La Description Chez Chateaubriand

solitaire » (écrites en 1776-1778, publiées en 1782). Un exemple de sa autobiographie est « Je veux montrer à mes semblable un homme dans toute sa vérité de la nature, cet homme ce sera moi ».Le deuxième précurseurs est Chateaubriand qui peut être considéré comme le père du romantisme en France. Ses descriptions de la nature et son analyse des sentiments du moi est un modèle pour la génération des écrivains romantiques ses œuvre majeur sont Atala (1801) et René (1802), la nostalgie des paysages américains dans

dit La Broise : « Recherche de la précision, plus que de la correction, langue légèrement archaïque, anciennes et traditionrespect des traductions nelles. » Bossuet va jusqu'à conserver le plus qu'il peut les hébraïsmes de son modèle. Vous retrouvez chez lui : « Le sang de Jésus a inondé nos têtes, {Innundaverunt aqux super caput meum) « Versez des larmes avec des prières (Effundo oraiionem meam) et surtout l'incessant emploi des substantifs bibliques, que nous avons souvent signalés : (1) P. 29.

Cela montre combien la réflexion sur la relation entre l’auteur et le lecteur s’intensifie et devient problématique. Enfin, on assiste à la naissance d’une sensibilité préromantique ➢ La Nouvelle Héloïse de Rousseau (1761) ➢ René de Chateaubriand 6) 19ème siècle : l’âge d’or du roman On s’éloigne de plus en plus de la veine aristocratique du roman. Après la révolution, la bourgeoisie devient la plus présente. Le contexte culturel évolue également : c’est l’époque de l’urbanisation

jeunes frères. Sa vocation est précoce et ses rêves immenses. A peine âgé de quatorze ans, Victor écrivit en juillet 1806 sur un journal : « Je veux être Chateaubriand ou rien ». François-René, vicomte de Chateaubriand, est un écrivain romantique et homme politique français du XIXème siècle. Il est considéré comme l'un des précurseurs du romantisme français et un des

Villeneuve(8) défend vaillamment la porte et soufflette l'avant-garde ennemie. Le véritable auteur du mal, Gesril, me prête secours ; il monte chez lui et avec ses deux soeurs jette par les fenêtres des potées d'eau et de pommes cuites aux assaillantes. Elles levèrent le siège à l'entrée de la nuit ; mais cette nouvelle se répandit dans la ville, et le chevalier de Chateaubriand, âgé de neuf ans, passa pour un homme atroce, un reste de ces pirates dont Saint-Aaron(9) avait purgé son rocher. Voici l'autre aventure

morale très haute qui le met au-dessus des autres et accède au sublime par sensibilité exacerbée. La notion su SUBLIME déborde très largement la sphère religieuse. Burke. La nature tout entière offre la possibilité d’une expérience du sublime. Chez les Romantiques, Orphée et Prométhée sont des figures privilégiées qui montrent la quête de l’idéal et le rôle de l’artiste comme dans l’antiquité la création passe par l’imagination mais elle est désormais tournée vers l’intériorité. Fichte : imagination

amoureux le conduit à écrire ses premiers vers, puis sa première comédie, Mélite Après ce succès, il remporte un triomphe avec Le Cid et avec  Œdipe deux tragédies. Le Classicisme Molière Fils d’un tapissier, Molière après avoir terminé ses études chez les jésuites et avoir étudier le droit renonce à reprendre l’affaire familiale qui le destinait à une vie bourgeoise et se tourne finalement vers le théâtre. Molière, a marqué l’histoire du théâtre et de la comédie française. Auteur le plus joué encore

en devient le symbole et le chef de file. Un mouvement s’inscrit toujours dans une période déterminée de l’Histoire ; sa naissance est généralement liée à des circonstances particulières. Le mouvement se reconnaît à la présence de thèmes récurrents chez les différents artistes. Ils partagent les mêmes préoccupations et portent le même regard sur la société qui les entoure. On retrouve ces thèmes communs dans des œuvres devenues emblématiques du mouvement. Il peut s’agir d’œuvres célèbres, qui ont

Arnoux la prude...) conforme par ses actions à son caractère,chaque épisode une pièce d'anthologie (la première soirée chez les Dambreuse évoque un Goya portraiturant trois courtisanes vieillies, le dépucelage de la Maréchale rappelle la violence malsaine du "Viol" de Degas, les émeutes de 1848 font penser à Delacroix, celui de "La Liberté guidant le Peuple", la première soirée de fête chez la Maréchale, les discussions politiques à des dessins de Daumier...). Toute cette course inaboutie est orchestrée

parler. Chaque personnage possède le langage de sa classe sociale, en accord avec sa psychologie. Ainsi le père Rouault s’exprime comme un campagnard madré ; ses propos sont émaillés de provincialismes tels que « la petite », « manger le sang », « chez nous » (pour "à la maison") et dévoilent sa compréhension aussi exacte qu’intuitive de la situation : il n’imposera pas au timide Charles l’aveu quasi impossible de sa passion. Lors de l’arrivée des époux Bovary à Yonville, Homais leur tient un discours