La Description Chez Zola Description De La Machine

vouloir », « libre-arbitre ». • Pour présenter sa vision de la liberté, Rabelais fait référence au vocabulaire religieux « vice », « vertu » : il oppose ainsi la liberté à la contrainte en les rattachant à ce qu’elles entraînent chacune chez l’homme. Pour lui, c’est la liberté qui permet la vertu et la contrainte le vice. Pour appuyer son idée, il insère une rupture dans son récit par le biais d’une maxime à la première personne du pluriel, qui englobe donc le narrateur et tous les

personne pour la raconter. ex : Enéide «Je chante», représentation inscrite de celui qui prend la parole pour raconter une partie de l’histoire (voir de sa propre histoire). Ulysse raconte aussi sa propre histoire, mais personnage fictif et la description de toute la situation est présentée avant qu’il commence à raconter son histoire. La narration distingue la représentation narrative et la représentation théâtrale. Dans le théâtre il n’y a X de distance entre l’histoire et le spectateur, dans

nuit et comme la clarté»…); tantôt ce sont des rythmes qui rendent sensible ce que la parole ordinaire ne saurait rendre. On mesure ce qui fait la poésie des deux textes en comparant leur «définition » à celle dictionnaire ; on y lit «dynamo» : machine qui transforme l’énergie mécanique en énergie électrique… Baudelaire et Delerm savent, chacun à sa manière, recréer un monde autour d’un mot et c’est cela qui rend leur texte poétique.  Corrigé du commentaire Attention! Les indications entre

investisseurs, les sociétés par actions se développent progressivement à partir des années 1860 et sont vendues en bourse : c'est l'expansion du capitalisme. C'est un système économique reposant sur la propriété privée des moyens de production (usines, machines) et dont la détention du capital est source de revenus. Il y a concentration : * horizontale : on se spécialise sur une activité principale (toutes les entreprises fabriquant le même produit se regroupent) * verticale : on regroupe des entreprises

La ballade de pendus , Villon, analyse IntroductionLa ballade des pendus, aussi appelée l’”épitaphe Villon” est écrite dans les années 1460, composée des trois dizaines de décasyllabes et d’un envoi de cinq vers, présente une description d’un groupe de pendus après leurs morts. Le texte est imprégné de l’idée de mort et de souffrance, mais aussi de pardon : Villon fait appel à la charité chrétienne en donnant au pendus une voix. Nous étudierons tout d’abord

des connaissances concernant les grands genres littéraires et leurs principales caractéristiques de forme, de sens et d’effets, afin de favoriser le développement d’une conscience esthétique. Enfin, chaque objet d’étude doit permettre de construire chez l’élève l’ensemble des compétences énumérées plus haut : compétences d’écriture et d’expression aussi bien que de lecture, d’interprétation et d’appréciation. Le programme fixe quatre objets d’étude qui peuvent être traités dans l’ordre souhaité

ce sont des créations qui se situent aux confluents de l’art et du mythe. On trouve également des créations qui sont à caractères ludiques ou utilitaires, comme des oiseaux artificiels, des automates créés pour le théâtre, comme on en trouve la description dans le Satyricon de Pétrone. Ce sont des objets fabriqués pour éveiller la curiosité et la fascination. L’être artificiel est aussi bien présent dans de nombreux mythes, qui auront une grande postérité dans la littérature et les arts. Parmi ces

points, il est possible d’�tablir un mod�le de chacune des deux r�volutions. . La Premi�re R�volution Industrielle (1780-1850) : o L’innovation technique : l’invention de la machine � vapeur par l’Ecossais James Watt (1769) qui conduit � la m�canisation de nombreuses activit�s (mise au point de machines textiles, de nouvelles techniques de fabrications de l’acier et de la fonte). o La source d’�nergie dominante : Le charbon exploit� dans les nombreuses houill�res des Pays Noirs

de sa rage », Jean Racine. Ici le fer désigne l’épée entière, pas seulement la partie en fer. 1-4- La personnification La personnification attribue les comportements d’un être humain à un objet, une idée, un animal…l’alambic dans l’Assommoir de Zola a une sueur d’alcool qui le rapproche à un homme ivre. 5 2-Les figures d’insistance : jeux sur les répétitions Ces figures donnent plus de force à l’énoncé en jouant sur la structure de l’énoncé. On peut distinguer : 2-1- Le parallélisme Le

école ! Il avait failli (…) se laisser jouer comme un enfant (ZOLA, Argent.). Les malins de sa force [à Edgar Faure] croient qu’il suffit de l’être pour se tirer d’affaire (…) Il a fait là-dessus quelques écoles et le pays avec lui (MAURIAC, Bloc-notes.). D. Au figuré. 1. Enseignement ou formation reçus au contact d’une réalité, dispensés par une personne. Rien ne vaut la rue pour faire comprendre à un enfant la machine sociale. (…) L’école en plein vent m’enseigna de hautes sciences