisme enfantin de certains écrivains socialistes du XIIème siecle, tandis que le naturalisme est la notion plus restreinte, puisqu'il utilise et accepte comme prémisses tous les principes fondamentaux et la thématique du réalisme. Cependant, l'école naturaliste exige, si l'on s'en tient à la théorie de Zola, que l'écrivain applique une méthode

c’est un miroir que l’on promène tout au long d’un chemin » Ce qui est donc suggéré, c'est que le roman ne serait qu'un miroir. C'est-à-dire que le roman le plus abouti serait une image, un reflet de la réalité qu'il capte. C'est bien l'ambition du réalisme qui voudrait rendre compte de ce qu'il observe sans ajouter une once de subjectivité. Lorsque qu’un auteur veut écrire un roman il se documente tous d’abord tel un historien, car en effet il ne peut pas tout inventer. Dans son travail préparatoire

de l'importance de l'hérédité et de l'influence du milieu." L'assommoir c'est un roman réaliste parce que Zola est un auteur réaliste (le mouvement réaliste littéraire présente les rudeté des choses de la vie sans chercher à les masquer). Et les réalisme c'est la même chose que la naturalisme. Puis Zola décrit beaucoup les détails de l'environnement au lavoir où se rend Gervaise. La dureté de la tâche et l'ingratitude de cela. Zola décrit aussi ce qui était très courant à cette époque : le peuple

et enfin nous nous interrogerons sur la limite qu’il existe entre les deux.   Nous pouvons constater que depuis les premiers romans la littérature dans son ensemble semble s’enraciner dans le réalisme. Les romanciers dépeignent des personnages parfois plus vrais que nature comme si ce réalisme leur donnait plus de poids, leur conférait une identité dépassant celle du « héros de papier ». Il faut que les histoires soient crédibles et, pour se faire, leurs héros, autant que leurs décors, doivent

historiques  ou mythologiques - et les peintres s’attachent à décrire le prolétariat paysan. Révolte contre l’industrialisation, réflexion sur la vie des paysans ou combat pour plus de justice sociale sont leurs chevaux de bataille. * A l'instar du réalisme, le naturalisme naît en réaction contre l'idéalisme et le sentimentalisme du romantisme, dans une société devenue matérialiste et soumise au pouvoir de l'argent. Le naturalisme désigne : … en littérature | Un mouvement qui s'inspire des méthodes

La Curée est un roman naturaliste paru en 1871 en France, par Émile Zola. Il a pour thème la vie débauchée du Paris du Second Empire. L’auteur qui s’inscrit dans le courant du naturalisme qui est une prolongation du réalisme offre une analyse psychologique et une étude des mœurs de l’époque. Dans l’extrait du chapitre VII à la fin du roman, Émile Zola illustre l’état de Renée par la description de l’hôtel Béraud et de la chambre des enfants. Nous verrons à travers la description de la chambre des

sa fonction d'accueil et d'écoute ( chmp lexical du jeu : « grimpaient », « poussaint de l'épaule », « pressaient ») Registre Pathétique : on ressent de la pitié pour Emma qui est seul face à sa detresse II) Un personnage romantique face au réalisme A)Un personnage en souffrance Dès les premiers mots du dialogue, elle presente sa souffrance par l'adverbe « mal ». Le pronom personnel « je » dans la phrase courte «  je souffre ». Le verbe « souffre » montre sa douleur mais n'en montre pas les