La Dispute Didascalie

personnages du quotidien. 2. Quel est l’objet de chaque dispute ? Que cela révèle-t-il des préoccupations des personnages ? * Don Diègue et le Comte se disputent à propos du poste de gouverneur du prince (vers 215-222). Ce problème montre combien les deux hommes se préoccupent de leur réputation, du prestige que procure un tel poste. * Martine et Sganarelle ont une scène de ménage (il boit, ne travaille pas, … lui reproche-t-elle) : dispute du quotidien, personnages préoccupés par des problèmes

Rien n’est transmis, la conversation vide Double théâtral : dialogue destiné au spectateurLe titre est venu par hasard : un lapsus (erreur, égarement)Toutes les paroles échappent à celui qui les produit Il y a beaucoup de dispute dans la scène Scène 7 : dispute entre les Smith - le titre est résultat d’un lapsus - Ionesco nous fait entrer dans son univers de part la maitrise d’un style qui pousse à rendre insolite ce qui relève de l’évidence pour montrer l’étrangeté de la

lire la lettre. - Au milieu de l’intrigue, Bartholo > Comte déguisé. - LECTURE - Caractérisation : - A quel type de scène est-on confronté ? = une scène de conflit entre 2 personnages. Montée de l’intensité (exclamations), colères, dispute. Enjeu = s’emparer de la lettre ou accuser Rosine d’avoir un amant. = une scène type d’affrontement, de lutte ; de combat par la parole - « Comment révoltée ! Vous ne m’avez jamais parlé ainsi. » : d’après ces mots, quel est l’enjeu symbolique

chœur). Finissez vos phrases, Tardieu ( Jeu sur la parole) En attendant Godot, Beckett (Jeu sur l’intérêt de l’intrigue) + (didascalies sont parfois + nombreuses que la parole) = 2 même que Ionesco, tournent en dérision le langage considéré comme impuissant et l’existance humaine étant absurde. Le songe d’une nuit d’été, Shakespeare ( 2 couples d’amoureux transis + 1 dispute entre le roi et la reine des fées + 1 potion qui s’en mêle et 1 troupe 2 comédiens amateurs qui préparent 1 pièce pour le mariage

fragilité face à Don Juan. La scène 4 enfonce l’image fragile et manipulable des 2 paysannes. Cette scène comique montre la dispute entre Mathurine et Charlotte, qui sont chacune persuadées d’être la préférée de Don Juan, qui donne discrètement raison aux 2 femmes (on le voit notamment par la didascalie « bas à… »). Ici le comique de geste est créé dans les didascalies puisque Don Juan fait des va et vient entre Mathurine et Charlotte. Les deux femmes se font échos tout comme les répliques de

on entendra parler avec perplexité, est purement absent de la distribution. On peut en effet qualifier celle-ci d’ « anti-distribution ».Peu après, dès la didascalie initiale, on comprend qu’elle n’exerce pas son rôle premier. Les didascalies, normalement destinée aux acteurs, metteurs en scène et lecteurs est dans ce contexte, une didascalie narrative, faite pour être lue aux spectateurs. Elle décrit le tableau de manière imprécise avec l’emploi répétitif du qualificatif « anglais », « anglaise »

l’imagination moult libertés et folies. Le lecteur peut ainsi s’imaginer ses propres décors, ses propres costumes, sa propre mise en scène, il est libre. On ne lui impose rien mise à part les didascalies inscrites par l’auteur. C’est pourquoi La Dispute de Marivaux, publiée en 1744, est agréable à lire, peu de didascalies sont présentes ; il est donc facile au lecteur d’imaginer tout ce qui lui plaît. En conclusion, le théâtre peut être apprécié de tout le monde ; tout dépend de la personne qui

dejà du langage. Les fausse confidences : Comédie en trois acte, en prose. Qu’attend-t-on d’une comédie au XVIIIème. Le titre de Marivaux ne renvoie pas à un personnage, c’est souvent le cas chez Marivaux, le titre renvoie à une situation : la dispute, le Jeu de l’Amour et du Hasard, la Double inconstance, l’Epreuve… Le titre nous donne déjà une clef de la situation. Ici « fausse » : personnage en double jeux, le valet dubois joue le role du metteur en scène, il organise tout. L’adjectife « fausse »

QUESTIONS SUR LE THÉÂTRE 1) ÉCRIT EAF : sujets de dissertation. - Les aspects comiques d'une pièce de théâtre (texte et représentation) ne servent-ils qu'à faire rire ? - Comment le théâtre permet-il de persuader et d’émouvoir ? - Au-delà même de la dispute, peut-on considérer que le conflit est l'essence du théâtre ? - en quoi la mise en scène d'une œuvre théâtrale en constitue, à sa manière, une interprétation. - L'expression du conflit au théâtre peut-elle se passer de mots ? - Comment le théâtre

entre ces deux femmes. Et Sganarelle le valet de Dom Juan qui fait preuve de lâcheté devant son maître malgré sa bonté et se contredit : « mon maitre est fourbe » « il n’est point fourbe ». Ou bien encore les deux paysannes naïves qui mènent une dispute de façon ridicule don Dom Juan en est le responsable. LE COMIQUE DE LANGAGE Molière met aussi en place le comique de mot, exemple dans l’acte II scène 5 avec le langage populaire « le v’la » ou bien « Quement donc » ce langage familier remplie