La Double Inconstance

, la bienséance externe-interne et la vraisemblance. La Comédie Française a été construite en 1680 : Le XVIIIème siècle : Les deux grands dramaturges de cette époque étaient : -Marivaux qui a écrit « Les fausses confidences », « La double inconstance », « Le jeu de l’amour et du hasard » et « L’île aux esclaves » son genre était la comédie sentimentale ( met en scène de manière humoristique une histoire d’amour.) -Beaumarchais qui a écrit «  Le barbier de Séville », « La mère coupable » 

pauvre innocent »V12 (qui s’adresse à lui-même) + la phrase exclamative : prise de conscience de cette naïveté. Parcours du narrateur berné : souffrance- bref moment de bonheur- lucidité b. Ruse et séduction du personnage féminin La femme délivre un double message • Message délivré par la parole : elle dit aimer Silvandre Pierre de Marboeuf « Je disais l’autre jour… » 2 - 2ème quatrain : elle dit aimer Silvandre « objet de mes amours »V6 « je t’aimerai toujours »V7- « promesse » V8 • Message délivré

cabinet du philosophe en 1734. Mais son œuvre est assez méconnue étant donné la futilité que le siècle lui accorde. C’est pourquoi Marivaux meurt en 1763 dans une indifférence totale. Il a également écrit des pièces de théâtre telles que La Double Inconstance en 1723, Le jeu de l’amour et du hasard en 1730, L’Heureux stratagème en 1733 ou encore Les Fausses Confidences en 1737 qui sont fréquemment jouées de nos jours. B) Le contexte historique et littéraire a) La société au 18e siècle La société

n’existe plus et qu’elle pourchasse. Elle tient en fait un discours à la fois et paradoxalement social et conservateur, social et inégalitaire. Un discours qui laisse le lecteur mi-figue, mi-raisin. Dans cette ambivalence, et cette incohérence ou inconstance du personnage à la fois urbain et rural ou plutôt mondain et nostalgique, je ne sais pas si le lecteur est sensible à la diatribe  à l’encontre de la SNCF ainsi que des entreprises de travaux publics. Ce qui est certain c’est que la critique à

fieffé poltron ! une femmelette, l’ombre d’un ruffian énervé ! un rêveur », « glissant comme une anguille », « mon entremetteur », « ce petit corps maigre, ce lendemain d’orgie ambulant », « libertin », « le modèle titré de la débauche florentine », « Double poltron ! fils de catin ! » (I, 4) ; « ce misérable », « cette canaille » (II, 5) ; « traître à la patrie et assassin de son maître » (décret) (V, 2). C’est une image peu positive et peu héroïque de Lorenzo qui se construit mais il manifeste toutefois

Oscillant entre moments tragiques et rebondissements comiques, il ressort que Dom Juan est un personnage insaisissable. Il est impossible de lui appliquer une seule définition. Le mot qui revient sans discontinuer pour parler du séducteur c’est inconstance. Dom Juan n’a pas une identité mais toutes les identités. Caractérisé par la métamorphose, le mythe ne construit pas un personnage, un individu mais bien plutôt une persona. Tirso parlait déjà de l’ « hombre sin nombre ». Ainsi parler de la représentation

mains»: Femmes=proies / faire-valoir personnel----- Inconstance / instabilité amoureuse---------- conquête (séduction = guerre remportées)-- Femmes = défis personnels------------------- LIBERTINAGE AMOUREUX Assouvissement du plaisir-------------------- Vis à l’instant présent------------------------- Mais paradoxe: c’est finalement une fuite de lui-même, de ce qu’il est devenu (pauvre noble) On retrouve le portrait de Sg là-dedans: Sg = double antithétique de DJ «Loup-garou» : superstition de

seigneur chamarré d'or (Molière), valet (Mozart), se déguise en femme (Byron pour accéder à l'appartement de la sultane Gulbeyaz) malgré son aversion pour le travestissement, feint le repentir et l'amour (Molière : avec son père Dom Louis), → Inconstance même, incapacité à se fixer, perpétuel appel de l'autre, « l'épouseur à toutes mains ». Don Juan n'est pas un ennemi du mariage; au contraire, il a la passion du mariage et multiplie les fils : lista donjuanesque des victimes, vengeance à la fin

de portrait historiques de la cour + chronologie règne d’Henri II respectée = fiction ancrée contexte historique précis → imitation cour de Louis XIV → montrer grandeurs et dangers → cour = monde où règnent apparence, beauté mais aussi complexité, double jeu et dissimulation → impose élégance, galanterie, modération = façade mondaine → cache intrigues et luttes d’influence → il faut faire bonne figure → espace antireligieux : espace dangereux qui empêche même personnes vertueuses d’en réchapper (Mme

indécis, un amour a demi nu, pour ainsi dire, dont ils se doutent  sans en être bien surs et qu’ils épient au-dedans d’eux-mêmes avant de lui laisser prendre l’essor. » 1   Déjà dans ses premières comédies  La surprise de l’amour   et   La double inconstance  , nous trouvons des thèmes très chers à l’auteur : la découverte d’un amour  qui  s’ignorait, l’inconstance des deux sexes, et  à deux comédies d’intrigue :  Le prince travesti   et  La fausse suivante , dont l’amour et la jalousie font tout