La Dispute Didascalie

moins conventionnel à connotation bourgeoise et qui ancre le personnage dans la réalité. Un valet bien français et d'un nouveau type. Le mystère:didascalie initiale: air mystérieux , méfiance manifestée par Dubois "je vous guettais" ; deuxième didascalie, Dubois sur ses gardes (il cherche et regarde) . Les spectateurs assistent à une conversation confidentielle dont ils ne peuvent comprendre tout le sens , la collusion entre les deux hommes semble totale; une entente secrète qui exclut les autres

concernant Douce, sa chienne et lui fait promettre de ne plus la gronder et de lui parler « comme à une vraie personne » (p. 35).   Antigone reçoit Hémon qu'elle aime et qui l'aime : ils sont fiancés et doivent se marier. Une allusion est faite à une dispute qu'ils ont eut la veille lors d'un rendez-vous où elle voulait s'offrir à lui pour être sa femme avant leur union officielle avec « une robe d'Ismène, ce parfum et ce rouge à lèvres » (p. 43). Elle lui demande ensuite de partir sans la regarder ni

criminelle (l8), dévorante tendresse (l10) Métaphores et allégories : épais rouge Métaphores filée de la lumiere et de l’obscurité Pourquoi peut on parler de véritable mise en scène théâtralisé Présence de passages qui font penser a des didascalies Jeu de panelouck : l2 : cheveux sur le front , Corp. agité L27 d’un voix calme L5 sourdement , tous accusateur Cadre de décor : L25 odeur de cire réaction des fideles , L63 bruits de voix L65 remue méninge L62 lumiere plus jeunes Chercher

doute je ne m'attendait pas ; et mon père ne m'a pas peu surpris lorsqu'il m'a dit tantôt le dessein qu'il avait formé ». Le comique de situation est aussi présent des le début de l'acte III, scène 10 dans Le Bourgeois Gentilhomme , ont assiste a la dispute de deux couples de différentes classe social Cléonte et Lucile d'une part et Covielle et Nicole d'autre part ; les deux couples se disputent pour une même raison, les conversations se croisent, se succèdent l'une aprés l'autre. Elles sont les mêmes :

au sein d'un écrit théatrale, ,chaque anotation n'est pas adonine,chaque phrase rédigées est un message au lecteur. En effet,les didascalies au sein d'une pièce, possèdent toutes un sens bien particulier et un message visuel que l'auteur a voulu faire passer à celui qui découvre son histoire, elles permettent de stimuler l'imagination du lecteur qui peut ainsi se faire une idée précise

tenue le jour de sa naissance , Nawal veut retrouver son fils pour être une mère pour lui, pour réaliser le devoir qu’il lui revient après avoir mis au monde son fils, c’est-à-dire s’occuper de lui, en prendre soin, le surveiller. De plus, la didascalie « Nawal (19 ans) » laisse penser que la mère étant jeune, son fils également doit être jeune, voire bébé. On peut en déduire que Nawal est une jeune femme ayant eu un fils et l’ayant perdu mais voulant le retrouver pour qu’il ait une mère sans doute

de la mort se voit parfaitement représentée sur le texte. « ZINEB : J’ai cent ans. Le moment est venu de mourir » le mot mourir est mis à la rime, et pour cela mis en valeur. De plus, pendant toute la longue tirade de Zineb on trouvera des didascalies qui font plus visuelle la mort : le lecteur en lisant presque sent la perte de forces du côté de l’ancienne sorcière. Comme on voit dans les exemples suivants : Le bras de la sorcière bouge. Sa paupière se soulève. (p.72) La sorcière se dresse

les personnages ralentissent le déroulement de l'action . Chaque scène au théâtre ne s'enchaine pas avec la précédente à la manière d'un récit . En effet pour que la pièce se déroule plus vite , la situation de chaque scène est annoncée par des didascalies remplaçant les précisions du récit . Ainsi une sorte d'ellipse est faite au passage à l'acte II et à l'acte III ,ou il est admis que chaque acte est un jour différent sans pour autant le préciser .Aussi pour exemple , dans l'acte Ia scène 4 , le

honneur ? ou encore à la place d’Antigone : céder à Créon ou bien défendre la loi morale au risque d’en périr ? Le débat d’idées cède souvent la place à un affrontement plus vif : la tension monte entre les protagonistes et ce débat se transforme en dispute au caractère comique ou au contraire tragique. Les richesses du lexique et les figures de style, l’alliance des registres et les procédés rhétoriques nous font ainsi entendre plusieurs combats : celui qui oppose les protagonistes pris dans une intrigue

et même sous la forme du monologue délibératif il garde son caractère de dialogue avec soi-même. C’est lui qui assure la progression dramatique dans la tension entre des intérêts divergents. Ce discours est souvent coloré extérieurement par les didascalies (indications scéniques) qui indiquent notamment les émotions et les sentiments qui agitent les personnages. Au théâtre (mais aussi parfois dans le roman ou le dialogue philosophique), ce dialogue est marqué par la double énonciation : Deux émetteurs