La Double Inconstance

auteur classique du XVIIIème siècle. Il publie La Dispute, en 1744, après tous ses grands succès. C'est une comédie en un seul acte, qui tente de répondre à la question «l’inconstance vient-elle de l’homme ou de la femme ?», un peu comme dans la Double Inconstance. La principale originalité de cette œuvre tient dans le fait qu'elle est construite en abîme. Dans ses pièces Marivaux s’attache surtout à décrire les tourments de l’amour naissant, tout en se démarquant de ses prédécesseurs. Chez M, les personnages

On a la confirmation que D.J. a abandonné Elvire. Sganarelle vient de dire à D.J. qu'il n'approuve pas l'infidélité (l.122-123), Dom Juan va donc se défendre en argumentant. - inconstance = caractéristique de l'art baroque et du libertinage au XVIIè. LECTURE DE L'EXTRAIT I/Thèses de DJ(type argumentatif) Il y a une double thèse de Dom Juan. 1ère thèse : « La constance n'est bonne que pour les ridicules » 2ème thèse : « Tout le plaisir de l'amour est dans le changement » Dans les deux thèses il

dramaturge engagé du XVIIIe. Célèbre homme de lettre français, il s'inspire beaucoup de la comedia del arte, et utilise presque toujours dans ses pièces, le travestissement pour révéler la vérité comme dans le jeu de l'amour et du hasard, ou la double inconstance. En 1725, il publie une scène en un acte, l'île des esclaves. Pièce dans laquelle, suite à un naufrage, maîtres et valets voient leurs rôles inversés par la politique de l'île, et qui apparaît donc comme une critique de la société du XVIIIe

est marquée par des rebondissements finaux liés à l’usage du quiproquo. En quoi ce dénouement offre-t-il à la fois un registre comique mais aussi une véritable réflexion sur les relations entre hommes et femmes ? I) Un comique de situation. a) Le double quiproquo. b) Le comte : un séducteur caricatural. II) Une réflexion sur les relations homme/femme au sein du mariage. a) La pensée très sexiste du comte. b) Un statut social féminin en mutation : le mariage de Figaro met en évidence, les bouleversements

par la double aspiration et l’allitération, suggère l’ascension difficile du mont qui fait perdre le souffle à cause des efforts répétés. On note également l’usage du présent de l’indicatif « découvre », « foudroie », venant se substituer à l’imparfait de l’indicatif « bandait », pour exprimer la soudaineté de la naissance de l’amour. Cette expression se retrouve dans « Je lis « Miroirs » de lettres d’hivernage : « ta beauté me foudroie ». De plus, l’idée se trouve renforcée par la double comparaison

triomphant aux incertitudes de la fin du siècle corpus 1. Ronsard Discours des misères du temps 1562 2. Montaigne Essais 1580 livre 3 Chapitre XII 3. Agrippa d’Aubigné 1616 Les Tragiques rappel ; l’Humanisme activité renseigner un tableau à double entrée méthode d’approche d’un corpus Préparation / feuille correctement présentée ( Reprendre le Corpus Ronsard// Montaigne ///A D’Aubigné Deux questions sur Corpus - Faire l’exercice en se servant de la fiche 14 - Répondre à questions sur

La Commère (1741) Annibal (1720), sa seule tragédie La Dispute (1744) La Surprise de l'amour (1722) Le Préjugé vaincu (1746) La Double Inconstance (1723) La Colonie (1750) Le Prince travesti (1724) La Femme fidèle (1750) La Fausse Suivante ou Le Fourbe puni (1724) L'Education d'un prince

Carlet de Chamberlain de Marivaux, inspiré par la commedia dell'arte, écrit surtout pour la Comédie-Française et la Comédie-Italienne. Ses pièces de théâtres remportent pour certaines un grand succès populaire : La Surprise de l'amour en 1722, La Double inconstance en 1723 et Les Fausses confidences en sont quelques exemples. Il y est le plus souvent question d'amours légères, ce que l'on appellera plus tard le "marivaudage". Cependant, à cette apparente légèreté s'ajoute dans ses pièces une subtile critique

règles classiques, ainsi elle refuse la règle des trois unités, est écrite en prose, se finit mal ce qui est contraire au code de la comédie et mélange les registres. De plus, le héros est plutôt un représentant du mouvement baroque, de par son inconstance et ses tromperies, son jeu avec les apparences et sa capacité d’illusionner ceux qui l’entourent. En quoi cette scène est-elle bien une scène d’exposition qui propose une vision de la philosophie? I. Une scène d’exposition 1) Un éloge paradoxal

dépendance, désir d'indépendance, besoin. Condition de l'homme : inconstance, ennui, inquiétude. Blaise Pascal Pensées C'est cette partie décevante dans l'homme, cette maîtresse d'erreur et de fausseté et d'autant plus fourbe qu'elle ne l'est pas toujours. Blaise Pascal Pensées Quand on est instruit, on comprend que la nature ayant gravé son image et celle de son auteur dans toutes choses, elles tiennent presque toutes de sa double infinité. Blaise Pascal Pensées Tout joueur hasarde