La Désobéissance civile

rêve d'un champ de coquelicots doux et apaisé. C'est pour s'inspirer et essayer de trouver une solution aux problèmes. À l'heure actuelle, ce qui pose question et qui fait débat au sein de la FMJ19, ce sont les formations à la désobéissance civile (la désobéissance civile est le refus de se soumettre à un règlement, une loi, une organisation.. C'est un acte public et non-violent mais contraire à la loi pour pouvoir la changer) de plusieurs organisations de jeunesse reconnues par la Communauté française

puis nous étudierons l'argumentation d'Antigone pour dénoncer les limites du nomos. I- Le nomos, un droit humain dicté le roi. Nous verrons tout d'abord que le nomos est un droit obligatoire mais que toutefois il peut être enfreint par la désobéissance. A) Le caractère obligatoire du droit écrit L'extrait commencepar le fait qu'Antigone avoue à Créon que c'est bien elle qui a enterrer son frère Polynice dans la nuit en qu'un des gardes de Créon l'a surpris. Comme elle le dit d'elle même

ordonna a ses homme de tirer sur la foule pacifique il y eu 300 morts et 1000 blessés Gandhi en fut horrifié. Il ne veut pas sallier avec les anglais contre les nazis, par la suite il demand aux britaniques de partir et relance le mouvement de désobeissance civile. Il se fait aretter peu après et reste 2 ans en prison. En 1944 Churchill le fait libérer. Le 30 javier 1948 Gandhi fut assassiné. A Delhi plus de deux million d’indiens ont assisster a ses funerailles.

de toute consigne syndicale, volontaire et concertée du travail par des salariés refusant d'astreindre leurs revendications au seul cadre de leurs préoccupations professionnelles. - Grève sur le tas ou grève avec occupation : une forme de désobéissance civile pratiquée par un groupe de travailleurs organisés, habituellement employés par une usine ou un autre type d'organisation centralisée, qui prennent possession de la place en « occupant » leur poste de travail. - Grève du zèle : un moyen de

jusqu'à la fin des années 1980. La décolonisation peut, dans certains cas, être obtenues de manière pacifique, par la négociation entre la métropole et la colonie. C'est le cas de l'Inde qui devient indépendante en 1947 suit au mouvement de désobéissance civile lancé par Gandhi. Parfois, une guerre coloniale est nécessaire pour que les métropoles admettent que l'indépendance de leur colonie est inévitable : la France n'accorde son indépendance à l'Indochine en 1954 et à l'Algérie en 1962 q'aux termes

communauté indienne immigrée des discriminations raciale. De retour aux Indes en 1914, il est décidé à mettre un terme à l'exploitation coloniale de son pays, sans répandre une goutte de sang. Il lance avec le parti du Congrès des campagnes de désobéissances civile en 1930 et 1940. Après la seconde guerre mondiale. Il y parvient en 1947, grâce à un programme de non-coopération( boycott des écoles, tribunaux, et produits britanniques) et de manifestations silencieuses. Gandhi mena une campagne nationale

Quelques maires de France se disent prêts à marier des couples de même sexe. Ce geste de désobéissance civile constitue un événement politique majeur. D’une part, il s’agit de mettre fin à la principale discrimination dont sont encore victimes les citoyens du seul fait de leur orientation sexuelle. D’autre part, il répond à une revendication universaliste : la participation au droit commun d’une partie de la population dénoncée souvent comme communautariste. Le mariage est à l’origine de la

sous des lois que l’on peut estimer contraignantes. Du coup, l’Etat, garant de la loi, peut lui-même sembler par nature fait pour opprimer la liberté.     Mais n’est il pas dans la nature de l’institution politique de rendre possible la liberté civile plutôt que de l’opprimer ? La liberté politique serait-elle possible sans un État pour la défendre? *  * * A. L’homme libre et le citoyen     Dans la culture occidentale, la liberté a d’abord été pensée dans l’opposition du statut politique

mal nécessaire. 3) Choisir la violence la plus légitime. III/ Comment dépasser l'opposition réalisme guerrier / pacifisme absolu. 1) Entre la guerre et le dialogue : les contraintes économiques. 2) Entre la guerre et le dialogue : désobéissance civile. 3) Mais la violence demeure parfois inévitable. Elle n'est jamais cependant le seul moyen efficace. Conclusion : Rappeler le problème et sa solution.

La question de l’Etat de Droit fortement marquée par les vocables habermassiens : espace public, société civile, désobéissance civile, démocratie délibérative ne nous est pas étrangère. En effet depuis les évènements de 1986 (et peut-être même avant) ayant conduit à la chute de la dictature des Duvalier nous assistons à des scènes de combat et de revendications auxquelles ces concepts sont souvent évoqués. De plus ces concepts nous les trouvons tous les jours dans la presse parlée, écrite et télévisée