La Dispute Scène 9

extraits sont étudiés en lectures méthodiques. - Acte I scène 2, "Quoi tu veux qu'on se lie ... et vous parlez tout comme un livre." - Acte III scène 1, "Mais laissons-là la médecine" jusqu'à la fin de la scène. - Acte III scène 2 - Acte V scènes 5 et 6 Etude comparative de quelques mises en scène de Don Juan - Bluwal (la réalisation de Bluwal est visible sur YouTube), Mesguich, Lassalle, etc. - Réflexions sur quelques choix de mises en scène et leurs implications : l'importance du fantastique, l'âge

- principe de la double énonciation - gestuelle Beaumarchais était à la fois auteur et metteur en scène. Sa pièce n’a pas bien marché car elle était trop longue ( 5 actes )donc il l’a repris et l’a réécrite et réduit à 4 actes, elle eu du coup un grand succès mais la censure a mis du temps à ré autorisé sa publication. Il écrit pour le public. Un dialogue vif 1 Une dispute provoquée - Ce sont 2 personnages avec 2 opinions opposées - Rosine pense qu’il faut qu’elle

pouvoir à la cour de Néron, successeur de Claude. La scène à étudier est le début de la scène 1 de l’acte I, c’est à dire la scène d’exposition de la pièce qui informe de la manière la plus naturelle possible le spectateur sur la situation initiale. Elle correspond à un dialogue entre Agrippine, la mère de l’empereur Néron, et la confidente de celle-ci nommée Albine. Dans cet extrait, nous verrons comment Racine a réussit à composer une scène d’exposition efficace et vivante en étudiant tout d’abord

Président à l’Acte I, Scène 2. Le Mendiant : homme ou divinité, telle est la question concernant le Mendiant. On ne sait rien sur lui, même pas son nom, tandis que lui semble tout savoir ; il raconte les histoires en détails que ce soit celle de la chute d’Oreste, de l’assassinat d’Agamemnon ou même celle du meurtre d’Egisthe et de Clytemnestre, alors qu’il est en train de se dérouler. Il est également une sorte de donneur de leçons sur la vie. Résumé de l’acte I, scène 4 Électre

devenir un homme de qualité, il engage un maitre de musique, un maitre à danser, un maitre de la philosophie et un maitre d’armes. Ceux-ci lui enseigneront leur savoir afin de l’instruire. Monsieur Jourdain paye bien alors tout le monde est content. Scène 2 : monsieur Jourdain demande de voir ce que le maitre de musique et à danser lui ont préparé. Le maitre de musique présente un de ses élèves qui a composé un air pour la sérénade demandée par M. Jourdain. Il trouve la chanson lugubre alors chante

diplomate ; remarques pour apaiser son mari : “Eh bien,... eh bien,... Gérôme !” l.9 veut peut-être éviter une dispute ou paraître trop familiers ? discrète, “elle murmura” l.28 sensible au décor, à l’air marin, capable d’apprécier ce genre de choses contrairement à son mari distinguée : “regardait d’un air attendri le large horizon…” l.26/27 => le père Roland apparaît comme un peu rustre appelé “le bonhomme” l.10 Cpdt, la scène est centrée sur lui : il a 3 répliques, et ce sont les + longues de l’extrait

qui met en scène Argan un bourgeois hypocondriaque souhaitant marier sa fille à un homme qu’elle ne connaît pas. Dans cet extrait on assiste à un conflit entre Argan et sa servante Toinette qui prend le parti de sa fille Angélique. Nous allons nous demander en quoi le rapport de force entre un maître et sa servante s’inverse dans ce passage. Nous verrons tout d’abord le conflit verbal qui oppose les personnages dans le premier mouvement du texte (l.1-6) puis nous observerons que la dispute s’intensifie

Comtesse et Suzanne : maîtresse et camériste La Comtesse et Chérubin : marraine et filleul Le Comte et Chérubin : maître et page Figaro et Suzanne : Fiancés Marceline/Bartholo/Figaro : mère, père et fils • Principales actions Scène : en Espagne, dans le château d’Aguas-Frescas (à trois lieues de Séville), se déroule le matin du mariage et se finit la nuit Acte I  Lieu : futur chambre Suzanne/Figaro 1 : Intrigue de départ : Figaro et Suzanne sont supposés se marier. Le

Argan. D’ailleurs, en raison de la scène d’exposition, la pièce peut sembler grave car le personnage d’Argan est rempli par l’angoisse de la mort et par le pathétique de sa folie. Toutefois, Molière rend sa pièce plus légère en y ajoutant une intrigue sentimentale, typique de la farce, mettant en scène le personnage d’Argan qui souhaite marier sa fille Angélique, au médecin Thomas Diafoirus alors qu’elle est amoureuse d’un autre homme nommée Cléante. Dans la scène 5 de l’Acte I de la pièce, où à la

faisait la cour à la comtesse. Le comte se rend dans la chambre de son épouse, où se trouve Chérubin, un prétendant de la comtesse, qui va s’enfuir et être remplacé par Suzanne, venant en aide à sa maîtresse. Nous nous trouvons ici, dans l’acte II, scène 16 à 18. Nous étudierons tout d’abord les caractéristiques de la comédie, puis nous commenterons le comportement d’un comte despotique, et enfin, nous analyserons la situation de la femme au XVIIIème siècle. L’extrait proposé présente de nombreuses