La Dispute Didascalie

pas Sosie. Il frappe d’ailleurs le valet. Alcmène, qui croit avoir passé la nuit avec Amphitryon écoute Jupiter, dans ses adieux, lui demander de l’oublier. Cléanthis, qui croit croiser son mari, reproche à celui-ci de ne plus la complimenter. La dispute éclate. Sosie tente d’expliquer à Amphitryon ce qui lui est arrivé ce dernier ne le croit pas. Amphitryon et Alcmène se retrouvent. L’homme reproche à Alcmène son indifférence face au retour de son maitre. Mais il apprend par elle qu’ils ont passé

semblent vouloir s’approprier cette place du père, mais la mère domine en chef de famille. · Difficulté à se comprendre : les personnages ne parviennent pas à communiquer et les malentendus provoquent des disputes : personne ne prend le temps d’écouter ce que l’autre a à dire et tout le monde s’emporte facilement. · Le conflit : les personnages s’embrouillent pour des broutilles tout en passant à côté de l’essentiel :

gestes : gestuelle ridicule ou répétitive . Acte 3 scene 7 Le comique le plus évident est celui de gestes, forcément excessifs ici, comme on peut l'imaginer lors de la menace “je te poche avec décollation et torsion de jambes”. Signalé par la didascalie “Il pleure et sanglote”, il met aussi en relief le coup de théâtre qui inverse la situation : le personnage fond en larmes sous l'effet de sa peur alors que, jusqu'alors il apparaissait comme un tyran sanguinaire, un dictateur qui présidait, avec

parole ne permet pas aux personnages de se retrouver.Explication n°13 : 2ème partie, scène 2Contexte : c’est pratiquement la fin de la pièce. Après un monologue de Louis où il se parle à lui même, en se remémorant ses regrets, a lieu une scène de dispute familiale où Antoine a majoritairement la parole et a l’impression d’être le bouc émissaire.Mouvements : 1) l 1à 13 : Des reproches à Antoine qui déclenchent le conflit2) l 14 à 33 : La tirade d’Antoine où sa colère explose 3) l 34 à la fin : Un retour

verrouillée, suffira à la révéler. Le retour au désert est un texte fort sur la famille, la province, la bourgeoisie, le racisme, le silence qui étouffent. Mais c'est aussi une histoire d'amour passionnelle entre un frère et une soeur, qui entre cris et disputes, finit par émouvoir. La mise en scène et la direction d'acteurs de Muriel Mayette sont particulièrement réussies : la volonté d'humour voire de cocasserie impriment à la pièce une légèreté opportune, qui n'amenuise en rien la violence et la portée

Cassius : Du servage Cassius délivrera Cassius. […] La part de tyrannie que je supporte, Je puis m’en affranchir si je veux. Les deux récits annonciateurs de meurtre • La tempête qui fait rage de la nuit avant le meurtre de césar (I-3). Didascalie annonce « [Tonnerre, éclairs] et Cinna rentre en scène l’épée tirée, ‘sans souffle’ et les ‘yeux égarés’ : signe de la peur et de l’imminence du danger. Cinna explique à Cicéron le pourquoi de la panique qui l’habite : […]tout l’ordre

des personnages : aucune indication sur liens entre personnages ou sur fonctions.       Découpage : pas en scènes et actes (propre au XX ème siècle) car resserrement de l’action + tension monte donc pas de coupure (en profiter pour rappeler rôle didascalies).   Lecture du prologue après définition de ce terme : partie avant la pièce proprement dite où un acteur s’adresse directement au public pour annoncer quelques thèmes majeurs ainsi que le début du jeu en donnant les précisions nécessaires à leur

s’écarte de ce modèle par ce qu’elle dit en entrant (au lieu de dire « Madame » ou « Monsieur » et de donner les informations qu’elle doit donner, elle se présente au public), puis par son apparente folie (l. 212‑213). ③ Un pantin La didascalie et la réplique des lignes 212‑213 frappent par leur incohérence : Mary traverse des états successifs qu’aucune vraisemblance psychologique ne peut venir justifier. En outre, elle fait une annonce (« Je me suis acheté un pot de chambre ») qui n’a

entraîne les railleries de Dom Juan qui clôt la scène et montre la dévaluation de cette argumentation (cette dévaluation a choqué les dévots( personnes très attachés aux pratiques religieuses) du temps de Molière).  Ce n'est pas exactement une dispute car Dom Juan n’accepte pas d’y entrer. Ces silences sont narquois ( personne qui pratique la raillerie c'est a dire la plaisanterie offensante) envers Sganarelle. Ces silences et la chute ont pour intérêt d’être des signes qui ont un sens plus

aux bruits qui permettent la mort de DJ. B/. Deux manifestations merveilleuses et porteuses de tragique *L'arrivée du spectre : l'ultime avertissement, l'ultime chance de rachat Le spectre voilé redouble la visite d'Elvire en IV,6 : avec la didascalie interne de Ragotin « voici une dame voilée », nous pouvons ainsi établir un double parallèle entre Elvire et le spectre: tous deux sont voilés et demandent à DJ de se repentir. Le message du spectre est un des moyens d'accès à la voix de Dieu