La Délinquance Chez Les Jeunes

de promouvoir une offre diversifiée pour la prévention de la délinquance par la mise en place de nouveaux modes de régulation des conflits (actions de médiation), de prévenir les violences scolaires et d’éduquer à la citoyenneté, de soutenir les familles, de faire de la prévention dans les transports et de prévenir les conduites addictives. La lutte contre la délinquance et le sentiment d’insécurité porte prioritairement sur la délinquance de voie publique, en coordonnant territorialement les actions

inefficacité des lois p.6 II- Nécessité d’une implication du citoyen dans la mise en place d’une sécurité p.7 A) Moyens mis en œuvre par les citoyens p.7 1. Formation d’associations de citoyens p.7 a- Groupes de prévention pour les jeunes contre la délinquance p.7 b- Citoyens qui agissent pour veiller à la sécurité de tous. P.7 2. Surveillance de quartier par vidéosurveillance p.7 3. Coopération avec les gendarmes p.7 B) Avantages de cette sécurité assurée par les citoyens p.8 1. Citoyens

Pendant 20 ans, sur fond de croissance et de prospérité générales, la banlieue tient bon. Mais les vents de la crise mondiale et du chômage de masse commencent à fissurer l’édifice. Et l’énergie municipale ne suffit plus : les maires de ces communes jeunes se battent pour en faire de vraies villes sans en avoir les pouvoirs. Ville et Banlieue se crée pour les faire entendre et relayer par les pouvoirs publics. Cela s’embrase de façon sporadique. Aux assises de Bron, initiées par Banlieues 89, le Président

Introduction p.4 p.5 p.5 p.5 p.7 p.7 p.8 p.9 p.9 p.9 p.11 p.14 p.15 p.15 p.16 p.21 p.22 p.23 p.25 p.26 p.27 A. Evolution de la délinquance en Suisse 1.1. Généralités 1.2. Augmentation du nombre des dénonciations 1.3. Glissement de la délinquance "adulte" vers la délinquance des mineurs 1.4. Modifications dans le genre des infractions commises 1.5. Des auteurs toujours plus jeunes B. Présentation de la nouvelle Loi 2.1. Une loi détachée du code pénal suisse 2.2. Une loi résolument éducative 2.3. …avec

rapidement s’approprier le champ de la sociologie juridique, au détriment de Gurvitch. Dès 1946, il donne un cours d’initiation aux recherches et enquêtes de sociologie juridique dans le cadre du CES, à côté d’autres « patrons » venus enseigner aux jeunes chercheurs des rudiments dans leur spécialité [Heilbron, 1991 ; Marcel, 1997]. Lévy-Bruhl a en tête la création d’une nouvelle discipline qu’il baptise « juristique ». Il est aussi au Comité de rédaction de L’Année, à la résurrection de laquelle il

sanguine. Ils préconisent aussi que le fait de la légaliser puisse contribuer à mettre en prison les grands trafiquants qui profitent pour s’enrichir en vendant le produit à des prix exorbitants. Actuellement, les principaux consommateurs sont les jeunes qui ne travaillent pas, dépourvus de ressources financières. Ainsi, pour s’en approvisionner, ils doivent voler et/ou commettre des crimes. Alors que s’il était permis de la cultiver ou encore s’il était possible de la vendre librement, tout ceci

l’adolescence. Le deuxième chapitre, apporte aussi son lot de complexité, mais cette fois-ci en rapport avec la protection et l’aide à la jeunesse, secteur en pleine évolution, qui tente d’apporter des solutions à cette triste réalité que sont la délinquance et la maltraitance des enfants. Le dernier chapitre, plus précis et centré sur l’aide spécialisé, nous apparaît comme une visite guidée, un mode d’emploi. Ce travail de fin d’étude a pour mission de rapprocher l’adolescence et l’aide à la

Psychopathologie de l’adolescent...................................................................................... 39 1.4.1 Les troubles oppositionnels et les troubles des conduites ........................................... 39 1.4.2 La violence et la délinquance à l’adolescence............................................................. 42 1.4.3 Le trouble de la personnalité psychopathique/antisociale ........................................... 47 1.4.3 Le trouble de la personnalité limite............

de leur mérite au regard du droit, des morales et autres sources prescriptives de comportements. 3. Qu’est-ce que la justice des mineurs ? La justice des mineurs concerne les mineurs en danger, ainsi que les mineurs ayant commis des actes de délinquance. La Justice des mineurs remplit deux missions : 1 : elle protège les mineurs en danger. 2 : elle juge les mineurs délinquants. 4. Qu’est-ce qu’un témoin ? C’est une personne à qui il n’est rien reproché, et qui peut devant le juge, après

déviance. Globalement, tous les éléments actuels entravant l’intégration des individus (pauvreté, précarité etc…) peuvent permettre d’expliquer la montée de la déviance. 2°) La délinquance a) les faits (docs 37 à 42) La délinquance est une transgression des normes juridiques donnant lieu à une sanction. On peut la considérer comme une forme particulière de déviance. Les homicides et tentatives d’homicides