La Dame En Blanc

avis à la façon des perroquets criaillent J’aime la grâce de cette rue industrielle Située à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l’avenue des Ternes Voilà la jeune rue et tu n’es encore qu’un petit enfant Ta mère ne t’habille que de bleu et de blanc Tu es très pieux et avec le plus ancien de tes camarades René Dalize Vous n’aimez rien tant que les pompes de l’Église Il est neuf heures le gaz est baissé tout bleu vous sortez du dortoir en cachette Vous priez toute la nuit dans la chapelle du collège

avec son ami << Casagemas >>. En 1901 << Casagemas >> commet le suicide très touché par cet événement il réalise de nombreux portraits qui inaugure la période bleue. En 1904 il déménage définitivement a Paris et rencontre une dame qui s'appelle Fernande Olivier d’où il met fin a sa période bleue et introduit la période rose. La période rose ne dure que 3 ans ou en 1907 il commence le cubisme d’après avoir rencontré <<Georges Braques >>. Il se marrie en 1918 avec

nom de la revue fondée par le Corbusier en 1920 pour diffusé ses idées et celles des autres. Il comporte un prototype haut de deux étages, avec un plan libre remplaçant une série de pièces séparées. L'étage est une mezzanine qui surplombe l'espace blanc ouvert en contrebas. Se sont les meubles et des panneaux mobiles qui divisent l'espace. Le Corbusier a conçu une partie du mobilier: armoires en acier, tables aux armatures en tubes d'acier... il montre aussi son intérêt pour la peinture: toile représentée

crépuscule. (allégorie) – Quand je suis tout de feu, d’où me vient cette glace ? (antithèse) – Vêtu de probité candide et de lin blanc. (zeugma) – La neige fait au Nord ce qu’au Sud fait le sable. (chiasme) – Quand on m’aura jeté, vieux flacon désolé,/Décrépit, poudeux, sale, abject, visqueux, fêlé. (Gradation) – Un Van Gogh a été découvert dans le grenier d’une vieille dame de Die. (métonymie) – […] de grandes vaches se déplaçaient avec lenteur dans un silencieux tintement de clochettes. (oxymore)

Une pluie diluvienne s’abattit sur la ville de Marseille. La nuit s’était installée et seule la lueur blanchâtre de la lune éclairait la ville endormie. Un homme vêtu de noir de pied en cape se dirigeait vers la basilique de Notre-Dame de la Garde, plus communément appelée « La Bonne Mère », sainte patronne des Marseillais et des pêcheurs. Il se déplaçait avec furtivité dans l’obscurité, invisible aux yeux des rares passants qui subsistaient encore dans les rues. Après quelques minutes, l’homme atteignit

brûler quelques hérétiques( qui n’est pas dans la doctrine d’un groupe) Pangloss fut lui pendu( foi enforcado) pour ses propos sur les évènements et Candide roué de coups (foi batido). Alors qu’un seconde tremblement de terre survient, une vieille dame lui demande de le suivre. Chapitre 7 : Cette vieille femme prend en charge Candide à demeure pour le soigner des coups dont il avait rué. Cela fait, elle l’emmène dans une nouvelle maison où on lui présente une jeune femme qui n’est autre

toits, fourmillaient desmilliers de bonnes figures bourgeoises, calmes et honnêtes, regardant lepalais, regardant la cohue, et n'en demandant pas davantage ; car bien desgens à Paris se contentent du spectacle des spectateurs, et c'est déjà pourNotre Dame de ParisI - LA GRAND'SALLE 4 nous une chose très curieuse qu'une muraille derrière laquelle il se passequelque chose. S'il pouvait nous être donné à nous, hommes de 1830, denous mêler en pensée à ces parisiens du quinzième siècle et d'entrer aveceux

l’auteur développe aussi une partie de l’intrigue dans sa maison qu’il décrit comme son « appartelier , mot valise entre appartement et atelier, lieu où il vit et où il compose et crée. Les personnages principaux du livre sont Mathias Malzieu, Rosy et Dame Oclès

moment où, dans le livre, les chevaliers de la table ronde aperçoivent le Graal. Le Graal est la coupe dans laquelle a bu le christ à son dernier passage sur terre. Arthur devient roi Sur l’image, il y a deux personnages principaux : -Une dame qui est Genièvre avec de longs cheveux roux et habillée d’une longue robe blanche et dorée qui touche par terre. Sa tête est ornée d’une couronne, sa taille d’une ceinture et son cou d’un collier assortis à sa robe. Elle tient dans sa main gauche un

perturbante. En me coiffant devant ma glace la même question me traversa l’esprit : «  Mais qu’a- t- il put se passer cette soirée- là ? » Je regardai ma peau ridée qui tombait, les jeunes disaient que j’avais besoin «  d’un coup de fer », mes cheveux blancs comme la neige qui brillaient dehors sous les rayons du soleil, mais pas seulement, à travers le miroir, j’apercevais le reflet noir des enfants qui jouaient sur la neige et qui me rappelaient les bons souvenirs du passé. Et c’est ainsi que commença