La Distinction. Critique sociale du jugement

prestigieuse des disciplines(6) et que toutes les autres disciplines proviennent d'elle. Vue comme tel, elle est donc à l'origine de toutes sciences, religions ou des concepts de beauté, d'art, de numérologie(7), de sculpture, de médecine ou d'organisation sociale. Ils seraient donc plus en accord avec la raison que le mythe. Or, cela nous emmène justement à la question soulevée par notre sujet, quelle place la raison peut-elle accorder au mythe ? Il s'agit de se demander s'il existe une compatibilité entre

de mythocritique. Dictionnaire, sous la direction de Danièle Chauvin, André Siganos et Philippe Walter, Paris, Éditions Imago, 2005, ISBN 2-84952-009-8. Née dans les années soixante-dix, la mythocritique s’inscrit dans le champ de la « nouvelle critique ». Son promoteur, Gilbert Durand, forge le terme sur le modèle de la psychocritique de Charles Mauron. Mais à l’inverse de la psychocritique, où une approche particulière est appliquée à un objet, il s’agit apparemment dans la mythocritique d’appliquer

peut être naturelle (l'évolution des espèces, établie par Darwin), elle peut être sociale (comme chez Marx) ou en encore psychologique (à partir de l'inconscient, comme chez Freud). La conscience morale • Au sens moral, la conscience est la faculté de juger d'après des valeurs. • On peut considérer la conscience morale comme un surmoi social, résultant de l'assimilation profonde par l'individu des valeurs sociales. En ce sens, la conscience morale n'est qu'une forme de conformisme, qui prend d'ailleurs

imite l’art (Oscar WILDE) La nature est notre création Regarder une chose ≠ la voir On ne voit qqch que si l’on en voit la beauté II – Le jugement de goût A – Le Beau chez KANT D’ordinaire av Kant : ce qui est universel est objectif et ce qui est subjectif est relatif Pour Kant, Beau ni obj ni relatif mais à la fois universel et subjectif Jugement de goût (« C’est beau ») = jugmt réfléchissant : qui renvoie le sujet à lui-m, cad que la beauté est ds le regard, ds la relation sujet/objet

supprimée et remplacée par un jugement vrai, l’illusion persiste et demeure comme le montrent les illusions des sens ; mais il y a aussi des illusions attachées à l’usage de la raison. Le sujet sera traité en trois questions : L’homme peut t’il se libérer de l’illusion ? Dans quelle mesure et à quelles conditions est-ce possible ? Quel est le rôle de la raison ? Pour savoir si l’homme à la possibilité de se libérer de l’illusion, il faut d’abord faire la distinction entre illusion et erreur. En

de travail, une marchandise. * Lumières que l’enfant va commencer à être reconnu comme un sujet de droit,vulnérabilité. *19ème siècle : droit à l’éducation. L’éducation devient obligatoire pour les enfants de moins de 12 ans et une protection sociale pour l’enfant qui travaille âgé de plus de 12 ans. =>1919 : créer le Comité de protection de l’enfance. * la Déclaration de Genève de 1924 –reconnaitre à chaque enfant des droits spécifiques. *: la Convention Internationales des Droits de l’enfant

français (Foucault). Dans les années 60-70 on retrouve le réalisme avec le CLS (Critical Legal Studies: Critical Race Theory, Féminisme, Etudes critiques du droit général) du à la ségrégation raciale, aux inégalités entre homme et femme,...Par la suite le CLS est devenue une étude qui pointe du doigt les défauts du droit américain. Cependant il a été souvent critiqué car c'est un mouvement considéré comme étant néo-marxiste. L'analyse économique du droit est complexe du fait de ces 2 traditions.

langage n’est pas un simple moyen de langage mais façonne une manière d’appréhender le monde. Il impose des formes, des séries de concepts qui nous amènent dans le monde des idées. Un lien étroit est établi entre le vocabulaire juridique et le contexte social dans lequel il est né. Voilà le problème pour trouver une définition universelle du droit. Impossibilité dans la transcendance des cultures. Notre vocabulaire juridique, le langage du droit, vient du latin seul et non du grec, alors que la réflexion

connaissance peut avoir tous les degrés de clarté, depuis le sentiment le plus vague jusqu’au savoir le plus évident. La conscience est donc comme un redoublement à l’intérieur de nous-mêmes de ce que nous faisons ou pensons. Il devient ainsi clair que la distinction que nous faisons communément entre une conscience du monde, comme attention ou sensibilité à ce qui se passe en dehors de nous, et une conscience de soi ou conscience réflexive, comme état intérieur ou sentiment de notre existence, n’est pas réellement

AU DROIT Qu'est ce que le droit en fait? C'est une matière de base qui constitue les phénomènes sociaux, c’est à dire que la société établit des règles. Ces règles sont destinées à régir le fonctionnement et à organiser les relations des personnes qui la composent! Pour le juriste, il y a deux significations à retenir. "Droit", c'est d'abord l'ensemble des règles qui gouverne la vie sociale: le droit objectif. "Droit" s'est aussi les prérogatives dont une personne appelée sujet de droit