La Dette Publique Est Elle Souhaitable

de croissance vigoureux, qui concentrerait sur un an ou deux tout ce à quoi la Grèce peut prétendre comme investissements et fonds structurels pour les cinq ou dix prochaines années. Quid de la dette ? S'ils sortent de la zone euro, la dernière chose que les Grecs feront, c'est de payer leur dette. Quels seraient les effets d'une sortie de la Grèce pour le reste de la zone euro ? Pour la zone euro, ce serait une catastrophe. On aura montré qu'on peut être dans la zone euro et en sortir

et l'Italie, La Tribune, B.Aliouche, 01/10/2011 Document 6 : La crise de la dette attise le débat sur la recapitalisation des banques, LeMonde.fr , 22/09/11 Document 7 : Un système bancaire à repenser, LeMonde.fr, Michel Rocard, ancien premier ministre, 03/10/2011 Document 8 : La crise grecque met la zone euro sous pression, LeMonde.fr, 03/10/2011 Document 9: Dexia prise en étau entre subprimes et crise de la dette, LeMonde.fr, 04/10/2011 Document 10: Accord historique du comité de Bâle pour renforcer

leviers de la croissance # Les vacances en 2004 # Nourrir le monde de demain # Pétrole : La pénurie dès 2012 ? # Pétrole : une hausse plus forte du prix est souhaitable # Pétrole : La pénurie dès 2012 ? # Pollution automobile : des normes plus strictes ? # Pour éradiquer la misère, l’Inde devrait libéraliser son économie selon l’OCDE

croissance, le tournant de la rigueur est effectué en 1983 sous Mitterrand après deux ans de politique budgétaire expansive. Mais c’est surtout après la crise financière de 2008 que la France et la plupart des Etats européens, confrontés à des niveaux de dette souveraine passant d’environ 65% du PIB avant la crise à 90% aujourd’hui en moyenne, s’attèlent à des politiques d’austérité drastiques, alors que la croissance économique est à un niveau d’atonie prolongé. Ainsi faut-il éclairer cette notion d’austérité

monnaie sur le niveau général des prix. Par ailleurs, comme la loi de Say peut être considérée à sa façon comme l’énoncé de base pourl’économie de l’offre, on ne doit pas s’étonner de la proposition que font les Classiques en matière definances publiques en faveur d’une faible pression fiscale. Pour ce qui concerne la monnaie, comme lesClassiques accordent la plus haute importance à la stabilité de l’étalon monétaire, ils prescrivent un réglage rigoureux de l’émission monétaire. Les principes du

non le capital, il ne réduit pas la demande, mais ne fait qu'en modifier la nature ». En effet, il y a transfert de pouvoir d'achat des contribuables vers l'Etat. La demande des particuliers chutant, certains secteurs en souffrent mais la demande publique suscite une activité plus grande dans d'autres secteurs, voire compense la baisse de la consommation privée. L'impôt « est un mal suffisamment grand sans qu'il faille lui attribuer encore plus de torts ». Il faut également craindre les taxes destinées

les agents doivent rembourser aux banques une part de plus en plus importante de leurs revenus et de moins en moins nombreux sont les entreprises, les ménages qui sont dans l’incapacité d’y faire face. Ainsi se met en place le cercle vicieux de la dette : baisse des prix accroît le poids des dettes, des frais financiers ce qui multiplie les défauts de paiement et les faillites bancaires. Cette spirale dévastatrice ne s’arrête qu’avec une stabilisation du secteur financier c’est-à-dire un arrêt des

économique classique (à ne pas confondre avec le social-libéralisme et le courant économique qui lui est associé) est la doctrine selon laquelle les libertés économiques (libre-échange, liberté d'entreprise, de consommation, de travail, etc.) sont souhaitables et que l’intervention de l’État doit être aussi limitée que possible, nait au xviiie siècle en parallèle avec l’émergence de la définition de ce qu'est l’État par les philosophes politiques, comme John Locke, qui dans les Deux Traités du gouvernement

(USA) il faut trouver du crédit à l’extérieur (Les chinois !) pour payer les bons du trésor, ou les obligations d’entreprise pour financer l’investissement et la consommation. Le problème du bouclage de la BP se déplace vers la soutenabilité de la dette externe. Cela devient un problème de soutenabilité classique. Cette soutenabilité repose sur la confiance (Eichengreen, Un privilège exorbitant). S’il n’y a pas de financement externe, le FMI est là pour aider les pays qui n’arrivent pas à boucler

croissance, le tournant de la rigueur est effectué en 1983 sous Mitterrand après deux ans de politique budgétaire expansive. Mais c’est surtout après la crise financière de 2008 que la France et la plupart des Etats européens, confrontés à des niveaux de dette souveraine passant d’environ 65% du PIB avant la crise à 90% aujourd’hui en moyenne, s’attèlent à des politiques d’austérité drastiques, alors que la croissance économique est à un niveau d’atonie prolongé. Ainsi faut-il éclairer cette notion d’austérité