La Description Chez Chateaubriand

roman étudier tour à tour la façon dont cette nature devient malfaisante, ainsi que les étapes qui mènent inévitablement au sacrifice de la celle qui réincarne l'Iseult médiévale. Essentiellement localisée dans le premier paragraphe du texte, la description du cadre où se déroule le récit revêt une apparence apocalyptique. Cela se manifeste d'abord par l'union des espaces marin et céleste : c'est parce qu'elle est "soulevée par le vent" que la mer "grossissait"; et dans cette tempête les nuages ont

Morée et d’Algérie. En Egypte, les explorateurs suivent de près les militaires. Dès le débarquement, Napoléon Bonaparte nomme une commission de 167 membres et crée l’Institut d’Egypte. Un des résultats de cette entreprise est la publication de la Description de l’Egypte qui s’étalera sur la période de l’Empire et de la Restauration et comportera 24 volumes. La seconde exploration , celle de Morée, suit en 1829 l’indépendance de la Grèce et accompagne aussi l’intervention française dans ces contrées

peut aussi déplacer la problématique vers un autre genre littéraire, quand un seul est concerné, pour en voir les spécificités (le statut de la parole, du personnage, des registres n’a pas la même portée en poésie, au théâtre, dans l’apologue, la description…). La mise en place d’un plan détaillé, qui organise d’une manière réfléchie le résultat des recherches : ce plan peut être concessif, critique (= oppositif), dialectique… Une fois qu’un plan détaillé est prêt, il faut, chronologiquement, par étapes :

surnommé « le père de la famille naturaliste ». Mais Zola sait se détacher de son influence puisque le réalisme consiste à montrer la force contraignante du milieu sur l’individu, la prééminence de la sociologie sur la psychologie. Le naturalisme, chez Zola, est un prolongement du réalisme qui conduit, entre autres, à introduire les sciences expérimentales et le déterminisme scientifique dans l’univers romanesque. D’ailleurs, Zola dira que Balzac se contente de déduire par rapport à la réalité alors

le personnage est ambigu. Son éducation a fait de lui un intellectuel petit-bourgeois souffrant de sa singularité, du décalage entre sa « valeur » et la place qui lui est réservée dans la société. Il abhorre son pays. Le poste de précepteur chez M. de Rênal ne fait qu’exacerber sa fierté. Pour lui, la réussite est une revanche sociale. Les nobles et les riches ne sont pas des modèles à envier, mais des gens à combattre. En maintes occasions, il se laisse éblouir par les honneurs, le

: Rastignac passe par 3 étapes initiatiques : Mme de Beauséant , qui lui apprend le grand monde ; Vautrin, qui lui dévoile la dureté des rapports sociaux et la loi de l’intérêt ; Goriot, qui, par sa mort, lui prouve le danger des passions. La description qui inaugure le roman apparait comme un coup de force, et utilise la technique du dévoilement progressif. Premier chapitre : « Une pension bourgeoise » A la fin de novembre 1819, au quartier Latin, plusieurs personnes vivent dans la sordide pension

complémentaires -Art poétique, Verlaine, Jadis et naguère. -Spleen, «  Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle… », Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857 -L’Invitation au voyage, Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857 -La description de la Bétique dans Télémaque de Fénelon -Lettre écrite à l’Académie française Sur l’éloquence, la poésie, l’histoire etc. de Fénelon -« L’irréductible », Paul Claudel, Feuilles de saints, 1910 -Textes sur la fonction du poète : Victor Hugo

représentants de la société. Meursault est d’abord, conformément a sa pente naturelle sensible au détaille qui lui frappe l’œil : de l’avocat général (page 140), puis la qui brille dans ses yeux (page 141), il trouve son avocat (page 161). Dans sa description de l’aumônier enfin, on ne trouve plus trace de l’impartialité naïve qui caractérisait naguère les observations de Meursault ; la douceur, la tristesse, l’agacement du personnage, son habileté même (l’aumônier use d’une tactique d’intimidation en

répartis en dix livres de longueur inégale. Dans la première édition du roman, paru chez Gosselin en mars 1831, trois chapitres sont coupés en raison des contraintes de longueur imposées par l'éditeur : ce sont le chapitre « Impopularité » (VI, 4) ainsi que les deux chapitres formant le livre V (« Abbas beati Martini » et « Ceci tuera cela »). Ces chapitres sont publiés dans la deuxième édition, définitive, du roman, parue chez Renduel en décembre 1832 Personnages principaux Pierre Gringoire : le personnage

surtout à ses idées qu'elle impose à toutes les classes sociales et qui sont adoptées par tous. Et en effet, Clarin a créé dans La Regenta des personnages, le marquis et la marquise de Vegallana, dont la prédominance sociale répond exactement à cette description. 2 La censure (scène du fiacre et autres coupures) oblige Flaubert à préciser pour le lecteur que La Revue de Paris ne publie que des «fragments» de son oeuvre «et non pas un ensemble». Voir Nadeau (1980). Mais nous n'oublions pas non plus