La Destruction Du Voreux

effet elle le trompe avec son propre neveupaul negrel Lui contrairement aux mineurs connait une misère morale.Il meme envieux des mineurs lorsqu'l les voit s'ebattre dans la campagne.Lors de la greve il ne réagit pas ou très peu Mais après la destruction du Voreux il recoit la legion d'honneur.Les Hennebeau sont également compsé de Mme Hennebeau qui l'epouse de mr hennebau.elle est blonde et sensuelle.Elle ne s'amuse que très peu avec son mari qu'elle meprise meme.Elle n'hesite d'ailleurs a tromper son

règne de la justice, fraternité (lignes 43-44) - collectivisme (lignes 65 à 67) - « Ce que je désire, c’est que le mineur soit mieux traité » (ligne 8)  - La théorie de la destruction (lignes 40 à 44 et 46) - Bakounine l’exterminateur (lignes 97 à 102) - Le culte de la destruction (ligne 104) - Faire repousser un monde meilleur (lignes 43-44) - « écraser le vieux monde » (lignes 101-102) - « je me suis juré d’obtenir des douceurs pour les pauvres - « Tout détruire…

chez la Compagnie. Malgré cela, Etienne se résigna, en particulier à cause de la richesse présumée de la Compagnie et du froid glacial qui régnait, à aller vérifier lui-même si un poste était vacant. Il passa devant l’imposante et lugubre fosse du Voreux, qui est décrite comme un monstre vivant. Par la suite, l’auteur nous immerge dans l’archétype de la famille minière du Nord, les Maheu vivant dans le coron des Deux-cent-quarante, un groupe d’habitations construites par la Compagnie et réservées

Commentaire composé Partie 7 chapitre 2 Germinal de Zola Ce texte est un extrait de Germinal, écrit par Emile Zola en 1885 et qui est le treizième volume des Rougon-Macquart. Ici, il nous fait la description du sabotage du Voreux par un homme dont le nom n’est pas mentionné. Il adopte une focalisation interne puisqu’il sait ce qu’il pense ou le cas échéant, ce qu’il ne pense pas comme à la ligne 27 avec « l’idée d’aller changer de vêtement ne lui vint même pas ». De plus son statut semble être

il confiait qu’il s’appelait Étienne Lantier et qu’il était « un machineur » qui, parce qu’il avait giflé son chef, venait d’être renvoyé des ateliers de Lille, qu’il cherchait du travail. Mais le vieux Bonnemort lui dit qu’il n’y en avait pas au Voreux, où il avait passé sa vie entière, étant maintenant envahi par le charbon. Il lui révéla l’importance de la Compagnie qui était «le dieu repu et accroupi auquel ils donnaient tous leur chair, et qu’ils n’avaient jamais vu.» (page 16). Chapitre II

dont les populations devaient être à la fois enrôlées et dirigées par les Européens à des fins déterminées de l’extérieur » (Histoire Générale de l’Afrique, p.339). Le continent noir a connu sous le colonialisme son dépouillement stratégique : la destruction de ses structures politiques, l’exploitation des ressources (humaines et minières), et la suppression de ses valeurs traditionnelles. L’idéologie de l’impérialiste coloniale était celle chargée d’une responsabilité ou de tutelle. Le colonialiste

et qu'elles pourront permettre aux ouvriers des siècles à venir de connaître enfin la victoire. * La quête marginale de Souvarine La quête que poursuit Souvarine est beaucoup plus radicale que celle des mineurs, il veut l'extermination du Voreux. Ce n'est pour des raisons personnelles ou matérielles qu'il le fait mais pour des raisons idéologiques. Il va donc jusqu'au bout de son idée et fait sauter le cuvelage de la mine comme point de départ du "nettoyage par le vide", de l'anarchisme.

il confiait qu’il s’appelait Étienne Lantier et qu’il était « un machineur » qui, parce qu’il avait giflé son chef, venait d’être renvoyé des ateliers de Lille, qu’il cherchait du travail. Mais le vieux Bonnemort lui dit qu’il n’y en avait pas au Voreux, où il avait passé sa vie entière, étant maintenant envahi par le charbon. Il lui révéla l’importance de la Compagnie qui était «le dieu repu et accroupi auquel ils donnaient tous leur chair, et qu’ils n’avaient jamais vu.» (page 16). Chapitre II

envers Catherine à cause de sa jalousie. Il se bat souvent avec Etienne. En échange d’une promotion, il stoppe la grève et va jusqu’à trahir ses camarades en prévenant les gendarmes. Il espère qu’Etienne soit arrêté. Souvarine : Machineur au voreux, il est logé chez Rasseneur dans la chambre voisine d’Etienne. Il devait avoir une trentaine d’année, mince, blond, avec une figure fine encadrée de grands cheveux avec une barbe légère. Il aime échanger avec Etienne. Cependant, il est anarchiste

ancien mineur encore au travail, du moins au début du roman, âgé de 58 ans, est la vivante antithèse de M. Grégoire, âgé de 60 ans. Signe distinctif de Bonnemort: il crache régulièrement du charbon. Bavard avec Etienne, quand celui-ci arrive au Voreux, Bonnemort se montrera beaucoup plus réservé par la suite. Bonnemort est conçu par Zola comme étant "le produit de la mine": il est atteint de bronchite, voire de silicose, mais il a réchappé par trois fois à la mort, comme l'indique son surnom