La Danse macabre

 Du Macabre à la Beauté Grotesque ou comment l’art à travers les siècles a pu manier le beau et le laid pour tendre au sublime . Des Danses macabres aux vanités de Damien Hirst , macabre , sublime et grotesque ce sont à travers les siècles liées , dans l’idée de faire vivre au spectateur comme au lecteur , un miroir de vanité , c’est l’autre et soi dépeint de façon atypique , choquante et inattendue pour faire comprendre de prime abord à l’humain qu’il n’est rien d’autre que tel , un être

étaient propriétaires du mas de la Gasparine, que Félicienne MARAIZE s’est mariée avec Jean Martial. Il apprend aussi l’existence d’un fou, son frère cadet, disparu et mort dans la montagne. De retour au mas, Lord DUNLEVY entrevoit d’avantage « la danse macabre », peinture peinte dans la chambre secrète par le fou qu’il découvre peu à peu en enlevant le papier mural. Différents personnages apparaissent : 2 squelettes + 1 charretier et son épouse + un berger et un curé. Ch.7. Les MARAIZE, leurs vies

arts seront marqués par les danses macabres, représentatives de l'obscuritantisme du moyen age mais dont les valeurs sont interessantes.Cette forme d'expression est le résultat d'une prise de conscience et d'une réflexion sur la vie et la mort, dans une période où celle-ci est devenue plus présente et plus traumatisante. Les guerres, les famines et la peste, que représentent souvent les trois cavaliers de l'Apocalypse, ont décimé les populations. La Danse macabre souligne la vanité des distinctions

ténébreux La peste (XIV ème siècle) avec des symboles ennemi ouragan orfraie (hors champ de vision) B- La référence artistique couleurs sombres avec des contrastes noir ≠ ivoire éclat du pistolet œil qui s'allume rouge flamme (sang) danse macabre : art du moyen age ; danse, farandole morts et vivants de tous types ; réflexion sur la mort (traumatisme au Moyen Age). La Mort ne regarde ni le rang, ni les richesses, ni le sexe, ni l'âge  Musique : cris (orfraie : angoissant) « râlements sourds » « coups

maintenait dans le sous-sol de la conscience » n’est plus close, car l'état de la conscience quand on rêve ne la garde plus fermée. C’est leur heure : « Ils se lèvent, ils s’agitent, ils exécutent, dans la nuit de l’inconscient, une immense danse macabre ». Macabre, car ce sont des fantômes, qui reviennent rappeler aux vivants le passé qui a été mais qui n’est plus, ce qui n’a pas été réglé de leur vivant et tente de revenir dans notre conscience. Les souvenirs conservés dans les obscures « profondeurs »

pourvues d’yeux et d’un sourire humain, semble s’engager dans une danse macabre : tel est le sujet choisit par Redon pour cette peinture de 1881.Redon ose s’aventurer dans la monstruosité, en accordant à l’araignée des caractéristiques humaines ; son sourire cependant, semble plutôt ironique et morbide. Et pourquoi une araignée ne sourirait-elle pas ? Redon est macabre, c’est bien différent. Le morbide est contre la vie tandis que le macabre est contre la mort. L’araignée inspire généralement la peur

une classe sociale élevée, et les « fiançailles » aux lignes 5 et 4. La guerre devient ainsi une bagatelle parmi d'autres. De plus, il montre bien l'absurdité de certaines situations comme le fait de « se tirer dessus sans se voir » ( l.1), la danse macabre et ridicule des deux cadavres qui s'embrassent alors que l'un d'eux a perdu sa tête (l.75). L'ironie est aussi au service de la critique virulente, comme en témoigne l'utilisation de l'antiphrase (l.5), « les gens sérieux », c'est-à-dire ceux

et chaque soir pouvoir soulever une nouvelle candy Mais on vit comme des bandits reur-ti, lear-de handek au viles-ci vu que dans nos tés-ci zar-bi du lundi au lundi on a la tête dans le zness-bi. Attiré par le mal qui m'acclame j'entend la danse macabre dans la rue y a de la came, des armes, des cadavres Du sang pour les braves, égorge pour des Faf Larage paye cash, chasse ceux qui jouent à cache-cache, ceux qui tentent le clash, Les laches qui fachent, ceux à qui on crache au visage pour faire

qui furent offerts au Louvre par Edmond de Rothschild l’année suivante. Certaines études ont permis de dater le trésor de la fin du 1er siècle avant J.C au milieu du 1er siècle de notre ère. La pièce appelée Gobelet aux squelettes ou danse macabre est sûrement l’une des plus connues. Ceux-ci furent livrés parmi un ensemble de vaisselle d’apparat (c’est-à-dire que cette vaisselle était plus décorative qu’utilitaire.) d’une qualité exceptionnelle. Leur décor illustre la fragilité et la vanité

bourdonnaient sur ce ventre putride, D'ou sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide Le long de ces vivants haillons. » C- Cependant le cynisme du même auteur atteint son apogée dans « la danse macabre » où l’ auteur se complaît dans une sorte de déférence amusée pour la mort qui défie les humains en une allégorie irrévérencieuse : « En tout climat, sous tout soleil, la Mort t'admire En tes contorsions, risible Humanité, Et souvent