La Dislocation Du Bloc Soviétique

boucherie de tous les temps, la deuxième guerre mondiale, et l'enfoncement de toute la société dans une barbarie sans exemple par le passé. Aujourd'hui, avec l'effondrement économique et politique des pays dits "socialistes", avec la disparition de fait du bloc impérialiste dominé par l'URSS, le stalinisme, comme forme d'organisation politico-économique du capital et comme idéologie, est en train d'agoniser. C'est donc un des plus grands ennemis de la classe ouvrière qui disparaît. Mais la disparition de

dans une relation. ex ( à l’échelle du monde turcophone) Turkménistan : entre 1991 et 2006 le Tukménistan met en place une politique de fermeture afin de se maintenir dans son enclavement . Il y a une véritable volonté de se couper du monde post soviétique (seule la Turquie parvînt à nouer des liens, mais surtout économiques). Les frontières sont fermées et gardées militairement 24h/24h. Toutes les influences culturelles sont elles aussi rejetées (ex :Télévision câblée que proposait la Turquie est

concessions n'ont elles pas été faites à Staline, en échange de la participation de son pays à une future organisation internationale pour le maintien de la paix et de la sécurité? Pouvait-on agir autrement face au fait accompli de l'expansionnisme soviétique? L'avis et la participation des petites puissances au rétablissement de la paix n'ont-ils pas été oubliés?. Roosevelt déclara à son retour de Yalta , que la conférence "signifierait la fin du système d'action unilatérale , des alliances exclusives

et austro-hongrois et de les offrir découpés en petits morceaux aux empires coloniaux. Pendant la deuxième guerre mondiale le rouleau compresseur mondialiste n’a pas réussi malgré l’aide précieuse apportée par l’Allemagne nazie à effacer l’Union Soviétique. Néanmoins cela a permis quand même l’implosion des empires coloniaux français et britannique. Il a fallu patienter encore quelques décennies pour qu’une fois son dernier rival éliminé apparaisse enfin dans toute sa magnificence l’empire unipolaire

importante pour le redressement allemand dans les années 20 C. La nouvelle carte de l’Europe. Selon la volonté de Wilson, doit reposer sur le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Les nationalités devait pouvoir aboutir a créer leurs états. On a une dislocation de tous les empires. On cherche à mettre en accord la carte politique de l’Europe et les inspirations nationales. La Russie, qui perd des territoires. La Finlande a trouvé une véritable indépendance. Il y aussi la naissance de pays Baltes. Et puis

Benito Mussolini (qui s'était commis en intermédiaire) à l’issue de la conférence de Munich, tenue du 29 au 30 septembre 1938 en l'absence notable du président tchécoslovaque, Edvard Beneš, et du secrétaire général du Parti communiste de l'Union soviétique, Joseph Staline, qui n'ont pas été invités. Ces accords mettent fin à la crise des Sudètes et, indirectement, scellent la mort de la Tchécoslovaquie comme État indépendant. En préparation d'un affrontement que tout un chacun pensait inévitable

s'étaient préparé à une guerre d'usure. • Les dissensions des (futurs) Alliés Au début de la guerre, lorsque l'Allemagne remporte ses premières victoires, les Alliés ne s'entendent pas avec la Russie. Cette dernière a signé avec Hitler le pacte germano-soviétique garantissant la neutralité des Russes dans le conflit et empêchant l'Allemagne de dépasser la frontière de l'URSS. Les USA ne s'investissent alors pas encore dans cette guerre. Premiers succès de l'Axe En 1939, la guerre prend une dimension européenne

réalité du contrôle. Ces deux empires ont connu des destins différents, l’empire romain connaît une dislocation pour des raisons culturelles, politiques, avec un empire romain d’orient ( capital Constantinople ) et d’occident ( capitale Rome ) la langue grecque à l’ouest et à l’est le latin, séparation de la religion d’abord le christianisme : Orthodoxes à l’est et à l’ouest les catholiques. Dislocation de l’empire romain d’occident du fait de multiples invasions barbares et l’empire oriental devenu

dans une perspective organique. Dans les temps modernes, géographes, philosophes ou encore économistes, discutent les termes “ géostratégie ” et “ géopolitique ”. Et pour cause, la complexité de notre monde contemporain, née de la dislocation de l’empire soviétique et du redécoupage des frontières, impose le recours à un nouveau mode d’analyse délaissant les traditionnels prismes idéologiques. Le génocide du Rwanda, la guerre civile algérienne, ou l’implosion de la Yougoslavie n’entrent plus dans

système monétaire international, basé sur l’étalon-or, commença donc à s’effondrer. Le monde se fractionna alors en plusieurs zones monétaires : bloc dollar (Etats-Unis et pays d’Amérique), zone sterling (Grande-Bretagne + Empire colonial anglais), bloc de l’Or…. Une telle fragmentation, renforcée par la montée de mesures protectionnistes, aboutit à une dislocation des relations économiques internationales. Enfin, sur le plan social, de nombreux pays sont heurtés de plein fouet par la crise : on assiste