Petits poème en prose de baudelaire
Les auteurs du 18ème siècle aiment le drame bourgeois, ils essaient d’enlever une couche aristocratique. Pour interpeller le lecteur ils utilisent le rire, comme Molière qui a beaucoup influencé Beaumarchais, ils pensaient que le rire pouvait corriger les mœurs. Le public est plus sollicité avec le rire. 3 façons de faire rire les gens : - ce que disent les gens peut faire rire - principe de la double énonciation - gestuelle
Beaumarchais était à la fois auteur et metteur en scène. Sa pièce n’a pas bien marché car elle était trop longue ( 5 actes )donc il l’a repris et l’a réécrite et réduit à 4 actes, elle eu du coup un grand succès mais la censure a mis du temps à ré autorisé sa publication.
Il écrit pour le public.
Un dialogue vif
1 Une dispute provoquée
- Ce sont 2 personnages avec 2 opinions opposées - Rosine pense qu’il faut qu’elle s’énerve car elle est en position faible - 1ère réplique de Rosine : « il est », « on se », « les », « quelqu’un » (c’est général, indignation, elle insiste sur l’inconvenance de lire la lettre. - 2ème réplique de Rosine : dans la 1ère partie de la phrase elle utilise la négation, continue le même procédé dans la 2ème partie de la phrase : « on ne », « personne », « lui » + questions rhétoriques - 3ème réplique de Rosine : négations puis elle le menace car elle n’arrive pas à le mettre en colère, elle utilise le chantage. - Ensuite il ne prend plus de précaution car il ferme la porte - L 19 Rosine essaie de parler du droit et il lui répond que c’est la loi du plus fort - Elle met encore une condition : se tué l 21 - Il utilise des impératifs et elle n’a d’autres solutions que de feindre de s’évanouir l 26
1 Un effet d’accélération
Les répliques sont de plus en plus courtes, et une pression de plus en plus forte est présente.
Bartolo fait des phrases pas finit l 3, l11 quand les 2